Lettres de L'Ecureuil a la Fourmi (Ed. Brochee)

Les atlas de l'Afrique: Mali

Les Collabos

N’est-il pas tentant de chercher les causes du terrorisme et du fanatisme dans la religion et de faire l’hypothèse que si elle venait à perdre de son importance, alors toutes les sociétés trouveraient enfin la démocratie, la paix et la prospérité ? Cette hypothèse paresseuse n’est pas tenable. N’est-ce pas une lutte toute religieuse du Bien contre le Mal qui inspire la politique internationale de George W. Bush ? Symétriquement, les pires ennemis de la démocratie, les régimes totalitaires communistes ou nazis, n’ont-ils pas été violemment antireligieux ? La réflexion sur le fait religieux et sur ses rapports au politique est donc essentielle pour comprendre les phénomènes contemporains les plus déterminants. Les sciences sociales nous y aident-elles ? D’abord soucieux de saisir la société moderne de la manière la plus objective possible, tous les grands sociologues classiques ont abouti à la conclusion qu’à la racine de la société, on trouve le religieux. Mais, après deux siècles de discussion, nous ne savons toujours pas si le concept de sacré est tenable et si l’espoir de définir la religion a encore un sens. Ne suppose-t-il pas la croyance en une essence pérenne et substantielle du religieux, identique à elle-même par-delà ses avatars ? Mais comment fixer une telle essence ? Quel rapport entre les religions primitives et les grandes religions universelles ? Comment expliquer le retour contemporain de la croyance religieuse sur les décombres des religions instituées ? Etc. Voilà quelques-unes des questions essentielles, mais toujours irrésolues, auxquelles ce numéro du MAUSS entend s’attaquer en les posant sans ambages à certains des principaux auteurs pertinents en la matière.

Qu'est ce que le religieux ?

Haïku

Agenda Pléiade 2016

Contes et nouvelles

Souvenirs : Anonymes, Note biographique [Marcel Proust]A. de Noailles, Souvenirs du cœurM. Barrès, Hommage [à Marcel Proust]L. Daudet, Hommage [à Marcel Proust]R. Proust, Marcel Proust intimeR. Dreyfus, Marcel Proust aux Champs-ÉlyséesR. de Billy, Une amitié de trente-deux ansR. Hahn, PromenadeF. Gregh, L'époque du BanquetG. de Lauris, Quelques années avant SwannL. Daudet, TranspositionsJ.-É. Blanche, Quelques instantanés de Marcel ProustG. Gallimard, Première rencontreP. Soupault, Marcel Proust à CabourgG. de La Rochefoucauld, Souvenirs et aperçusW. Berry, Du côté de GuermantesL.-P. Fargue, PortraitsV. Larbaud, EntrevisionJ. Cocteau, La voix de Marcel ProustP. Morand, NotesJ. Truelle, Marcel Proust juge de ses personnagesJ. Porel, L'imagination dans l'amitiéH. Bardac, Marcel Proust devinR. Fernandez, L'accent perduL'œuvre : R. Boylesve, Premières réflexions sur l'œuvre de Marcel ProustP. Valéry, Hommage [à Marcel Proust]A. Gide, En relisant Les Plaisirs et les JoursH. Duvernois, Proust historien d'une sociétéA. Thibaudet, Marcel Proust et la tradition françaiseJ. Boulenger, Sur Marcel ProustP. Desjardins, Un aspect de l'œuvre de Proust : dissolution de l'individuE. Jaloux, Sur la psychologie de Marcel ProustA. Maurois, Attitude scientifique de ProustC. Du Bos, Points de repèreL. Martin-Chauffier, Marcel Proust analysteJ. Rivière, Marcel Proust et l'esprit positifB. Crémieux, Note sur la mémoire chez ProustR. de Traz, Note sur l'inconscient chez Marcel ProustJ. de Lacretelle, Les clefs de l'œuvre de ProustC. Vettard, Proust et le tempsE. Cabire, La conception subjectiviste de l'amour chez Marcel ProustR. Allard, Les arts plastiques dans l'œuvre de Marcel ProustP. Drieu la Rochelle, L'exempleH. Ghéon, Quelques motsP. Brach, De Balbec à VeniseF. Fosca, La couleur temporelle chez Marcel ProustP. Fierens, AnticipationM. C. Marx, Du plaisir de lire Marcel ProustTémoignages étrangers : Collectifs, Hommage d'un groupe d'écrivains anglais [à Marcel Proust]J. Middleton Murry, Témoignage d'un critiqueS. Hudson, Témoignage d'un romancierD. Ainslie, Témoignage d'un amiE. Robert Curtius, Marcel ProustJ. Ortega y Gasset, Le temps, la distance et la forme chez ProustE. Cecchi, Marcel Proust et le roman italienC. Rimestad, Extraits de deux chroniquesA. Ruhe, Lettre de SuèdeE. Fitzgerald, Lettre des États-UnisM.l Proust, La Prisonnière (Fragments) : I. Une matinée au Trocadéro - La Prisonnière (Fragments) : II. La Mort de BergotteAnonymes, Esquisse d'une bibliographieDivers : F. Mauriac, Sur la tombe de Marcel ProustAnonymes, Le Manuscrit

La Nouvelle Revue Française: Hommage à Marcel Proust

« Les femmes régnaient alors… » Ainsi Élisabeth Louise Vigée-Lebrun décrit-elle le siècle de Louis XVI. Peintre de la cour du roi et de Marie-Antoinette, témoin des débuts de la Révolution, de l’Empire napoléonien et de la Restauration, Vigée-Lebrun a peint avec grâce, délicatesse et pudeur les « Grandes » des cours européennes où l’ont mené ses différents exils. Elle a rendue avec précision la magnificence de leur tenue, chaque pli, chaque dentelle, le raffinement de leur chapeau, la bienveillance de leur regard.Le peintre officiel de Marie-Antoinette, dont elle a réalisé plus de 30 effigies et qu’elle a peint avec ses enfants, a représenté avec élégance et naturel aussi bien la famille de Louis XVI que l’entourage de Napoléon, dont la cantatrice Giuseppinna Grassini, une de ses maîtresses, ou que la princesse russe Alexandra Petrovna, devenant ainsi une observatrice privilégiée d’une des plus grandes pages de l’histoire de l’Europe. Magnifiquement illustré, cet ouvrage construit un itinéraire complet à travers une œuvre picturale majeure. Il relate, dans une première partie, la vie du peintre et offre un regard nouveau sur son œuvre, en explique les techniques et propose des clés pour comprendre chaque toile. Une seconde partie donne à voir les plus grandes œuvres du peintre en grand format.

Lettres de L'Ecureuil a la Fourmi (Ed. Brochee)

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