Buck, moitié Saint-Bernard, moitié chien de berger, a été élevé à l'abri dans une ferme californienne. Mais un jour il est enlevé et vendu comme un chien de traîneau dans le territoire rude et congelés du Yukon. Transmise de maître en maître, Buck se lance dans un voyage extraordinaire, et fait preuve d'un esprit incassable ... Publié en 1903, "L'appel de la forêt" est considéré comme le chef-d'œuvre de Jack London. Basé sur ses expériences comme prospecteur dans la nature canadienne et ses idées sur la nature et la lutte pour l'existence, "L'appel de la forêt" est un conte sur l'esprit incassable et la lutte pour la survie dans l'Alaska Klondike gelé.

L'Appel de la forêt

In versione integrale e in una nuova traduzione torna uno dei romanzi più affascinanti di Jack London. Libro dalla capacità profetica, "Il tallone di ferro" prefigura una società distopica dominata dalla logica del profitto, dove una feroce oligarchia impone un sistema di oppressione generalizzato. Lo scoppio della Prima guerra mondiale e l'avvento delle sanguinarie dittature del XX secolo confermeranno alcune delle intuizioni del romanzo, che consacrerà il protagonista Ernest Everhard, a capo della rivolta dei lavoratori, quale eroe e profeta della rivoluzione sociale. A questo indimenticabile personaggio letterario Ernesto Che Guevara sarà debitore del suo nome. Nuova introduzione di Valerio Evangelisti. Con una lettera di Lev Trockij.

Il tallone di ferro

L’Invasion sans pareille est une nouvelle « politiquement incorrecte ». Elle ne l’était pas au moment de sa parution dans le McClure Magazine en 1910. Dans ce texte d’anticipation géopolitique, London met en scène l’éveil de la Chine à compter des années 1920, après que celle-ci s’est libérée du joug japonais. L’essor du pays est suivi d’une augmentation considérable de sa population, qui atteint, en 1976, un milliard d’individus. Les Chinois commencent alors à déborder de leurs frontières, mettant ainsi les nations alentour – et l’Occident – sur le qui-vive. Afin de lutter contre cet inquiétant envahisseur, une coalition internationale se met en place. Mais les troupes de la Société des Nations sont écrasées par celles, bien plus nombreuses, de l’Empire. Jusqu’à l’entrée en scène d’un scientifique, qui propose une solution radicale à Washington : la guerre bactériologique !

L'invasion sans pareille

Martin Eden est un jeune marin au long cours. Sa vie est faite d'aventures, il aime la boisson, les filles, les bagarres. Jusqu'au jour où il rencontre Ruth Morse, jeune femme de la bonne bourgeoisie. Pour la séduire, il renonce à ses mauvaises habitudes, à ses mauvaises fréquentations. À force de travail, il se forge un savoir encyclopédique, et découvre qu'il a un réel talent pour l'écriture. Mais la famille de Ruth voit d'un mauvais oil la liaison de leur fille avec Martin. Celui-ci se donne deux ans pour réussir, faire publier ses écrits, afin d'épouser Ruth. Martin Eden aspire à cette ascension sociale, plus dure sera la chute... Ce roman est considéré comme le meilleur et le plus autobiographique des romans de Jack London. À l'instar de son héros, Jack London se donnera la mort sept ans plus tard. 

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Martin Eden

La vie a perdu sa saveur pour M. Pathurst. New York, la célébrité, les femmes et les arts sont tous devenus fastidieux. A la recherche d'excitation, il s'embarque à Baltimore, sur un voilier en partance pour la Californie, dont l'itinéraire passe par le cap Horn. Il y va trouver beaucoup plus qu'il avait pensé: mers agitées, tempêtes turbulentes, la fille du capitaine et un équipage mutiné. Ses luttes épiques à bord du voilier  Elsinore  i> lui donne un nouvel amour pour la vie, mais pourrait-il survivre pour en tirer profit?

Les Mutinés de l'Elseneur

Cette brève " autobiographie ", parue en 1906, est l'un des textes politiques de Jack London (1876-1916) les plus marquants. Dans ce récit personnel, il retrace le chemin qui le mena à devenir socialiste. Crieur de journaux, pilleurs d'huîtres, ouvrier dans une conserverie, employé d'une teinture, électricien, vagabond... il nous livre ici les voies qui firent de lui un auteur engagé si longtemps méconnus. " Je suis né dans la classe ouvrière. Très tôt, j ai découvert l'enthousiasme, l'ambition, les idéaux; et les satisfaire devint le problème de mon enfance. Mon environnement était primitif, dur et fruste. Je ne voyais nul horizon, seulement de bas en haut. Ma place dans la société était tout en bas. Là, la vie n'offrait que laideur et misère, aussi bien pour la chair que pour l'esprit. Car la chair et l'esprit y étaient pareillement affamés et tourmentés. Au-dessus de moi s'élevait l'édifice colossal de la société, et à mes yeux la seule façon de m'en sortir était par le haut. Alors, j'ai résolu très tôt d'escalader cet édifice. Aux étages supérieurs, les hommes portaient des costumes noirs et des chemises impeccables, les femmes étaient habillées de robes somptueuses. Et il y avait des bonnes choses à manger, et beaucoup. Ça, c'était pour la chair. Et puis il y avait les choses de l'esprit. Loin au-dessus de moi, je le savais, régnaient la générosité de l'esprit, la pureté et la noblesse de la pensée, l'éclat de la vie intellectuelle. Je savais tout cela parce que j avais lu les romans de la bibliothèque Seaside. A l'exception des voyous et des aventurières, tous les hommes et les femmes y avaient de belles pensées, s'exprimaient avec élégance, accomplissaient des actions glorieuses. Bref, le fait que loin au-dessus de moi se trouvait tout ce qui était délicat, noble et gracieux, tout ce qui donne décence et dignité à la vie, tout ce qui la rend digne d être vécue, tout ce qui récompense chacun de son labeur et de sa souffrance, me paraissait aussi incontestable que la course du soleil dans le ciel. "

Ce que la vie signifie pour moi

Jack London (geboren 12. Januar 1876 in San Francisco als John Griffith Chaney; gestorben 22. November 1916 in Glen Ellen, Kalifornien) war ein US-amerikanischer Schriftsteller und Journalist. Er erlangte vor allem Bekanntheit durch seine Abenteuerromane Ruf der Wildnis und Wolfsblut sowie durch den mehrfach verfilmten Abenteuerroman Der Seewolf und den autobiographisch beeinflussten Roman Martin Eden. Diese Werke geben gleichzeitig eine Übersicht über die geographischen Räume, die er kannte: den arktischen Norden Nordamerikas (Klondike) zur Zeit des Goldrausches, Kalifornien und den Pazifik bzw. die Seefahrt auf diesem Ozean. Als erfolgreicher Schriftsteller bekannte London sich in seinen politischen Essays, geprägt durch harte Erfahrungen in der Kindheit, häufig zu den unteren Schichten der Gesellschaft und offen zum Sozialismus, wenn auch sehr eigener Prägung. Er war bis kurz vor seinem Tod Mitglied der Socialist Party der Vereinigten Staaten und bewarb sich 1901 für diese Partei erfolglos um das Amt des Bürgermeisters von Oakland. Sein literarisches Werk wurde international erfolgreich und in zahlreiche Sprachen übersetzt. Zu seinen Lebzeiten war London der erfolgreichste Autor der Welt.

Inhaltsverzeichnis:

Romane: An der weißen Grenze / Ruf der Wildnis / Der Seewolf / Wolfsblut / Martin Eden / Lockruf des Goldes / Die Insel Berande / Ein Sohn der Sonne / Der Ruhm des Kämpfers / Das Mondtal / Meuterei auf der Elsinore / Die Herrin des Großen Hauses / Jerry der Insulaner / Michael der Bruder Jerrys

Autobiografische Erzählungen: Abenteurer des Schienenstranges / König Alkohol

Kurzgeschichten-Sammlungen: Der Sohn des Wolfs / In den Wäldern des Nordens / Drei Sonnen am Himmel / Südsee-Geschichten / Kid & Co. / Die glücklichen Inseln / Nordlandgeschichten

Gesammelte Werke - Vollständige Ausgaben: Ruf der Wildnis, Der Seewolf, Wolfsblut u.v.m.

"John Barleycorn" (littéralement "John Graindorge"), c'est, pour l'Américain de la rue, la personnification familière de l'alcool - c'est-à-dire du whisky -, le mauvais génie des compagnons de comptoir, le Dionysos du pauvre. Publié en 1912, soit quatre ans avant la mort de London, c'est son dernier grand livre, qui eut à l'époque un retentissement énorme. Il y raconte sa vie - toute sa vie - mais vue à travers la lentille déformante de la bouteille. Son autobiographie d'alcoolique en quelque sorte. Un récit lucide et terrible.

John Barleycorn: Le Cabaret de la dernière chance

Jack London (1876-1916) 

"Toute cette histoire remonte à un jour d'élections. Par un brûlant après-midi californien, j'étais descendu à cheval dans la Vallée de la Lune, de mon ranch au petit village, pour voter toute une série de réformes qu'on voulait apporter à la constitution de l'Etat de Californie. Il faisait si chaud que j'avais bu plusieurs verres avant même de jeter mon bulletin dans l'urne, et pas mal d'autres après le vote. Puis j'avais traversé, toujours à cheval, les collines couvertes de vignes et les prairies onduleuses du ranch, et j'arrivais à point pour l'apéritif et le dîner.

- Comment as-tu voté sur le suffrage des femmes ? me demanda Charmian.

- J'ai voté pour.

Elle poussa une exclamation de surprise. Je dois dire que, dans ma jeunesse, malgré mon ardente foi démocratique, je m'étais déclaré adversaire du vote féminin. Quelques années après, devenu plus tolérant, je l'avais accepté sans enthousiasme, comme un phénomène social inévitable.

- Explique-moi donc pourquoi tu as voté pour ? insista Charmian.

Je lui répondis ; je lui répondis en détail, sans cacher mon indignation. Plus je parlais, plus je m'indignais. (Non, je n'étais pas ivre. La jument que je venais de monter portait le nom justifié de « Hors-la-Loi », et je voudrais bien voir un pochard capable de la chevaucher.)

Cependant - comment m'exprimer ? - je me sentais « bien », j'étais allumé, agréablement éméché.

- Quand les femmes iront à l'urne, elles voteront pour la prohibition, dis-je. Ce sont les épouses, les sours, les mères, et elles seulement, qui cloueront le cercueil de John Barleycorn(1)...

- Je te croyais son ami, interrompit Charmian." 

Jack London raconte sa vie de buveur, le pourquoi et le comment... sa rencontre avec John Barleycorn, c'est-à-dire l'alcool et son combat.

L'Appel de la forêt

Résumé

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