Mon culte, il existe, non ? et, parce qu'il existe, une bande de CONservateurs en prennent ombrage, le foutent sur la commode; mais qui est-ce qui va l'avoir dans le culte ? devine.

San-Antonio Tome 98 ; mon culte sur la commode

Rappelez-vous bien ce que je vais vous dire, les gars : si Béru ne m'avait pas demandé d'assister à la distribution des prix de Marie-Marie, votre descendance allait se trouver compromise. Car une bande d'olibrius britanniques s'occupait déjà sérieusement de vos hormones, mes chéries ! Heureusement que le Gros est à la hauteur des situations les plus périlleuses comme les plus scabreuses ! Seulement, le problème, avec lui, c'est qu'il croit parler anglais. Enfin, grâce à des gestes éloquents, il s'en tire tout de même. Surtout avec les Anglaises !

San-Antonio : un éléphant, ça trompe

Le président Horace Tumelat, odieux vieillard manipulateur, règne sur son pays comme dans sa vie : sans pitié. Chez lui, il impose à sa femme un ménage à trois. Au dehors, cet ancien collabo parvient toujours à retourner en sa faveur les situations scandaleuses dans lesquelles le placent les loups qui rôdent autour de son trône. Son secrétaire, Eric Plante, en est un des plus affamés. Avec la complicité de sa maîtresse, une journaliste aux dents longues, il tente de corrompre son maître. Mais à ce jeu-là, tel est pris qui croyait prendre.

Les clés du pouvoir sont dans la boîte à gants

San-Antonio Tome 89 ; en avant la moujik

Ça tourne au vinaigre

Le chéri de ses dames… Si, si… Pour cause d'indisposition passagère de ses adjoints (conséquemment à quelque cuite orgiaque), San-A se voit flanqué, façon intérimaires, des compagnes desdits. Soit la mère Pinuche et la Grosse Berthe. Tu parles d'un carré d'as (la Gravosse compte pour deux) ! Et ça t'en va élucider des meurtres de Polonais, ramasser les bébés orphelins, courir Pantruche voire ruer dans les tonnelles, du côté de Nogent… Un peu de féminité, dans ce monde brutes… Qui s'en plaindra ?

Moi, vous me connaissez ?...

« «À peine ai-je franchi le seuil que je m'arrête, pétrifié par la surprise : la môme Danièle gît au bas de l'escalier, la tête sur le carrelage du vestibule. Elle a la coquille fêlée et une mare de sang achève de se figer.
Je m'agenouille auprès de la pauvrette et je glisse la main entre ses roberts. Partie sans laisser d'adresse.» Les putes de Paname se font buter, comme des perdrix à l'ouverture. Toujours le même topo : des blondes bien roulées montent avec le quidam, et on les retrouve le lendemain, étranglées.
Alors bien sûr, dans la presse, ça rigole. Aussi, San-A et ses deux compères sont mis sur le coup rapidos par le Chevelu. Mais pas facile, de s'y retrouver, surtout qu'un cave, qui avait voulu se faire une pute, se retrouve clamsé, tiré comme un lapin par l'inspecteur Paquerette.
Un peu louche, in fine, cet inspecteur de la Mondaine. Après avoir découvert le pourquoi du comment des raisons du cave defuncté, San-A aurait comme des doutes sur cet inspecteur... » San-Antonio.

@ Titre disponible en version numérique.

La fin des haricots

Voilà maintenant que le boss me fait prendre les patins de ses amis ! Il faut reconnaître que le turbin qui échoit sur la tête de son pote est de first quality !
Jugez plutôt : son fils va être cravaté de chanvre incessamment et peut-être avant par la justice britannique. Je vêts l'habit ecclésiastique pour rencontrer le condamné. Brusquement, je sens que ce mec est innocent.
Une drôle de sérénade en perspective !

Sérénade pour une souris défunte

" Si ma tante en avait eu, les choses se seraient passées autrement. Ce livre n'aurait pas eu lieu, mon éditeur aurait donc été déclaré en faillite, plusieurs centaines d'ouvriers du livre seraient allés grossir la cohorte des chômeurs, l'économie française n'y aurait pas résisté, la pauvre, tant déjà qu'elle boite. La révolution en aurait consécuté. Là-dessus la Russie nous Praguait dans la foulée, histoire de rétablir l'ordre. Ce que voyant, les Ricains s'annonçaient pour " pas de ça Lisette ! ". Conflit mondial, bombes nucléaires énucléantes et découillantes. Fin de la vie sur la planète. Point à la ligne. Voilà, brièvement résumé, ce qui se serait passé si ma tante en avait eu.En outre, si ma tante en avait eu, on l'aurait appelée "mon oncle", pas vrai ? Heureusement, ma tante n'en avait pas.Par contre Santantonio et Béru, eux, en avaient. Et des grosses comme ça, viens voir ! "

San-Antonio Tome 98 ; mon culte sur la commode

Résumé

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