L'histoire de la bataille de Verdun racontée par les photographies les plus saisissantes de l'époque, accompagnées de légendes détaillées qui racontent le déroulement de la bataille.

Verdun par l'image

Après les grands succès de l'opération Barbarossa de l'été 1941, les Allemands approchent de Moscou plus lentement que prévu. Chaque jour qui passe rapproche de l'arrivée de l'hiver, auquel les Allemands ne sont pas prêts. L'automne et ses intempéries arrêtent les opérations, mais lorsque le gel arrive, le terrain devient à nouveau praticable pour les chars et les camions. Une attaque en tenailles est lancée contre Moscou, avec les 3. et 4. Panzer Armee au nord, le 2 Panzergruppe au sud et la 4. Armee au centre. Les Russes ont établi trois lignes défensives en avant de Moscou et appeler des renforts de Sibérie. Les combats se déroulent dans un froid glacial et les Allemands ne parviennent dans les faubourgs de la capitale russe qu'au nord de leur offensive, avant d'être arrêtés définitivement. En janvier 1942, Joukov lance une contre-offensive qui surprend les Allemands et disloque leur front, mais ne parvient pas à détruire leurs armées les plus avancées. La bataille de Moscou est cependant la première grande défaite allemande de la Seconde Guerre mondiale.

Moscou 1941

Le Chemin Des Dames Les Grandes Offensives Du Printemps 1917

Après avoir débarqué en Provence en août 1944, la 1re armée française remonte la vallée du Rhône. Elle arrive devant les Vosges du 15 au 20 septembre 1944. La bataille y est très rude contre la 19e armée allemande et contre les éléments, car le temps est très mauvais : pluie, puis neige et brouillard. LÂ'aviation ne peut intervenir que très rarement. Pour sÂ'emparer du sommet du Haut du Faing, le 6e régiment de tirailleurs marocains perd 100 hommes, mais pour le tenir sous lÂ'artillerie allemande et les contre-attaques, il en perd 700 de plus. La phase active de la bataille sÂ'achève fin octobre, mais la 1re armée attaque ensuite dans la trouée de Belfort et en haute Alsace pour atteindre le Rhin.

La première armée dans les Vosges

Le 9 juin 1918, peu après 0 heure, le front entre Montdidier et Noyon s'illumine des milliers de lueurs de départ des canons allemands. Ludendorff vient de lancer sa seconde brande offensive contre l'armée française, cette fois en direction de Compiègne, afin de relier le saillant de la Somme a celui de la Marne, tout en s'ouvrant la porte de Paris. Bien menée tactiquement, l'offensive remporte d'importants succès sur le Matz, brisant trois divisions françaises et ouvrant une brèche dans le front. Le 10 juin, les progrès allemands se poursuivent et imposent un abandon assez significatif de terrain. La situation est donc très sérieuse, mais une contre-offensive française est ordonnée pour le 11.

9 Juin 1918. Paris Menace, La Bataille Du Matz (Tome 1)

Pour sortir de l'impasse de la guerre des tranchées en France et en Belgique, Winston Churchill, alors Premier Lord de l'Amirauté, réussit à convaincre le gouvernement anglais et ses alliés, de tenter une attaque par le sud, contre l'Empire ottoman, grâce à la marine alliée qui doit forcer le détroit des Dardanelles pour aller bombarder Constantinople. Rien ne se passe comme prévu et les Alliés sont forcés de débarquer des troupes, qui se trouvent vite bloquées par le corps d'armée turc de Mustapha Kemal, le futur Kemal Ataturk.

1915, les Dardanelles - Kemal vs Churchill

La Première Guerre mondiale a radicalement changé la vie dans les deux ports du Havre et de Rouen, devenus les têtes de pont de l'Empire britannique en Europe continentale. La Seine-Inférieure passe à l'heure anglaise et les deux bases britanniques accueillent hommes et matériel de tout l'Empire : les Normands croisent ainsi Anglais, Ecossais, Australiens et Canadiens, Sud-Africains et Néo-Zélandais, Indiens et Chinois, sans oublier les prisonniers de guerre allemands. Des villes entières apparaissent pour loger des dizaines de milliers d'hommes. Rouen devient le premier port de Franceâ¦ De très nombreuses photographies d'époque montrent non seulement les villes du Havre et de Rouen, mais aussi des camps et des hôpitaux militaires sur des lieux insolites bien connus des Havrais et des Rouennais.

Rouen Le Havre 1914 1918

Pour la première fois en France paraît une étude à la fois historique et pleine d'anecdotes sur la pratique vétérinaire dans le monde rural de 1900 à 2000. Les deux auteurs, Sylvie Gourlet, docteur vétérinaire (Toulouse 1977) et Yves Buffetaut (historien) ont passé des mois de recherches, tant aux archives que sur les routes de campagne, pour collecter des dizaines de témoignages de vétérinaires et aussi d'éleveurs, afin d'offrir aux lecteurs un panorama complet du métier de vétérinaire rural au cours du XXe siècle. L'évolution de la pratique au long des années, les mutations de la vie agricole, les périodes de tragédies liées aux deux guerres mondiales, rien n'est oublié. Le grand public découvrira un métier aux mille facettes et les vétérinaires retrouveront avec nostalgie le souvenir des années de l'époque héroïque, dans une France encore essentiellement rurale.

Veterinaires Et Paysans Au Xxe Siecle. Une Histoire Des Veterinaires Ruraux

Le 9 mai 1915, l'armée française lance une offensive de rupture du front allemand en Artois, entre Notre-Dame de Lorette et Arras. Il s'agit de la première offensive d'envergure depuis la course à la mer, en octobre 1914. Malgré des moyens considérables pour l'époque, l'attaque du 9 mai échoue partout, sauf dans le secteur du 33e corps du général Pétain, dont les troupes parviennent à percer le front allemand et à s'emparer de la crête de Vimy. Hélas, les réserves ne sont pas assez proches du front et la percée ne peut pas être exploitée. La bataille se transforme ensuite en une série d'actions de détails, très coûteuses en hommes et sans gain réel. La réussite du général Pétain le 9 mai le met en avant et explique pourquoi il est choisi pour commander à Verdun pour contrer l'offensive allemande de 1916.

Verdun par l'image

Résumé

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