Alpes

Raconte les prétendus souvenirs d'un certain Jack Crabb, homme des plaines, éclaireur indien, bagarreur, chasseur de bisons.

Little big man

A l'âge de cent onze ans, Jack Crabb entreprend de dicter ses Mémoires sur un magnétophone depuis son hospice et c'est tout un pan de l'histoire de l'Ouest qui se révèle... Retour en 1852 : la rencontre pacifique entre un convoi de migrants et un groupe de Cheyennes tourne au carnage. Le jeune Jack, un des seuls survivants, se voit emmené au camp des Indiens et élevé au sein de la tribu. Mais contre toute attente, il trouve chez les sauvages un idéal de vie qui lui sera à jamais refusé lorsqu'il retournera chez les Blancs... Adapté au cinéma en 1970 par le cinéaste Arthur Penn avec Dustin Hoffman, Faye Dunaway et le chef Dan George, Little Big Man marque un tournant du western : les Indiens y étaient enfin réhabilités, et leur rôle reconnu dans la construction de l'Amérique contemporaine.

Little Big Man

Il était une fois un homme qui vivait avec sa femme dans une maisonnette, au bord d'une forêt, dans un pays lointain. Ils étaient pauvres et devaient travailler durement pour gagner leur maigre pitance. Pourtant, ils étaient toujours confiants et de bonne humeur. Chaque automne, l'homme allait ramasser des glands dans la forêt. Avec ces glands, la femme préparait de succulentes galettes. Un jour, la femme trouva dans la cave un gland qui avait pris racine...

L'arbre qui poussait à travers le toit

Jack Crabb, supposedly the only white man to survive Custer's Last Stand, first disclosed the brimful and dubious chronicle of his life in Thomas Berger's 1964 charmer, Little Big Man. There the 111-year-old, a shade of history who strutted unnoticed through the mythic West, recounted his acquaintances with notables such as George Custer and Wild Bill Hickok, as well as his shuttling between the worlds of whites and Indians. In The Return of Little Big Man, ostensibly a long-lost addendum to these memoirs, we get more of the tale--or more hot air, perhaps. "Just listen to what I tell you, and then check it against the facts if you can," our hero invites. Return has much in common with its predecessor. Once again, Crabb seems to have known everyone and been nearly everywhere, and his many associates--both notorious and anonymous--reappear as if by miracle. Wyatt Earp, Doc Holliday, and Annie Oakley all check in; while Crabb himself wanders the globe as Buffalo Bill Cody's right-hand man, witnesses both Hickok's and Sitting Bull's murders, and crouches behind a wagon during the O.K. Corral shootout. Berger's Twain-esque ruminations lend an air of purposefulness to Crabb's meanderings, a sense that separation is merely provisional, that existence only appears haphazard. Crabb, however, seems more than occasionally dispirited--friends pass, younger men ascend. Midway through, though, the book gets its real charge, as Crabb confronts a fading world and a future both bright and bewildering. Sustained by an enormous heart, an affinity for exaggeration, and a conscience both weary and sentimental, he acknowledges the best--and worst--in everyone he meets. It's a story you'd like to believe. --Ben Guterson

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Résumé

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