La Justice d'Arsène Lupin

Oeuvres completes t.1 l'ombre de la proie ; celle qui n'etait plus ; les visages de l'ombre ; l'ange gardien

Le Goût des larmes

Victor l'enfant sauvage, le mot interdit, l'enfant bleu : trois incontournables de J'aime Lire nouvellement adaptés en audio. L'histoire de Victor abandonné qui a grandi seul dans les bois sans jamais apprendre à parler ni à s'habiller, une farce téléphonique qui pousse Thierry à la découverte d'une société mystérieuse, l'enfant bleu venu d'une autre planète et doué de pouvoirs magiques... L'occasion pour les petits mais aussi pour les grands de redécouvrir ces trésors de J'aime Lire accompagnés d'un habillage sonore et musical de très grande qualité.

3 Trésors de J'aime Lire à écouter ! Vol.1

Sylvain est fatigué. Fatigué de ses échecs. Écouré de se sentir si lâche et faible. Il n'est qu'un peintre raté, un de plus. Et le voilà coincé dans ce petit port breton, loin de tout, prisonnier du Mesnil. Le Mesnil... Une demeure pleine d'ombres, figée dans l'attente du retour de « Monsieur ». « Monsieur » qui ne reviendra pas. Mais dont le souvenir empoisonne l'atmosphère. Oui, la maison est malsaine. Elle sent la mort. Il faudrait fuir. Mais Sylvain ne le peut pas. D'ailleurs, à quoi bon ? Pour aller où ? Sylvain ne peut que rester. Et laisser le piège se refermer sur lui.

L'ombre et la proie

Kidnapper. Ils mettent leur plan à exécution et la retiennent dans une maison isolée. Mais l?affaire se complique lorsque l?un des adolescents a un grave accident de voiture. Son camarade se retrouve seul et désemparé. Il doit trouver un moyen de délivrer la jeune femme sans révéler son identité. 
Germe alors un plan machiavélique...

L'âge bête

Thomas Narcejac (1908-1998) est notamment célèbre pour son association avec Pierre Boileau. Leur roman commun, Celle qui n'était plus, adapté au cinéma par Henri-Georges Clouzot sous le titre les Diaboliques, demeure un classique du roman à suspense. C'est donc tout naturellement que Thomas Narcejac conçoit un essai biographique consacré au maître francophone du roman policier, Georges Simenon (1903-1989). Ainsi, le Cas Simenon est-il rapidement devenu une référence incontournable, autant pour les amateurs de l'auteur que pour les passionnés de littérature policière.
Tout est là, de la genèse de l'œuvre à l'étude en profondeur des spécificités du polar, en passant par l'étude des thèmes, celle du personnage Maigret, l'atmosphère, la psychologie et l'art de Simenon. A tel point que l'on peut s'interroger : comment est-il possible de lire Simenon en se privant de ces clés essentielles ? Et comment un auteur du genre peut-il continuer à écrire sans méditer sur ce livre ?
Narcejac éclaire, en soulignant les reliefs, la carte du continent Simenon. Il l'ordonne autour de grands axes qui convergent tous vers une destination unique : comprendre l'homme.

Le Cas Simenon

Philippe pense que son voisin cache un gangster...
« Que faire quand on a une bronchite ? » se demande Philippe dans sa chambre. Observer la villa d'en face avec les jumelles de papa, c'est amusant. Mais ce jeu peut devenir dangereux si les voisins cachent un gangster. Et généralement, les gangsters n'aiment pas les curieux...

La villa d'en face

Le grand métier, c'est celui des marins qui, à bord de leurs chalutiers, affrontent la mer et les vicissitudes de la pêche. Méheu commande sur le Labrador ; mais la Compagnie a placé près de lui un « capitaine porteur », Louis Carado. Celui-ci ne comprend rien au grand métier ; il représente, d'une manière haïssable, un certain type de marin, bourré de science livresque. Pour lui, la pêche n'est plus une aventure, mais une affaire ; le poisson n'est plus un adversaire plein de ruse, mais une marchandise... Et Méheu, dont le caractère n'est pas facile, se met à détester Carado. Si bien que, lorsqu'un coup de mer, un soir, emporte l'indésirable, la propre fille du commandant croira celui-ci responsable de l'accident. Comment Méheu, désespéré, orgueilleux, subira-t-il l'opinion publique ? Ce roman, sobre et discret, vous l'apprendra avec une grande force d'émotion.

La Justice d'Arsène Lupin

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