Eine Sammlung romantischer, skurriler und geheimnisvoller Erzählungen von Edgar Allan Poe, Altmeister der Kriminal- und Schauerliteratur, der einmal mehr sein Können und seine Vielseitigkeit unter Beweis stellt: Die Insel der Fee - Schatten - Schweigen - Eleonora - Morella - Ligeia - Das Stelldichein - Das ovale Porträt - Berenice - Der Herrschaftssitz Arnheim

Romantische Erzählungen

»Der Doppelmord in der Rue Morgue« (The Murders in the Rue Morgue) war die erste von drei Kriminalgeschichten, die sich um die Figur des scharfsinnig ermittelnden Detektivs C. Auguste Dupin drehte. Diese erstmals im April 1841 in der Zeitschrift Graham's Magazine erschienene Detektivgeschichte war auch eine der ersten Kriminalgeschichten, die sich der Technik des »verschlossenen Raums« bediente. 1842 trat Dupin nochmals als Hauptfigur in der Kriminalerzählung »Das Geheimnis der Marie Rogêt« (The Mystery of Marie Rogêt) und schließlich 1844 in »Der entwendete Brief« (The Purloined Letter) auf. 

Die von Poe geschaffene Figur des Auguste Dupin wurde Vorbild für zahlreiche spätere Detektivfiguren erfolgreicher Kriminalschriftsteller. Einer der bekanntesten Nachfahren des von Poe geschaffenen Ermittlers wurde der mit der Figur des Dupin eng verwandte Sherlock Holmes von Arthur Conan Doyle. Holmes folgten Agatha Christies Hercule Poirot, Georges Simenons Kommissar Maigret, Raymond Chandlers Philip Marlowe und viele andere ermittelnde Helden nach.

Der Doppelmord in der Rue Morgue - Die Kriminalerzählungen um den Detektiv Auguste C. Dupin

Traducteur extraordinaire, Charles Baudelaire révèle l'oeuvre d'Edgar Allen Poe, son frère spirituel américain, qui explore les domaines du fantastique, du mystère et de l'épouvante.
Chacun de ces 13 chefs-d'oeuvre envoûte et invite au vertige. Une simple déformation de la réalité ou de la conscience, et l'homme est en proie à la peur, à la névrose, aux visions infernales et au vampirisme, dans toutes les représentations macabres de l'au-delà.
Poe demeure aussi le précurseur de la science-fiction et du roman policier, qu'il invente dans la célèbre nouvelle " Double assassinat dans la rue Morgue ".
Traduit de l'anglais par Charles Baudelaire
Texte intégral

Histoires extraordinaires

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Habitations imaginaires

Nella valle dell'Erba dai Mille Colori, il narratore vive con la zia materna e la cugina Eleonora. Li circonda un paesaggio paradisiaco, pieno di fiori profumati e alberi fantastici, dove scorre il Fiume del Silenzio: un luogo incontaminato, in cui i tre personaggi trascorrono la loro esistenza isolati ma felici. Ancora giovanissimi, il narratore ed Eleonora s'innamorano. Ma la fanciulla è ammalata e fa promettere al cugino che, dopo la sua morte, non sposerà mai nessun'altra e il giovane invoca su se stesso una pena orribile se mai dovesse violare il giuramento... Racconto breve, caratterizzato da una prosa straordinariamente ricca e poetica, Eleonora fu pubblicato per la prima volta nel 1842 a Filadelfia, nell' annuale letterario The Gift. È spesso considerato in qualche modo autobiografico e ha un finale insolito per uno scrittore come Poe. Insieme a Ligeia, Morella e Berenice, Poe ci lascia in eredità con Eleonora, un altro dei suoi splendidi ritratti di donne, ossessionanti, uniche, sovrannaturali, il cui eccezionale potere è in grado di oltrepassare persino i confini della morte. La presente edizione bilingue contiene la traduzione in italiano di Carmen Margherita Di Giglio e quella in francese di Charles Baudelaire.

Eleonora - Edizione bilingue italiano-francese

Bibebook (Lien -> http://www.bibebook.com)

Le Canard au ballon

Poe, malgré son indéniable succès, reste un mauvais élève de la littérature universelle. Le daguerréotype de  (Lien -> http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/27/Edgar_Allan_Poe_2.jpg) restera à jamais associéà son nom : une figure de folie, le front proéminent, surplombant un regard fantomatique. Une moustache masquant un rictus. Un foulard cravate clair, contrastant avec l'obscurité du gilet. Les bras croisés. Dans l'attente du photographe. Un visage de mort. Comme pour donner raison à Balzac qui croyait que la photo enlevait de la vie, et à Baudelaire qui détestait cette technologie de la modernité instantanée.



Le double assassinat de la rue Morgue est à lire, cette photo à la main. Non que l'ouvre soit le fruit nécessaire d'une physionomie. Qu'il soit impossible pour un auteur d'écrire autre chose que ce que son paraître produit. Mais autrement, on passe à côté de cette nouvelle. Certains y verront la naissance du roman policier. D'autres, la création du fantastique... 

Il faut y voir avant tout le rejet du monde moderne : on trouve des corps sans vie, démembrés, éparpillés ici et là. Sans motif apparent. Pour découvrir finalement que c'est l'animal le coupable. Le singe. Comment ne pas donner raison à Poe? Au XIXe siècle, la raison triomphe... et pourtant, la cruauté est toujours aussi aiguisée, toujours aussi puissante, enracinée dans une humanité qui ne cesse de se perfectionner dans le crime. Poe comme Baudelaire qui le traduit sait l'entreprise humaine désolante de présomption et d'hypocrisie. 

Retrouver la bête qui dort en soi, l'accepter, sans remords. Prendre acte de la tragédie de l'existence, préfigurant le grand "oui"à la vie de Nietzsche quelques années plus tard sur un autre continent. Et laisser la science à son triste sort : celui de remplacer la foi. Dupin n'est pas dupe. On l'a bien longtemps considéré comme l'archétype du détective rationaliste. Il sent. Devine. Bref, tout à l'intuition. Le gut feeling des Américains.



La présente édition reprend celle des Frères Lévy en 1869, avec une traduction de Charles Baudelaire.

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Résumé

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