Ces lendemains qui chantaient

Au milieu du XXe siècle, chaque maison avait son grenier où l'on déposait pêle-mêle les objets devenus inutiles, les vêtements démodés, les vieux journaux et quelques livres anciens... Parfois, les enfants grimpaient les marches de l'escalier et poussaient la porte. Sous une fine couche de poussière et la dentelle des toiles d'araignées, ils découvraient des trésors que l'on aurait pu oublier. Ils redescendaient dans la cour de la ferme et retrouvaient les animaux, les bruits familiers, les odeurs de l'étable... Ils renouaient avec le dur labeur de nos ancêtres paysans qui vivaient à l'heure du soleil et au rythme des saisons.

Un air de campagne

Vous avez suivi, pas à pas Mélissa et Monsieur Combeaudoux dans leur passionnante aventure, à la recherche du temps perdu. Le vieil instituteur avait à coeur de faire découvrir à la jeune étudiante le trésor de l'école oubliée. Dans les ruines du village abandonné, l'école de La violettte avait laissé des traces, indélébiles et intemporelles... Pierre LOUTY Le fulgurant orage de 1940 allait tout balayer sur son passage. L'École de la Troisième République était démantelée, le Gouvernement de Vichy réécrivait les programmes et brûlait les livres d'autrefois. Le temps de la Libération viendra et fondera la république des instituteurs : l'école de La Violette brillera de mille feux. Pourtant, en cette fin de 20e siècle, de noirs nuages s'amoncellent à l'horizon... L'école de notre enfance allait-elle disparaître et, avec elle, le Monde ? Monsieur Combeaudoux le craignait bien... Le vieil homme semblait pressé. Aurait- il le temps de confier à Mélissa son secret le plus cher ?

L'ecole oubliée Tome 2 ; le fulgurant orage

Camille avait eu vingt ans en 1940. Elle était devenue l'Ombre rouge, un agent secret de la Résistance au centre de la France. Sur les chemins escarpés de la Liberté, sa petite soeur l'avait suivie. Seulement voilà, Yvonne avait disparu dans la nuit noire de l'Occupation... En 1945, à l'heure de la Libération, dans Ces lendemains qui chantaient, Camille avait été élue à l'Assemblée Nationale mais elle n'avait pas oublié sa petite soeur. Elle l'avait recherchée sans relâche et les obstacles s'étaient dressés sur le chemin de la Vérité. En 1981, après le retour au pouvoir des nostalgiques de Vichy, l'Ombre rouge s'était écartée. Dès lors, elle n'avait eu de cesse de retrouver Yvonne. Une longue quête commençait avant de découvrir l'incroyable...

La petite soeur

Voici quelques deux cent quarante cartes postales d'un des plus prestigieux sites panoramiques du Limousin : le Mont-Gargan. Nous devons cette admirable fresque à cet inlassable défenseur de la culture limousine qu'est Jean-Loup Deredempt. Amis lecteurs, saisissez ce bouquet de bruyère et de buisson blanc ! Feuilletez et respirez bien fort ces "Parfums de Belle-Époque" ! Et n'oubliez pas : placez ces fleurs à la meilleure place de votre bibliothèque ! Elles ont un secret : celui de faire renaître un passé qu'il ne faut pas oublier ! Elles ont un pouvoir : celui de guérir d'une maladie terrible de cette fin de XXe siècle : le stress des déracinés ! Alors, tant qu'il n'est pas trop tard : offrez-vous le bonheur !

Parfums de Belle Époque autour du Mont-Gargan

Fils de Suzanne et Célestin Roche, Maîtres d'école de la IIIe République, Jean connaîtra très jeune, les malheurs de la Grande Guerre qui lui laissera un père mutilé. Il grandira néanmoins et ce seront les folles espérances du Front Populaire. Reçu major à l'Ecole Normale, il rencontrera Hélène. Le bonheur est à leur portée... Mais, en 1939, l'Europe sombre sous la tourmente hithlérienne. Jean réussit à échapper aux fascistes qui occupent notre pays. Mais il lui faut prendre le maquis... Au cœur des épaisses forêts, revivez avec Jean les dures épreuves de la lutte clandestine, les sabotages et les embuscades, et, enfin, les joies de la Libération !.... Jean retrouvera-t-il Hélène pour connaître enfin le bonheur ?....

Jean du Maquis

Cependant, le sort voulut qu'il consacre sa vie aux transports car, entré à l'âge de 16 ans à la société des autobus du Centre J. Bernis et Cie, il devait y prendre sa retraite en 1980, après avoir gravi un à un les divers échelons de cette entreprise. Pierre Thomasson nous livre, dans un style souple et passionné d'homme de terrain, ses mémoires, où il retrace l'épopée du transport routier... Premières lignes d'autobus sur des routes poussiéreuses, difficultés et tracasseries sous l'Occupation allemande, gazogènes et exploitation forestière, transports internationaux et premier voyage à Téhéran... Du boulevard de la Corderie à la Zone Nord, c'est Bernis, une des plus anciennes et des plus modernes sociétés du Limousin, qui apparaît sous son vrai visage : au service d'une population, vers l'avenir...

Ces lendemains qui chantaient

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