Usher thinks the house is making him and his sister sick. They are going mad and Usher asks an old friend to help them. Can Usher win the fight against madness? And will Madeline ever be well again? Edgar Allan Poe's short stories are still popular a hundred and fifty years after his death. Other titles featured here include The Barrel of Amontillado and The Murders in the Rue Morgue.

La chute de la Maison Usher et autres histoires

The classic poems and spine-tingling stories of an American gothic master collected in one volumeOf all the American writers, Edgar Allan Poe staked out perhaps the most unique and vivid reputation as a master of the macabre. Even today, in the age of horror movies and high-tech haunted houses, Poe remains the first choice of entertainment for many who want a spine-chilling thrill. Born in Boston in 1809, and dead at the age of forty, Poe wrote across several fields during his life and was noted for his poetry and short stories as well as his criticism. The best of each of these is collected here, including the classic poem "The Raven, " and beloved stories like "The Tell-Tale Heart." In his introduction to this volume, G. R. Thompson argues that Poe was a great satirist and comedic craftsman, as well as a formidable Gothic writer. "All of Poe's fiction, " Thompson writes, "and the poems as well, can be seen as one coherent piece-as the work of one of the greatest ironists of world literature."Great Short Works of Edgar Allen Poe includes some of these classics: The Raven Annabel Lee The Murders in the Rue Morgue The Masque of the Red Death The Pit and the Pendulum The Tell-Tale Heart The Purloined Letter The Imp of the Perverse

Great Short Works of Edgar Allan Poe - Poems Tales Criticism

Tout le monde au village de Vondervotteimittiss ne semble s'occuper que de l'horloge qui s'élève en son centre. Les habitants ont le regard braqué sur l'homme dans le Beffroi. Tous attendent le douzième coup de midi et vénèrent le dicton : « Il n'existe rien de tolérable en dehors de Vondervotteimittiss. »

Mais un jour, ils comprennent que le village est en grand danger.

Un étranger au visage ténébreux, doté d'un nez crochu et habillé d'un costume noir, descend au village un violon à la main. Le diable est venu sonner le treizième coup de midi...

Dans un genre à la fois burlesque, gothique et fantastique, Edgar Allan Poe joue avec une atmosphère pesante. L'angoisse règne sur ce village où tout semble réglé comme une horloge. La nouvelle a été adaptée par Claude Debussy.

Né aux États-Unis, Edgar Allan Poe (1809-1849) perd ses parents très jeune. Il poursuit des études brillantes, mais est forcé de les stopper à cause de soucis financiers. Il s'engage alors dans l'armée et se fait volontairement renvoyer pour se lancer dans une carrière d'écrivain. Ses poèmes ne rencontrant pas un fort succès, il travaille pour un journal. Peu à peu, il acquiert une notoriété, gagne un concours de nouvelles, et publie en 1845 « Le Corbeau ». Grâce à sa nouvelle renommée, il parvient à monter sa propre revue. Mais sa joie est bouleversée par la mort de sa compagne Virginia. Poe sombre dans l'alcoolisme. Il laissera derrière lui une série d'ouvres traduites par Baudelaire, et qui feront de lui le précurseur de tout un mouvement ainsi que du genre policier et fantastique.

Le Diable dans le beffroi

Histoires extraordinaires ; Nouvelles histoires extraordinaires

Le système du Dr Goudron et du Pr Plume et autres histoires extraordinaires

Carrés Classiques Collège : Quand le quotidien devient étrange...
Une anthologie sur les objets maudits dans les nouvelles fantastiques.

La Main de Guy de Maupassant, La Tresse noire d'Erckmann et Chatrian, Le Pied de momie de Théophile Gautier, Le Portrait ovale d'Edgar Allan Poe. Mais pourquoi diable ces objets sont-ils animés de pouvoirs étranges ? Quelle est leur histoire ? Et comment la raconter sans être pris pour un fou ? 

Enjeux pédagogiques :
- La découverte du genre fantastique.
- L'étude de la narration dans la nouvelle.
- L'analyse des caractéristiques du récit court.

Thème du programme en lien avec le titre :
4e - La fiction pour interroger le réel En complément : Le Monstre vert de Gérard de Nerval Cliquez ici pour télécharger gratuitement le livret pédagogique réservé exclusivement aux enseignants.

Quand le quotidien devient étrange... : le Pied de momie et autres nouvelles fantastiques

Il titolo di questa piccola antologia, Moltitudine, solitudine, è firmato da Baudelaire ed è tratto da Le folle, un poemetto in prosa del 1861 ispirato dall'Uomo della folla di Poe. Wakefield, l'Uomo della folla e Bartleby sono personaggi assimilabili allo spettro evocato da Baudelaire, o quanto meno sono uomini inseguiti da creature dell'oscuro. I tre racconti sono esemplari della grandezza di tre fra i massimi scrittori dell'epoca e tuttavia marcano anche una sorta di anomalia, una tappa singolare nell'arco delle rispettive parabole creative. Mentre "uno spettro si aggira per l'Europa", lo spettro, l'incubo che si aggira invece sulle pagine dei romanzi e dei racconti scritti in quei decenni non è più la creatura d'oltretomba che infesta castelli aviti e dimore isolate nella brughiera: l'armamentario gotico che ha sostenuto la letteratura fantastica dalla fine del Settecento fino alla metà del secolo seguente sbiadisce per lasciare spazio a nuove paure, insinuate tra i muri sporchi degli slum, nei fumi delle fabbriche, nel coagularsi incessante di genti, merci e denaro lungo le vie metropolitane. Sono spettri inurbati, creature pallide di stenti e con i nervi a pezzi, macilente o dignitose ma sempre sull'orlo della disfatta; fanno da specchio ai timori e terrori più occulti dei concittadini tra i quali si aggirano, anche in pieno giorno.

Moltitudine, solitudine - Wakefield - Bartleby lo scrivano - L’uomo della folla.  Tre racconti

Best of Edgar Allan Poe Meistererzählungen Band 25: Der Mann der Menge

Der Mann der Menge

"Jamais je n'oublierai les sensations d'effroi, d'horreur et d'admiration que j'éprouvai en jetant les yeux autour de moi."

Pourquoi les histoires qui nous font aussi peur nous fascinent-elles autant ?

Tout Edgar Poe découle de cette fascination pour l'étrange, le frisson - qu'il a poussée à sa pleine dimension esthétique. Quelquefois avec des textes violents, et d'autres fois avec la sombre lumière, mais tenue, de l'énigme, presque du surnaturel. 

Dans son oeuvre, trois récits incarnent pour moi au plus haut cette dimension presque abstraite de l'horreur, là où Poe nous emmène le plus loin dans notre propre imaginaire. Ces trois histoires, Le puits et le pendule, Dans le Maelstrom, Metzengerstein, les voici. Et même si vous avez un souvenir vif de Le puits et le pendule (qui l'a lu une fois s'en souvient toujours), reprenez-le dans le confort de l'iPad ou d'une liseuse. Notre lecture change, elle aussi. Relisez-le donc seulement pour ce mouvement d'enchaînement des séquences abstraites. 

Et baser toute une histoire sur la variation de la gravité lorsqu'elle passe à un repère vertical ? Dans le Maesltrom, le monde devient provisoirement un énorme cylindre sans fond, où tout bascule, la nuit et le jour, et les hommes bien sûr, dans l'infini tourbillonnement, allégorie provisoire, et destin bien réel de l'homme qui nous en fait récit, de là-haut sur la falaise, dans la belle tradition romantique.

Rien que du plaisir - mais pas neutre, mais pas béat. Plutôt le contraire.

FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)

La chute de la Maison Usher et autres histoires

Résumé

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