Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

O.S.S. 117 top secret

Tactique arctique

O.S.S. 117 prend le maquis

Il n'est jamais plaisant d'être celui que l'on envoie réparer les pots cassés... Philippe Dautrey, lors de son court séjour forcé à Vienne, va l'expérimenter cruellement, et quelques autres avec lui. Dans la capitale de ce pays neutre, mais si proche d'autres pays moins neutres, il va essayer de boucher une fuite, par laquelle s'enfuit toutes sortes d'armes à destination de l'Afrique du Nord. Contre lui, ses ennemis vont employer tous les moyens, y compris la seringue hypodermique et une arme plus agréable à regarder mais sans doute plus dangereuse : la femme. Il rencontrera la brune, la blonde et, pour finir, la rousse. Mais le malheur est qu'avec elles comme avec toutes les autres, Dautrey vérifiera la véracité du proverbe : avec les femmes on n'est jamais sûr de rien !

Ombres viennoises

Les romans cultes de Jean Bruce n'ont rien perdu de leur impertinence, de leur piquant... et de leur humour suranné ! Ces rééditions sont l'occasion de redécouvrir les aventures d'Hubert Bonisseur de la Bath, rendu célèbre à l'écran par Jean Dujardin.
PAS de rePoS Pour oSS 117! Hubert Bonisseur de la Bath s'était accordé quelques jours de repos bien mérités dans la capitale japonaise. Mais une affaire de chantage dont est l'objet l'une des secrétaires de l'antenne locale de la CIA éveille son intérêt. À plus d'un titre... L'idée de jouer le mari de la jeune dame n'est pas pour dé- plaire à notre séduisant agent secret. Mais un Nippon bien nippé va lui donner du fil à retordre...

OSS 117

Il avait stocké préalablement, dans la cuisine, douze jerrycans d'essence, de la super s'il vous plaît, pardonnez du peu. Il entreprit d'arroser les vêtements de Labroue, lentement pour qu'ils soient parfaitement imprégnés. Il écarta ses mâchoires encore souples et versa une gorgée de liquide. C'était indispensable pour que la destruction de la dentition soit totale. Toute identification se révélerait alors impossible. Ce travail d'imprégnation dura un quart d'heure. Il ouvrit le capot supérieur pour éviter une explosion et constituer une cheminée, le tirage étant assuré en bas par les hublots du hall d'entrée. Il rassembla sous le corps tout ce que la maison pouvait compter de seaux et d'ustensiles, de récipients de cuisine, comme casseroles et bols, qu'il remplit aussi d'essence. Il vida les trois derniers jerrycans sur le plancher et dégoupilla une grenade à retardement au phosphore juste au bas de l'escalier. Il disposait exactement de sept minutes.

Doublez l'agent double

O.S.S. 117 préfère les rousses

"Le Libyen se redressa péniblement sur les bras et rampa sous le camion, à l'abri des tirs. Il se traîna vers l'arrière du camion, puis se hissa sur le hayon métallique et se glissa sous la bâche, entre deux caisses cerclées de fer. Quelques secondes, il reprit son souffle, [...] Il faisait chaud, mais pas assez pour empêcher les mouches de voler. Mahfouz ne les chassait même plus. Ni de son front en sueur, ni de sa paupière couverte de sang. Il prit le temps de retrouver une respiration normale, puis tira posément, une à une, les dernières balles de son chargeur sur une caisse de détonateurs. Dès la deuxième, le camion se transforma en une boule de feu."

O.S.S. 117 top secret

Résumé

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