San-Antonio ; la vieille qui marchait dans la mer

Eh bien ! Eh bien, Béru, t'as des vapeurs ? M'en parle pas, balbutie-t-il, je suis un mec terminé ! On en reparlera quand tu seras dans ton costar en planches ; dis-moi un peu ce qui ne carbure pas ? Ma femme a disparu, lâche le Gros. Et de ponctuer cette révélation par un barrissement qui fêlerait une plaque de blindage.

On t'enverra du monde

La 62è aventure inédite de San-Antonio.0500 Quand la femme d'un zig qui m'a sauvé la vie vient chialer dans mon giron en me disant que son mari va être flingué deux jours plus tard pour haute trahison, je vole à sa rescousse.
Même si c'est à Saigon que le mec en question doit effacer sa ration de prunes.
Béru, vous le connaissez ? Il est toujours prêt à suivre son supérieur aussi hiérarchique que bien-aimé sur les sentiers de la gloire et de la châtaigne, même quand il s'agit d'un boulot d'ordre privé.
Les femmes, vous les connaissez ? Plus elles sont baths, plus elles vous attirent d'emmouscaillements. Heureusement que moi aussi je les connais !
Ainsi que la manière de s'en servir !
Quant à mon style, si vous le connaissez pas encore, c'est le moment de vous y mettre. Car ça me ferait mal à la thyroïde que vous décédiez en n'ayant lu que Montaigne et Jean-Jacques Rousseau !
Souvenez-vous d'une chose, les gars : la culture, y a que ça de vrai !0300Moi, vous me connaissez ?Quand la femme d'un zig qui m'a sauvé la vie vient chialer dans mon giron en me disant que son mari va être flingué deux jours plus tard pour haute trahison, je vole à sa rescousse.Même si c'est à Saigon que le mec en question doit effacer sa ration de prunes.Béru, vous le connaissez ? Il est toujours prêt à suivre son supérieur aussi hiérarchique que bien-aimé sur les sentiers de la gloire et de la châtaigne, même quand il s'agit d'un boulot d'ordre privé.Les femmes, vous les connaissez ? Plus elles sont baths, plus elles vous attirent d'emmouscaillements. Heureusement que moi aussi je les connais !Ainsi que la manière de s'en servir !Quant à mon style, si vous le connaissez pas encore, c'est le moment de vous y mettre. Car ça me ferait mal à la thyroïde que vous décédiez en n'ayant lu que Montaigne et Jean-Jacques Rousseau !Souvenez-vous d'une chose, les gars : la culture, y a que ça de vrai !

San-Antonio Tome 62 ; mange et tais-toi

Le plus terrifiant bras de fer de ma carrière me met aux prises avec un tyran fou. Il pleut des morts ! Partout le danger ! D'accord, je baise énormément pour pouvoir conserver le moral, n'empêche que je traverse une zone à hauts risques davantage semée d'embûches que la Place de la Concorde. Là où je vais, si tu veux revoir Paris, faut ouvrir l'œil et serrer les miches. Seulement moi, tu me connais ? C'est les poings que je serre et la porte de devant de mon bénard que j'ouvre. En grand ! C'est bon pour la ventilation de mes aumônières.

Les eunuques ne sont jamais chauves

Le président Horace Tumelat, odieux vieillard manipulateur, règne sur son pays comme dans sa vie : sans pitié. Chez lui, il impose à sa femme un ménage à trois. Au dehors, cet ancien collabo parvient toujours à retourner en sa faveur les situations scandaleuses dans lesquelles le placent les loups qui rôdent autour de son trône. Son secrétaire, Eric Plante, en est un des plus affamés. Avec la complicité de sa maîtresse, une journaliste aux dents longues, il tente de corrompre son maître. Mais à ce jeu-là, tel est pris qui croyait prendre.

Les clés du pouvoir sont dans la boîte à gants

Meurs pas, on a du monde: Sublime Roman

Alors qu'il déjeune chez  Marius et Jeannette, bistrot spécialisé dans les fruits de mer, le commissaire San-Antonio se voit interrompu au milieu d'une huître Marennes. Téléphone.  Ils vont me tuer ! Venez, vite, vite !  Tu parles d'une perle. Mais un flic est un flic : il fait remonter l'appel vers l'immeuble d'en face. Et en effet, c'est là que ça clams. De là à s'imaginer que tout ça finira dans la forêt amazonienne, entre la moins farouche journaliste de Paris et le plus Gros flic de France... Si on ne peut plus s'envoyer la bourriche pépère !

 

 
SAN-ANTONIO ANNÉES 90 Texte original @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

San-Antonio : allez donc faire ça plus loin

Vacances peinardes sur la Côte... Boîte de nuit dans la pinède... Une frangine de vingt berges dans mes bras...Et voilà que ça démarre... Un ancien pote à moi vient se faire rectifier à mon nez et à ma barbe... Un Bérurier beurré qui se radine... Un nouveau meurtre...Finie ma belle tranquillité... Décidément, j'attire l'embrouille comme le sirop attire les guêpes !

Du sirop pour les guêpes (San-Antonio #38)

Dubois, lui, tout en gobant ses marennes, m'expliquait en détails la gastro-entérite de sa femme de ménage… C'est vous dire si la plus totale harmonie régnait dans la salle à manger de ses bons amis !Et soudain, au moment pile où la mère Dubois se la radinait triomphalement une gigantesque marmitr recélant le cassoulet : vlan ! Ou plutôt " dring"! Le bignou s'est mis à carillonner….

San-Antonio ; la vieille qui marchait dans la mer

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