Told by the twin voices of the artist Butcher Bones and his 'damaged 220-pound brother' Hugh, this book recounts their adventures and troubles after Butcher's plummeting prices and spiralling drink problem force them to retreat to northern New South Wales. This work explores themes of art, fraud, responsibility, and redemption.

Theft: A Love Story

Le nouveau roman de Peter Carey fait dialoguer deux voix et deux destins. Séparés par plus d'un siècle, deux êtres fous d'amour et de chagrin poursuivent le même but : alors qu'en 1854, Henry Brandling cherche un horloger capable de construire un jouet mécanique qui guérira son fils, en 2010 Catherine Gehrig affronte la mort de son amant secret en restaurant le même automate. Reliés par des carnets (que l'un écrit et que l'autre lit) et par leurs interrogations sur la mort, l'amour et la technique, ces deux personnages émouvants découvrent progressivement que ce jouet mécanique recèle des mystères bien plus grands.
La Chimie des larmes est un grand roman sur la force créatrice et sa participation à notre capacité de résilience.

La chimie des larmes

Si vous ne connaissez pas la république d'Efica - un petit archipel de dix-huit îles situé entre le tropique du Capricorne et le 30e parallèle - ni le puissant pays colonisateur du Voorstand, distant de cinq mille kilomètres et beaucoup, beaucoup plus grand, vous ignorez donc tout de cette histoire...
Singulière. Ainsi que celle de la très belle actrice Felicity, Voorstandienne de naissance mais Eficaine d'adoption, directrice du théâtre d'avant-garde Le Feu follet, qui donna naissance d'une façon... singulière à Tristan Smith, qui, lui-même doté d'une apparence physique... singulière, a... singulièrement, trois pères.
Toute cette histoire... singulière, vous la trouverez dans ce roman fourmillant et riche : vous apprendrez comment Felicity s'engage politiquement et quel sera son sort ; comment un des pères de Tristan émigre à Voorstand pour rejoindre le Sirkus, spectacle fabuleux et omniprésent ; comment Tristan devient maître des arts du cirque et du théâtre ; comment, déguisé en Frère Souris - l'icône historique de la mythologie voorstandienne -, il fait d'une riche mécène sa maîtresse ; et beaucoup, beaucoup plus dans cette fantastique histoire inventée par le conteur Peter Carey, débordant d'imagination et de talent.
" Il sort de ce livre une énergie intense, une grande histoire d'une psychologie éblouissante.
" The Independent on Sunday " C'est un roman d'apprentissage picaresque et picturesque. L'énergie narrative de Peter Carey semble, incroyablement, croître de livre en livre... " Times Literary Supplément " Un magnifique carnaval de prestidigitation et de magie... une importante, époustouflante réussite. " The Sunday Times

La vie singuliere de tristan smith

En pleine cavale, le hors-la-loi australien, Ned Kelly, rédige, pour sa fille, l'histoire de sa vie. Griffonnant son témoignage sur des petits bouts de papier, sa prose n'en possède pas moins de fabuleux pouvoirs d'évocation. Vendu par sa mère à un célèbre voleur de chevaux alors qu'il n'était qu'un enfant, mis en marge de la société à cause de ses origines irlandaises, Ned fait progressivement le choix de l'illégalité, et surtout celui de l'insoumission à l'égard du pouvoir anglais. De petits larcins en grands hold-up, il devient vite le plus fameux gangster de l'Australie jusqu'à son arrestation en 1880.

Véritable histoire du gang Kelly

A neuf ans on ne fait pas toujours ce que l'on veut. Entre son père, joueur invétéré, qui a décidé de courir le monde pour gagner le jackpot, le gros lot, et sa mère qui peint des villes entières pas plus grandes que des boîtes d'allumettes, la vie de Sam est plutôt mouvementée. Les voici à Toronto à la recherche du mystérieux M. de Vere, acheteur de tableaux. Sam n'est pas pour rien le fils d'un joueur et lorsqu'il se retrouve en pleine nuit dans le couloir de leur hôtel, il décide que l'une des portes va lui porter bonheur...

Le jackpot

Peter Carey's My Life as a Fake is a literate mystery of forgeries and doppelgangers with a fictional manuscript at its heart. The mystery--the origin of a brilliant but purportedly faked poem--fuels a whirlwind pursuit through Australia and across the wilds of Malaysia. Grappling with her own childhood demons, Carey's bibliophile sleuth, Sarah Wode-Douglass, sometimes becomes lost in the exotic and bloody chase.  The novel opens as Sarah, the reluctant tourist and editor of The Modern Review, is dragged by a foppish poet-friend, John Slater, to Kuala Lumpur. Sarah is intent on biding her time in her hotel, but a chance encounter with a scabrous reader of Rilke soon transforms Sarah's plans and, ultimately, her life. The reader, the Australian poet Christopher Chubb, is the disgraced initiator of a great literary hoax--the faked poems of the non-existent Bob McCorkle. The McCorkle hoax was Chubb's attempt to bring down a rising poetry editor, David Weiss. When the hoax was exposed, Weiss was believed to have committed suicide. But, living in exile, Chubb has hidden a secret for decades: Bob McCorkle had seemingly materialized in human form, killing Weiss and destroying Chubb's life. Sarah is tantalized by a fragment of supposed McCorkle poetry that Chubb has shared with her. Whether it is a fake or the work of a madman, Sarah believes it is genius. Her obsession, however, drives her and Chubb to the precipice of self-destruction.  The primary story--Chubb's pursuit of McCorkle--lives in the fictional past, and the plot occasionally becomes muddled in the nest of narrators recalling conversations second or third hand. In playing out the McCorkle affair, Carey's denouement comes too quickly. If Sarah is transformed, Carey doesn't reveal enough of her in the text. He is mesmerized, as is the reader, by Chubb's horrific tale.  With its small shortcomings, the novel offers a sophisticated interrogation of authorship and fakery and the power of art. Carey avoids simplifying the McCorkle mystery, leaving the reader to puzzle out McCorkle's bizarre incarnation. While My Life as a Fake is frequently entertaining, the atmospheric mystery occasionally glimpses the profound. --Patrick O'Kelley

Ma vie d'imposteur

In 1878 Francis Harty, a poor farmer, said, 'Ned Kelly is the best bloody man that has ever been in Benalla, I would fight up to my knees in blood for him - I have known him for years, I would take his word sooner than another man's oath'. By the time of his hanging in 1880 a whole country would seem to agree.

TRUE HISTORY OF THE KELLY GANG

"J'ai perdu mon père à l'âge de 12 ans et je sais ce que c'est d'être élevé dans les mensonges et les silences ma chère fille tu es pour le moment trop jeune pour comprendre un mot de ce que j'écris mais cette histoire est pour toi et ne contiendra pas un seul mensonge que je grille en enfer si je dis faux." Ainsi écrit le légendaire Ned Kelly, griffonnant son témoignage sur des petits bouts de papier, dans une prose aux fabuleux pouvoirs d'évocation, alors même que la police est à ses trousses. Pour les autorités, Kelly est un voleur et un assassin. Mais pour ses proches, immigrés irlandais sur une terre australienne inhospitalière, le hors-la-loi est un héros qui n'a cessé de défier le pouvoir anglais, aussi arrogant qu'injuste. Vendu par sa mère à un célèbre voleur de chevaux alors qu'il n'était qu'un enfant, Ned a découvert les prisons à l'âge de quinze ans, puis tenté vainement de rentrer dans le droit chemin. À vingt-cinq ans, il est l'homme le plus recherché de la colonie de Victoria, faisant un audacieux pied de nez à la loi - jusqu'au jour de sa capture et de sa pendaison, le 11 novembre 1880.

Theft: A Love Story

Résumé

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Critiques

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