L'Homme invisible / L'Empire des fourmis

C'est en hiver que l'étranger s'est installé à l'auberge du village d'Iping. Ses bandages, qui lui enveloppent entièrement la tête, sauf le nez, d'un rouge vif, lui donnent un aspect étrange, assez terrifiant, et les langues vont bon train.On l'aurait peut-être laissé en paix s'il n'avait pas retardé le paiement de sa note et s'il n'y avait pas eu un vol mystérieux au presbytère. Mandat est donné de l'arrêter, mais comment se saisir d'un personnage qui disparaît à mesure qu'il se dépouille de ses vêtements? Quant à l'étranger, obligé d'être nu pour échapper aux poursuites, il souffre cruellement du froid et de la faim.Ainsi débute l'aventure du savant qui a découvert la formule de l'invisibilité, un des romans les plus célèbres de Herbert George Wells et, par son invention et son humour, un des chefs d’œuvre de la littérature fantastique.

L'homme invisible

With H.G. Wells’ other novels, The War of the Worlds was one of the first and greatest works of science fiction ever to be written. Even long before man had learned to fly, H.G. Wells wrote this story of the Martian attack on England. These unearthly creatures arrive in huge cylinders, from which they escape as soon as the metal is cool. The first falls near Woking and is regarded as a curiosity rather than a danger until the Martians climb out of it and kill many of the gaping crowd with a Heat-Ray. These unearthly creatures have heads four feet in diameter and colossal round bodies, and by manipulating two terrifying machines – the Handling Machine and the Fighting Machine – they are as versatile as humans and at the same time insuperable. They cause boundless destruction. The inhabitants of the Earth are powerless against them, and it looks as if the end of the World has come. But there is one factor which the Martians, in spite of their superior intelligence, have not reckoned on. It is this which brings about a miraculous conclusion to this famous work of the imagination.

La guerre des mondes

En 6 ans et 5 romans, H. G. Wells inventa la science-fiction en abordant ses archétypes (le voyage temporel, les savants fous, les extraterrestres, l'exploration spatiale). Il fut le premier à exploiter ces thèmes qui sont depuis devenus des standards de la littérature d'imagination. Avec la pièce radiophonique d'Orson Welles qui terrorisa les Etats-Unis en 1938.

Les chefs d'oeuvre de H.G. Wells

The Time MachineWhen a Victorian scientist propels himself into the year a.d. 802,701, he is initially delighted to find that suffering has been replaced by beauty, contentment, and peace. Entranced at first by the Eloi, an elfin species descended from man, he soon realizes that these beautiful people are simply remnants of a once-great culture--now weak and childishly afraid of the dark. They have every reason to be afraid: in deep tunnels beneath their paradise lurks another race descended from humanity--the sinister Morlocks. And when the scientist's time machine vanishes, it becomes clear he must search these tunnels if he is ever to return to his own era.The War of the WorldsThe night after a shooting star is seen streaking through the sky from Mars, a cylinder is discovered on Horsell Common in London. At first, naive locals approach the cylinder armed just with a white flag only to be quickly killed by an all-destroying heat-ray, as terrifying tentacled invaders emerge. Soon the whole of human civilisation is under threat, as powerful Martians build gigantic killing machines, destroy all in their path with black gas and burning rays, and feast on the warm blood of trapped, still-living human prey. The forces of the Earth, however, may prove harder to beat than they at first appear.The Island of Dr MoreauA shipwreck in the South Seas, a palm-tree paradise where a mad doctor conducts vile experiments, animals that become human and then "beastly" in ways they never were before -- it's the stuff of high adventure. It's also a parable about Darwinian theory, a social satire in the vein of Jonathan Swift (Gulliver's Travels), and a bloody tale of horror.As H. G. Wells himself wrote about this story, "The Island of Dr. Moreau is an exercise in youthful blasphemy. Now and then, though I rarely admit it, the universe projects itself towards me in a hideous grimace. It grimaced that time, and I did my best to express my vision of the aimless torture in creation."

Les chefs-d'oeuvres: guerre des mondes, la / la machine a explorer le temps / l'île du docteur moreau

In the summer of 1921, a disenchanted journalist escapes the rat race for a drive in the country. But Mr. Barnstaple's trip exceeds his expectations when he and other motorists are swept 3,000 years into the future. The inadvertent time travelers arrive in a world that corresponds exactly to Barnstaple's ideals: a utopian state, free of crime, poverty, war, disease, and bigotry. Unfettered by the constraints of government and organized religion, the citizens lead rich, meaningful lives, passed in pursuit of their creative fancies. Barnstaple's traveling companions, however, quickly contrive a scheme to remake the utopia in the image of their twentieth-century world.

Men Like Gods

Persuadé que le temps est une quatrième dimension de même nature que la longueur, la largeur et la hauteur, un inventeur de génie construit une machine extraordinaire qui va lui permettre de se déplacer à travers les siècles. C'est ainsi qu'il parvient à atteindre l'an 802701. Autour de lui, tout a bien changé, et les premiers habitants qu'il rencontre ont une attitude pour le moins étrange une sérénité mêlée à une sombre terreur que l'apparition des Morlocks, des êtres peuplant les profondeurs de la terre, va bientôt expliquer...

La Machine à explorer le temps

Je voyais maintenant que c'étaient les créatures les moins terrestres qu'il soit possible de concevoir. Ils étaient formés d'un grand corps rond, ou plutôt d'une grande tête ronde d'environ quatre pieds de diamètre et pourvue d'une figure. Cette face n'avait pas de narines — à vrai dire les Martiens ne semblent pas avoir été doués d'odorat — mais possédait deux grands yeux sombres, au-dessous desquels se trouvait immédiatement une sorte de bec cartilagineux.  La guerre des mondes est un récit passionnant qui relate l'invasion de la Terre par des Martiens. C'est un témoin extérieur qui nous montre le désarroi et la lutte désespérée des hommes face à un cataclysme directement sorti de l'enfer. Si les Martiens sont d'abord présentés comme des êtres faibles (la gravité terrestre, trois fois plus forte que celle de Mars, les empêche effectivement de se mouvoir rapidement), ils ne vont pas tarder à dévoiler leur puissance, qui n'aura d'égale que leur cruauté.  Chef-d'œuvre de la science-fiction moderne, ce roman est le premier à décrire des extraterrestres à l'identité propre, intelligents et totalement inhumains. La guerre des mondes fait partie de ces textes qui traversent le temps, et il a inspiré à Steven Spielberg son nouveau film à grand spectacle.

La Guerre des mondes

«Je voyais maintenant que c'étaient les créatures les moins terrestres qu'il soit possible de concevoir. Ils étaient formés d'un grand corps rond, ou plutôt d'une grande tête ronde d'environ quatre pieds de diamètre et pourvue d'une figure. Cette face n'avait pas de narines - à vrai dire les Martiens ne semblent pas avoir été doués d'un odorat - mais possédait deux grands yeux sombres, au-dessous desquels se trouvait immédiatement une sorte de bec cartilagineux. [...] En groupe autour de la bouche, seize tentacules minces, presque des lanières, étaient disposés en deux faisceaux de huit chacun. Depuis lors, avec assez de justesse, le professeur Stowes, le distingué anatomiste, a nommé ces deux faisceaux des mains.»

L'Homme invisible / L'Empire des fourmis

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