'It was so hard that the pleasant waters of his little stream should be disturbed and muddied ...that his quiet paths should be made a battlefield: that the unobtrusive corner of the world which been allotted to him ...made miserable and unsound'.Trollope's witty, satirical story of a quiet cathedral town shaken by scandal - as the traditional values of Septimus Harding are attacked by zealous reformers and ruthless newspapers - is a drama of conscience that pits individual integrity against worldly ambition. In The Warden Anthony Trollope brought the fictional county of Barsetshire to life, peopled by a cast of brilliantly realised characters that have made him among the supreme chroniclers of the minutiae of Victorian England. It is the first book in the Chronicles of Barsetshire.

Le Directeur

Doctor Thomas Thorne is guardian to his beautiful but impecunious niece, Mary, whose parentage he has always kept secret. Mary falls in love with Frank Gresham, heir to the dwindling Greshamsbury estate, but when Frank proposes, his parents insist that he must marry for money to restore his family's fortunes. Frank is torn between his love for Mary and his sense of familial duty, whilst Doctor Thorne must decide whether to reveal the secret he has kept for so long. In Doctor Thorne Trollope explores themes of money and society and the conflict between tradition and the need for change. Part of the 'Chronicles of Barsetshire' series on which Trollope's reputation primarily rests, it outsold all of his other novels during his lifetime. This gorgeous edition features an afterword by Ned Halley. Designed to appeal to the book lover, the Macmillan Collector's Library is a series of beautiful gift editions of much loved classic titles. Macmillan Collector's Library are books to love and treasure.

Doctor Thorne

Roman traduit de l'anglais par: Alain Jumeau Les Enfants du duc est le sixieme et dernier roman du cycle des Palliser Novels, dont les cinq premiers sont parus chez Albin Michel. Le heros recurrent en est Plantagenet Palliser et le cadre principal en est Londres et Westminster, avec d'apres luttes d'influence et de pouvoir. Plantagenet Palliser, grande figure du parti liberal, est devenu, par heritage, duc d'Omnium. Des le debut du roman, il connait un grand malheur puisqu'il perd sa femme, Lady Glencora, emportee par une grippe. Il se retrouve seul pour affronter plusieurs difficultes serieuses avec ses trois enfants: ses deux fils se sont fait renvoyer de leurs colleges respectifs (l'un des deux se met a jouer aux courses), et sa fille s'est liee a un jeune homme dont la famille appartient a la gentry, lui faisant craindre une mesalliance. Le roman est hante par le personnage de Lady Glencora qui, malgre sa disparition, continue de faire sentir son influence sur tous, et d'abord sur son mari. Cette evocation, par Trollope, de l'automne du patriarche est consideree comme un sommet, particulierement emouvant, de son uvre."

Les Enfants Du Duc

Un financier véreux, des jeunes gens de bonne famille désargentés et voleurs, une romancière sans talent qui veut s'assurer les bonnes grâces des critiques, des politiciens malhonnêtes, des journalistes menteurs.
Un portrait sans concession du Londres victorien, qui n'est pas sans rappeler certaines affaires du vingtet-unième siècle. Un chef-d'oeuvre du roman satirique anglais !

Quelle époque !

Clara Amedroz, toujours célibataire à 25 ans, est la seule fille du vieux châtelain de Belton Castle (Somersetshire). Ce dernier a dilapidé sa fortune pour assouvir les extravagances de son fils, qui vient de se suicider, de sorte que le domaine doit revenir à son cousin par alliance Will Belton.Aimable et généreux, quoique rustaud, celui-ci offre d'épouser Clara. Sensible à ses qualités, elle ne s'en croit pas moins éprise du très courtois mais fuyant capitaine Frederic Aylmer, membre du Parlement, auprès duquel Will fait pâle figure.Aussi, lorsque Aylmer se décide enfin à demander sa main, Clara s'empresse-t-elle d'accepter ce prestigieux parti. Son bonheur sera de courte durée : Aylmer se révèle un homme froid et snob, qui ne songe qu'à son confort et soumet sa fiancée à la férule de sa mère...

L'héritage Belton

I returned from Greytown and the waters of the San Juan to St. Thomas, spending a few days at Aspinwall and Panama on my journey, as I have before explained; and on this occasion, that of my fourth visit to St. Thomas, I was happy enough to escape without any long stay there. My course now lay to the Bermudas, to which islands a steamer runs once a month from that disagreeable little depot of steam navigation. But as this boat is fitted to certain arrivals and despatches, not at St. Thomas, but at Halifax, and as we reached St. Thomas late on the night of the day on which she should have sailed, and as my missing that vessel would have entailed on me another month's sojourn, and that a summer month, among those islands, it may be imagined that I was rather lively on entering the harbour; - keenly lively to ascertain whether the 'Delta, ' such is the name of the Bermuda boat, was or was not gone on her mission.

Story of the Bermudas

Dans cet ample roman victorien aux ramifications multiples, le centre de gravité est occupé par Augustus Melmotte, un financier véreux qui lance une vaste opération spéculative en Angleterre et en Amérique pour prendre au piège les investisseurs naïfs. Le procédé qu'il met en ouvre à Londres dans les années 1870 préfigure curieusement certaines affaires du vingt et unième siècle. Melmotte n'est pas le seul à tricher. Les jeunes gens de bonne famille désargentés n'hésitent pas à payer leurs dettes de jeu en monnaie de singe et à faire la cour à de riches héritières dans le seul but de reconstituer leur fortune. On triche aussi dans le monde littéraire, où une romancière sans talent veut s'assurer les bonnes grâces des critiques pour faire vendre ses livres. On triche enfin dans le monde du journalisme et de la politique. Quelle époque! Anthony Trollope nous en brosse un portrait sans concession dans ce roman satirique que connaisseurs et spécialistes saluent comme son chef-d'ouvre. Roman traduit de l'anglais, préfacé et annoté par : Alain Jumeau. Anthony Trollope est né à Londres en 1815 et mort en 1882. Fils d'un avocat raté et d'une femme de lettres qui eut une certaine notoriété, il fit carrière comme inspecteur des postes jusqu'en 1867. Entre 1847, date de parution de son premier livre, et sa mort, il publia près de cinquante romans ainsi que des nouvelles et connut une grande célébrité. DU MÊME AUTEURaux éditions Fayard:Les Tours de Barchesterchez d'autres éditeurs:Le DirecteurLes Diamants EustacePhinéas FinnAutobiographieLes Antichambres de WestminsterLe Premier MinistreVendéePeut-on lui pardonner?Oil pour oilMiss Mackenzie

Contre toute attente, Fred Neville, jeune officier chez les hussards, hérite subitement d'un comté dans le Dorset.
Cependant, avant de faire face à ses nouvelles responsabilités, il décide de s'octroyer une année de répit en Irlande où son régiment est stationné.
Au milieu des paysages romantiques des falaises de Moher battues par l'océan, Fred fait la connaissance d'une jeune Irlandaise d'une grande beauté au passé mystérieux.
Il en tombe amoureux, mais sa famille s'oppose catégoriquement à cette union...

Oeil pour oeil

Thirty years ago my mother wrote a book about the Americans, to which I believe I may allude as a well known and successful work without being guilty of any undue family conceit. That was essentially a woman's book. She saw with a woman's keen eye, and described with a woman's light but graphic pen, the social defects and absurdities which our near relatives had adopted into their domestic life. All that she told was worth the telling, and the telling, if done successfully, was sure to produce a good result. I am satisfied that it did so. But she did not regard it as a part of her work to dilate on the nature and operation of those political arrangements which had produced the social absurdities which she saw, or to explain that though such absurdities were the natural result of those arrangements in their newness, the defects would certainly pass away, while the political arrangements, if good, would remain. Such a work is fitter for a man than for a woman. I am very far from thinking that it is a task which I can perform with satisfaction either to myself or to others. It is a work which some man will do who has earned a right by education, study, and success to rank himself among the political sages of his age. But I may perhaps be able to add something to the familiarity of Englishmen with Americans. The writings which have been most popular in England on the subject of the United States have hitherto dealt chiefly with social details; and though in most cases true and useful, have created laughter on one side of the Atlantic, and soreness on the other. If I could do anything to mitigate the soreness, if I could in any small degree add to the good feeling which should exist between two nations which ought to love each other so well, and which do hang upon each other so constantly, I should think that I had cause to be proud of my work.

Le Directeur

Résumé

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