Faust et le second Faust

Textes choisis ; l'âme du monde

Ce Voyage en Italie de Goethe est important à plus d'un titre. On peut légitimement considérer qu'il a marqué une rupture dans sa vie. En prenant la route du Sud en 1786, Goethe a voulu échapper à un univers qu'il sentait trop pesant : " Je me suis enfui de Carlsbad à trois heures du matin : autrement on ne m'aurait pas laissé partir ". Il se dérobe incognito, à la hâte, affronte les périls et se métamorphose en Wanderer : le voyageur, le vagabond, l'errant. Commence alors son odyssée, qui durera jusqu'en 1788 et qu'il retrace dans ce récit où se mêlent l'art et la vie. Goethe traverse Vérone, Vicence, Venise, Padoue, Ferrare, Bologne, Florence, Pérouse, Rome, Naples, Palerme. Il admire l'art classique, contemple les paysages, se lie avec la population : son expérience est intense. Ce Voyage en Italie, publié seulement en 1816 pour la première fois, depuis longtemps indisponible en France, compte parmi les plus célèbres relations de voyage allemandes et s'inscrit dans le projet autobiographique de l'auteur de Faust. La traduction de Jacques Porchat a été révisée et complétée par Jean Lacoste qui signe aussi une remarquable préface où est exposé l'art du voyage chez Goethe, pour qui le déplacement ne saurait aller sans une renaissance et la redécouverte de soi.

Voyage en Italie

Poésie et vérité - Souvenirs de ma vie

Le Frere et la S ur" par Johann Wolfgang von Goethe. Johann Wolfgang von Goethe etait un poete, romancier, dramaturge, theoricien de l'art et homme d'Etat allemand (1749-1832).

Le Frere Et La Soeur (The Brother and Sister)

" le serpent vert " est un conte merveilleux à tous les points de vue, qui n'a pu être conçu que sous l'influence de ce somnambulisme spécial auquel goethe attribuait lui-même la production de ses plus purs chefs-d'oeuvre.
 Je n'ai pas la prétention de révéler tout ce que goethe a voulu taire. 
Le fait est que la clef de tout un côté de la symbolique de goethe nous est très probablement fournie par ce fantastique récit qui réserve le rôle principal à un certain serpent vert.  " osnald wirth.

Le serpent vert

Johann Wolfgang von Goethe schrieb dieses Schauspiel im Jahr 1786 frei nach Euripides' Iphigenie bei den Taurern als die letzte mehrerer (voraufgegangener) Fassungen während seiner Italienreise. Es spielt im Hain des Tempels der Göttin Diana mehrere Jahre nach dem Krieg um Troja.

Iphigenie auf Tauris - Band 103

Goethe var overtydd om at alle fenomen i den levande naturen var knytte til kvarandre, og karakteristisk for denne romanen, som for fleire av verka til Goethe, er blandinga av litteratur med naturvitskaplege tema. Valskyldskapane skildrar ein kollisjon mellom moral- og naturlovene. Utgangspunktet for romanen var teorien til den svenske kjemikaren Torbern Olof Bergman, som skildrar korleis to og to kjemiske bindingar vert løyste opp og så smeltar saman på tvers av elementa. Goethe overfører dette fenomenet, som vart kalla «valskyldskap», til dei fire hovudfigurane i romanen, to kvinner og to menn. Dette grunnkonseptet er basert på at naturkreftene som også kan tolkast som kjensler og lengt, overstyrer fornufta, moralen og dei tronge, tradisjonelle rammene i samfunnet. Goethe såg sjølv på Valskyldskapane som eit av sine mest vellykka verk. Med romanen skreiv den elles så positivt innstilte bestseljarforfattaren sin einaste eigentlege tragedie. Han brukte element frå den greske tragedien, kombinert med element frå romantikken, som han sjølv var ein uttalt motstandar av, og enkelte har lese verket som ein parodi på romantikken. - Det er ikkje ei einaste linje i Valskyldskapane eg ikkje kunne ha opplevd sjølv, sa forfattaren nokre år før sin død, og overlét tolkinga av i kva grad det er Goethe sjølv vi møter i boka, til lesaren.

Les Affinités électives

Terre longtemps convoitée, l'Alsace éternelle attire. Ses plaines verdoyantes que longent les Vosges, ses villages pittoresques et ses lieux saints, parmi lesquels le mont Sainte-Odile célébré par Barrès, sont le prétexte à de nombreux voyages. Quant à la cathédrale de Strasbourg, sa flèche et sa rosace orientale imposent l'admiration d'un Hugo, qui la décrit en poète, comme de Taine, qui la contemple de façon plus réaliste. D'Alphonse Daudet à Gérard de Nerval, lesquels ne manquent pas d'observer la société fréquentant les brasseries strasbourgeoises le dimanche, en passant par le mystique Edouard Schuré, qui se fait le chantre des légendes de cette région, le contenu du présent volume prouve combien les charmes du pays alsacien auront été de nature à séduire de grands noms de la littérature française et allemande. Des deux côtés du Rhin, du reste, on a tout le loisir de constater que l'inspiration, de même que le talent, ne connaît ni limites ni frontières, surtout lorsqu'ils se sont donné pour but de dépeindre l'Alsace telle qu'elle est : attachante et fascinante à la fois. La plume émue d'un Goethe évoquant ses souvenirs d'étudiant à Strasbourg et la ferveur du duo Erckmann-Chatrian racontant la patrie menacée en constituent de remarquables exemples. Une véritable invitation à redécouvrir une Alsace à l'histoire et au caractère uniques. Un florilège de textes. Ils résonnent comme autant d'hommages.

Faust et le second Faust

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