La troisième veuve

« C'est un soir de Novembre où s'éteint trop tôt la lumière du jour ». Ainsi commence le nouveau roman de Jeannine Poitau. Elle l'a consacré au problème combien épineux de l'homoparentalité. C'est avec une grande finesse psychologique qu'elle nous décrit la situation des membres d'une famille dont le fils homosexuel souhaite, avec son ami, adopter un enfant. On assiste à la progression des sentiments des futurs grands-parents devant ce projet inattendu. Il leur faut d'abord découvrir et accepter l'homosexualité de leur fils et sa vie en couple. Puis se pose, dans ce cas précis, la question d'une éventuelle adoption après avoir écarté le recours à une mère porteuse. Sans prendre parti, l'auteur nous fait partager, avec parfois beaucoup d'émotion, les diverses péripéties de cette marche vers une adoption encore problématique.

L'enfant improbable

Ces trois femmes, qui ont connu une certaine célébrité à des titres  divers, sont malheureusement décédées en asile psychiatrique, totalement  oubliées. La première était à Caen, la seconde à Perray-Vaucluse, la  troisième à Maison-Blanche à Neuilly-sur-Marne. Cette similitude a  retenu l'attention des auteurs.

Trois destins de femmes en asile psychiatrique ; Anne-Marie, Madeleine, Suzanne

Un Divorce

Sous X

Etrange mission

L'erreur de Gilberte

Claude Linares témoigne ici, avec l'amicale complicité de Jeannine Poitau, d'une blessure jamais fermée : celle de sa jeunesse dans l'Algérie et le Maroc des années quarante, au temps où les enfants, qu'ils fussent arabes, pieds noirs ou kabyles, pouvaient partager leurs jeux...

La troisième veuve

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