L'amour brûle le circuit ; Encres ; Les fêtes sont fanées ; La dernière ligne ; Extraits du journal intime

Brefs - Suivi de Orties, Adresses au vent

Un poète à la trajectoire singulière. Alain Borne (1915-1962) fut distingué dès la publication de son premier recueil au titre surréaliste (Cicatrices des songes chez Jean Digot en 1939, puis réédité l'année suivante). Sa notoriété prit de l'essor pendant la guerre au cours de laquelle il lia des relations d'amitié avec Louis Aragon, Pierre Seghers et René Tavernier en participant à l'épopée des revues Poètes casqués, Poésie 40, 41... et Confluences. Après la Libération, il fut salué comme l'une des grandes voix poétiques de son temps ainsi qu'en ont témoigné des personnalités aussi diverses que René Char et Jean Rousselot, Philippe Jaccottet et Georges-Emmanuel Clancier, Robert Sabatier et Jean Paulhan...

Treize - Suivi de Indociles

Poèmes choisis

Le présent livre rassemble quatre recueils courts du poète : SEUILS, REGARDEZ MES MAINS VIDES, OP. 10, TREIZE.

Seuils

Le Plus doux poignard

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Parcours de la sève

Ce recueil réunit, pour fêter les 30 ans de la revue voix d'encre, douze écrivains qu'elle a accueillis dans ses numéros parus entre 1991 et 2011. Autant d'auteurs majeurs qui ont ponctué son parcours.

Voix d'encre - 30 ans

Non seulement poète, mais prosateur également, Alain Borne (1915-1962) reste encore à découvrir...
En effet, qui pourrait se flatter aujourd'hui de connaître ses nouvelles? Certaines d'entre elles ont paru une fois en revues dans les années quarante, d'autres ne virent jamais le jour. À un demi-siècle de distance, ce recueil propose enfin un choix parmi les quelques dizaines de récits brefs qu'a laissés l'auteur des Poèmes à Lislei et de Terre de l'été. Inédits ou introuvables, viennent les compléter divers textes en prose, ainsi qu'un portrait de l'auteur par lui-même.
Ce qui constitue la voix propre d'Alain Borne, son timbre, se reconnaît ici : à l'instar de sa poésie, les histoires qu'il nous conte sont mêlées d'amour et de mort, d'enfance, de songe et de chair.

L'amour brûle le circuit ; Encres ; Les fêtes sont fanées ; La dernière ligne ; Extraits du journal intime

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Critiques

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