Je veux toujours le prince charmant

Je veux le prince charmant

Les Autres Filles

Mireille est très gentille mais quelle pipelette ! Elle a toujours quelque chose à dire. Même en dormant, elle parle ! A tel point que tous ses copains se bouchent les oreilles pour ne plus l'entendre ! Jusqu'au jour où elle se transforme en Superpipelette...

Superpipelette

Avec Je veux le Prince Charmant, Hélène cherchait l'homme parfait, évidemment introuvable. Avec Hélène Bruller est une vraie salope, elle se posait de sérieuses questions sur la sexualité et la fidélité des filles. Et avec Larguées, elle ricanait avec deux autres copines des affres de la séparation, du divorce et de la lâcheté des mecs.
Hélène a maintenant 50 ans, c'est la fin des illusions, de la jeunesse qu'on croit éternelle, le début d'un autre monde qu'on soupçonne terrible à vivre. Comment vivre ce passage vers l'inconnu, l'âge mur ?
En petites séquences de 1 à 4 pages, elle donne le meilleur de son humour. Elle narre les petits et les gros tracas du quotidien avec en arrière-plan, le poids du temps qui la grignote inéluctablement...
Version augmentée de 18 planches

J'veux pas vieillir

Yoann en a assez d'être le mouton noir de sa classe ! Clignements d'yeux, hochements de tête. Il est bourré de tics. Jusqu'au jour où il se transforme en Supertic !

Moralité :
Celui qui imite tes tics C'est vraiment une sale bête Mais si tout le monde rapplique C'est lui qui aura l'air bête !

Les Minijusticiers Tome 16 : Supertic

Et quand Hélène Bruller veut quelque chose... tous aux abris !

Comme un Jiminy Cricket passé du côté obscur (revisitez vos classiques !), Hélène Bruller est notre mauvaise conscience, celle qui nous souffle tout ce qu'on ne peut pas dire si on veut rester un être humain respectable.

Pourquoi on lui pardonne si facilement ? Parce que c'est DRÔLE !

Cette fois, ce sont les mômes, les aristos, les copines de bureau, les modestes, les bobos-écolos, tous ceux qui « causent mal correc' », sans oublier ses victimes préférées : sa mère et son mec.

Helène Bruller est le Joker de la phrase-mortelle-qui-tue-grave, la Cruella de la désintégration verbale, bref, notre garce préférée parce qu'elle dit tout ce qu'on pense.

En dressant le portrait partial, subjectif et corrosif de ses amis, de ses voisins, des membres de sa famille, de ses collègues, l'auteure propose une typologie caustique des profils sociaux des actifs urbains.

Je veux toujours le prince charmant

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