Le père de Loli a une grande passion : jardiner. Il aime tellement ça qu'il a créé un potager collectif et même les petits caïds du quartier ont pris la main verte... Alors, quand il se retrouve en prison, toute la cité va aider la famille de Loli à grands coups de radis et de soupe aux poireaux !

Mon papa en cage

Petit Fantôme vit à la fête foraine avec sa famille. Avec son père, il travaille au train fantôme pour effrayer les enfants. Mais ce qu'il voudrait, lui, c'est les faire rire. Car son rêve secret est d'être clown. Une histoire sur la différence, avec des illustrations hautes en couleur.

Quel drôle de fantôme !

Dans cette histoire située au Japon, une vieille dame a hérité du parapluie de son mari décédé. Un jour, l'objet chéri s'envole. Sa quête éperdue pour le retrouver amène Madame Hô à sortir de sa routine. Elle rencontre finalement l'homme chez qui le parapluie a atterri. Bizarrement, il lui paraît familier et possède le double de l'objet recherché. Dans un élan, les parapluies s'accrochent l'un à l'autre et s'envolent. Madame Hô et son hôte en concluent qu'il est temps pour eux de... Rentrer.

Le parapluie de madame Hô

Ce matin, Philibert descend dans son jardin avec ses outils et ses graines. Quoi de plus normal ? Mais tout autour de lui, des gens l'observent, étonnés. Car Philibert s'est mis à bêcher un coin de trottoir, à tondre le paillasson du coiffeur et à cueillir les boucles d'oreilles des dames. Aurait-il perdu la tête ou peut-être seulement son chapeau ?!

Le chapeau de Philibert

Un petit garçon nous raconte sa grande histoire d'amitié avec son chien. L'animal est doux, l'écoute et partage ses joies et ses peines. Il l'accompagne partout, à chaque instant. C'est un animal formidable, un ami fidèle. Mais c'est aussi un chien peu ordinaire car c'est un chien de papier, un tout petit chien dessiné, qui, plié au fond de la poche du garçon, sera toujours près de lui pour le rassurer...

Un chien dans la poche

Ce matin, Mia ne rêve pas, il y a bel et bien un Indien dans son jardin et cet Indien. c'est son père ! Il a des plumes sur la tête, des franges qui pendouillent un peu partout et a décidé de vivre sous la tente. Toute la famille s'inquiète. Est-ce qu'il serait devenu fou ? Dans la famille de Mia, on a parfois de drôles de lubies mais tout de même. Comment va-t-elle faire pour inviter sa copine Dana à la maison ? Et sa mère psychologue, que vont penser ses patients ? Et lui, il ne peut tout de même pas aller travailler en Indien ? Tout s'éclaircit (un peu), lors du « conseil extraordinaire » de la famille : le père explique son voyage dans la tribu Walla-Walla quand il était jeune, le message que lui a envoyé en rêve son frère indien Oiseau de feu et le « cercle magique » qu'il doit trouver dans le jardin. Cela peut venir vite, ou dans un mois ! D'accord, mais comment va-t-on faire dimanche prochain avec Tatie Ronchon, qu'on sort chaque dimanche de sa maison de retraite pour le déjeuner ? Car Tatie Ronchon, elle n'est pas commode ! Le dimanche arrive, tout le monde se déguise pour noyer le poisson (ou l'Indien), mais Tatie Ronchon se révèle plus maligne qu'on ne croit. Et surtout, Tatie Ronchon détient peut-être la clef de ce mystère indien.

Un Indien dans mon jardin

Tout seul, au dernier étage d'une tour, un enfant s'ennuie et regarde passer les nuages. Certains ont des formes alléchantes et l'enfant a envie de les croquer. Par gourmandise et par ennui, il se met à manger les nuages, tous les nuages, si bien qu'il n'en reste plus un. Plus une goutte de pluie, plus une goutte d'eau au robinet : les gens sont obligés de s'organiser pour creuser un grand trou et chercher l'eau précieuse. En creusant avec les plus grands, l'enfant rencontre d'autres enfants et se fait des amis. Bientôt, il oublie de manger les nuages et la pluie peut à nouveau tomber...Ce conte moderne est moins une leçon de solidarité qu'une façon de montrer combien nous avons besoin des autres pour vivre. Souffrir de solitude, c'est un peu comme avoir soif... En toute innocence, l'enfant mange les nuages pour tromper son ennui dans un monde urbain où il est difficile de nouer des relations. La pluie se remet à tomber lorsque l'enfant, occupé à jouer avec ses nouveaux amis, oublie son ennui et ses nuages. L'univers très coloré des illustrations d'Aurélia Fronty s'inspire directement de l'art traditionnel mexicain, où les peintures s'organisent en tableaux et le texte s'inscrit dans des cartouches.

L'enfant qui mangeait les nuages

Il était une fois un petit bonhomme de papier. Un jour, il s'échappe de son livre et rencontre Hortense, la petite fille qui lit son histoire chaque soir...

Mon papa en cage

Résumé

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Critiques

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