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La scène symboliste - (1890-1896) : pour un théâtre spectral
Publié par Presses universitaires de Rennes
280 pages
« Rien n’est plus drôle que le malheur »Cette réplique de Fin de partie peut être considérée comme programmatique de tout un pan du théâtre comique contemporain. Ce théâtre ne craint plus de faire commerce avec la mélancolie, de s’aventurer sur les territoires les plus violents de l’histoire du XXe siècle, d’entretenir des liens étroits avec les désastres intimes et collectifs, d’explorer tout le lamentable de la vie humaine, de réinventer de drôles de tragédies. De Tabori à Renaude ou Kermann, de Durif ou Lemahieu à Srbljanović en passant par Levin, Vinaver ou Schwab, les théâtres ici explorés témoignent également d’une quête de résistance et d’une roborative obstination à vivre.
La scène symboliste - (1890-1896) : pour un théâtre spectral
Les héroïsmes de l'acteur au XIXe siècle
Rien n'est plus drôle que le malheur : Du comique et de la douleur dans les écritures dramatiques contemporaines
Faire théâtre sous le signe de la recherche
"Rien n'est plus drôle que le malheur" - Du comique et de la douleur dans les écritures drammatiques contemporaines
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