Les Goûters Philo permettent aux enfants, dès l'âge de 8 ans, de réfléchir et d'approfondir les questions importantes qu'ils se posent.Véritables boîtes à outils, ces livres, faciles à lire et drôles, les aideront à s'éveiller aux idées.Dans ce Tome 4:-Les chefs et les autres-Pour de vrai et pour de faux-Les petits et les grands-Ce qu'on sait et ce qu'on ne sait pas-La nature et la pollution

Les gouters philo - Tome 4

Le Bien et le mal

La collection qui fait réfléchir. Il n'est jamais trop tôt pour que les mots deviennent des amis, des compagnons de toute une vie. Car c'est dans les mots que nos idées se forment, dans les mots que la pensée se construit. Tout en stimulant l'imagination et l'appétit de lire des enfants, cette collection propose à travers la lecture de textes sous forme de poèmes en prose illustrés une invitation à savourer les richesses du langage. Et, pour aller plus loin dans l'exploration du sens, chaque mot est accompagné d'une illustration, d'une courte définition personnelle de l'autrice ainsi que d'un petit champ lexical de "mots voisins". Les 20 mots qui font rire : cacao, charabia, crocodile, cucurbitacée, ding dong ! , fesses, gargouillis, hurluberlu, moustache, patate, pissenlit, prout, ratatouille, rire, saperlipopette, scoubidou, spectacle, Titicaca, ukulélé, zygomatique. Pour donner l'envie de jouer avec les lettres, les accents, les sons, les significations... Pour que les mots deviennent des compagnons de vie dès le plus jeune âge. Un voyage au coeur de 21 mots, plein de poésie, d'humour, d'émotions et d'images. L'occasion de découvrir ensemble les mots qui remplissent d'énergie et de confiance en soi.

Le livre des mots qui font rire

Dès son adolescence, il veut tout comprendre, il veut tout apprendre et tout savoir sur tout. Il devient peintre, sculpteur, ingénieur, architecte, savant... Son génie n'a pas de limites.

Léonard de Vinci

Le Bonheur et le Malheur, un « Goûter Philo » pour réfléchir sur ce que sont, philosophiquement, ces deux notions.

Le bonheur et le malheur

Les animaux n’ont pas le choix : soit ils trouvent dans la nature tout ce dont ils ont besoin, soit ils périssent. L’homme, lui, a ceci de spécifique qu’il n’est pas adapté à la nature, mais qu’il adapte la nature à ses besoins. Il transforme le monde pour le rendre habitable. Aujourd’hui, les premiers outils inventés ont cédé la place à des machines de plus en plus performantes : au cours d’une journée, nous ne faisons que quitter une machine pour en retrouver une autre – voiture, ordinateur, téléphone portable, télévision… Si les hommes inventent des machines pour diminuer la pénibilité physique du travail, pour augmenter l’efficacité de leurs actions et, de manière générale, pour rendre leur existence plus confortable, l’invention ne va-t-elle pas finir par se retourner contre l’inventeur ? Il y a une grande différence entre travailler avec des outils et travailler avec des machines. Si l’artisan reste le guide et l’âme de ses propres gestes, l’ouvrier, lui, est contraint de se soumettre aux rythmes qu’imposent les machines. Et, que signifie pour l’individu contemporain d’être environné par des machines dont il ne comprend pas les mécanismes ? Incapables de se représenter le fonctionnement interne d’un ordinateur, le principe de cuisson d’un four à micro-ondes ou le processus par lequel une centrale nucléaire produit de l’énergie, ne sommes-nous pas placés dans une nouvelle situation de dépendance ? Fondamentalement, l’homme n’est-il pas devenu ivre de sa puissance technique ?

Les Machines Et Les Hommes

Sigmund Freud naît en 1856 en Moravie, une province autrichienne. Il est juif et d'origine modeste, il étudie la médecine à Vienne. D'abord spécialiste du système nerveux, il se passionne pour une maladie qu'on explique mal, l'hystérie. Il découvre qu'une « cure de paroles » peut soigner ce trouble mental, et aider beaucoup d'autres patients à se sentir mieux. C'est l'invention de la psychanalyse, une analyse de l'esprit des patients, à travers leurs paroles, leurs souvenirs, leurs rêves.
Freud commence à être connu lorsqu'il publie en 1899 L'interprétation des rêves. Il explique que les rêves sont des messages codés, venus de la partie inconnue et cachée de l'esprit humain, l'inconscient. Beaucoup de monde refuse ses découvertes, particulièrement quand il parle de l'importance de la sexualité, de la recherche du plaisir, ou encore quand il critique la religion. Chassé de son pays par les nazis, Freud meurt à Londres en 1939.

Freud

Dans les histoires, les méchantes sorcières ne sont jamais belles, et, quand elles se font belles, c’est pour faire croire qu’elles sont gentilles. Si on veut dessiner quelqu’un de méchant, c’est facile, on dessine quelqu’un de laid.Une nouvelle présentation en cartonné pour garder une manipulation facile, tout en lui donnant un aspect un peu plus pérenne, un léger relookage de l’intérieur et de la couverture et surtout un cahier de 8 pages supplémentaires avec des textes ludiques, inédits et différents d’un « Goûter » à l’autre pour permettre à l’enfant d’animer son propre débat philosophique entre amis, avec ses parents, et surtout des pages pour écrire ses propres pensées… philosophiques !

La Beauté et la Laideur

Le tout premier "Goûter philo" propose aux enfants de réfléchir sur le cycle de la vie et de la mort, sur la valeur et l'importance de chaque être vivant et sur notre rapport à la mort et au devenir de notre planète. Comment on sait que quelque chose est vivant ? Pourquoi la mort fait-elle souvent peur ? Pourquoi est-ce qu'on meurt ? Et si personne ne mourait ? Qu'est-ce qui reste quand on est mort ? Y a-t-il des vies plus importantes que d'autres ? A quoi ça sert de penser à la mort ? Est-ce qu'on choisit sa vie ? C'est drôle à dire, mais nous mourons parce que nous vivons. Le caillou ne meurt pas parce qu'il ne change pas. Tout ce qui pousse, grandit, change, meurt un jour.

Les gouters philo - Tome 4

Résumé

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Critiques

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