Koç - Une saga philanthropique dans la Turquie moderne

Depuis toujours, les pôles ont nourri notre imaginaire. Géographie, ethnologie, exploration, aventure extrême... La fascination qu'ils exercent sur chacun d'entre nous demeure intacte. Pourtant, du bout de leurs extrémités, ces vrais-faux jumeaux que sont l'Arctique et l'Antarctique nous alertent. Combien de temps encore célébreront-ils avec la même force les noces du blanc et du froid ? Avec la fonte de la banquise, le pôle Nord est un monde qui s'achève. Au pôle Sud, les secrets paléo-climatiques que nous livrent les glaces n'en finissent plus de nous avertir des risques d'un dérèglement irréversible de la machine climatique. Les pôles nous font signe. A nous de les regarder, d'écouter ce qu'ils ont à nous dire. Ce livre, par l'hommage qu'il leur rend au travers des images, donne la parole aux " polaires ", des- scientifiques des bases antarctiques aux pilotes d'hélicoptères russes en Arctique, des conquérants de l'inutile aux météorologues isolés des îles de Sibérie. Tourner notre regard vers les pôles, c'est réfléchir à l'ensemble de la planète que nous voulons léguer.

Terre des pôles

" J'ai grandi avec cette philosophie : quand on rencontre un problème, on cherche sa solution ". C'est par ces mots qu'André Chagnon explique pourquoi il ne s'est jamais résolu à vivre dans une société qui accepte un taux de pauvreté de 20 % sans s'indigner davantage. En 2000, le fondateur de Vidéotron, l'un des plus gros groupes audiovisuels canadiens, n'hésite pas à consacrer les trois quarts des produits de sa vente - plus d'un milliard de dollars ! - à la création d'une fondation familiale tournée vers l'enfance. Objectif : contribuer au combat contre la pauvreté en agissant de façon préventive sur le développement de la petite enfance et l'amélioration de la santé. En dix ans, la Fondation Lucie et André Chagnon est devenue, au Québec, l'un des leaders de l'innovation sociale.

Famille Chagnon pour l'enfance

Zones portuaires, réserves naturelles, terres agricoles, emprises industrielles, espaces urbains ou périurbains : l'estuaire de la Loire est une véritable mosaïque. Guy-Pierre Chomette et Franck Tomps l'ont parcouru à pied pour tenter de l'assembler dans un saisissant récit de voyage. Leur périple au long cours nous emporte aux confins d'un estuaire méconnu, de Nantes à Saint-Nazaire en passant par Couëron, Lavau-sur-Loire, Paimboeuf ou Le Pellerin, en quête de rives incertaines et farouches, habitées par des estuariens dont ils ont recueilli les témoignages passionnés. Au fil de leurs rencontres et de leur progression dans le paysage, à l'affût des lumières particulières dans lesquelles baigne souvent le fleuve à son embouchure, ils nous livrent ici un portrait sensible de l'estuaire.

Des rives

Dans une dizaine d’années, le métro du Grand Paris reliera entre eux les principaux pôles urbains de la métropole, de Roissy à Saint-Quentin-en-Yvelines en passant par Nanterre ou Champigny-sur-Marne. C’est précisément en suivant le tracé du futur Grand Paris Express que les auteurs ont parcouru, à pied, une boucle de 300 kilomètres en partant de l’aérogare 1 de Roissy-Charles-de-Gaulle. Une trentaine d’étapes plus tard, ils nous livrent le récit d’un voyage singulier aux franges de l’agglomération parisienne, fait de rencontres et de détours, d’histoires ordinaires et extraordinaires.Guy-Pierre Chomette mêle habilement l’anecdote et l’événement historique pour nous faire entrevoir la complexité de la banlieue et de ces territoires périurbains, terra encore trop largement incognita. À travers ses photographies, Valerio Vincenzo double cette enquête d’étonnantes images d’une métropole en métamorphose.  Guy-Pierre ChometteAuteur d’un récit de voyage sur les limites du Vieux Continent, (Lisières d’Europe, photographies de Frédéric Sautereau, Autrement, 2004), Guy-Pierre Chomette axe l’essentiel de son travail sur la problématique des frontières. Co-auteur, avec le collectif Argos, d’une enquête sur les déplacements de populations dus aux changements climatiques (Réfugiés climatiques, Infolio, 2007), il a reçu le prix Robert Guillain pour son enquête sur la querelle russo-japonaise des îles Kouriles. Valerio VincenzoLauréat du prix Louise Weiss du journalisme européen pour son travail intitulé «  Borderline, les frontières de la paix » consacré à l’effacement des frontières dans l’Union européenne, Valerio Vincenzo est membre du studio Hans Lucas. Ses photographies sont régulièrement publiées en France dans le magazine Géo ou dans Le Monde et ont été projetées dans de nombreux festivals internationaux (Rencontres d’Arles, PhotoEspaña Madrid, Fotografia Europea Reggio Emilia…). Ensemble, Guy-Pierre Chomette et Valerio Vincenzo ont également réalisé pour le magazine Géo des reportages sur la frontière suisse et les traces du Mur de Berlin, vingt ans après sa chute.………………………………………………………  « Un livre qui pulvérise l'image de grisaille des banlieues. »Géo« Un livre utile et stimulant On en sort avec deux envies : aller voir, et, pourquoi pas, en faire autant. »Revue Urbanisme

Le piéton du Grand Paris. Voyage sur le tracé du finir métro

Dans cet ouvrage documentaire, nous découvrons une personnalité hors du commun. Spécialiste des religions, Odon Vallet a décidé d'investir tout son héritage dans la Fondation qui porte son nom et de consacrer l'essentiel de son temps à la mission qu'il s'est fixée : l'éducation des écoliers brillants mais défavorisés. Nous entrons dans l'intimité d'un esprit libre, et nous devenons témoin sur le terrain, au Bénin, au Viet Nam et en France, du parcours des jeunes les plus méritants qu'il soutient au travers des milliers de bourses qu'il distribue tous les ans.

Koç - Une saga philanthropique dans la Turquie moderne

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