La cinquième empreinte

Considerato un libro di culto tra gli affezionati di Léo Malet, L'ombra del grande muro è il primo dei romanzi "fuori serie" di Malet, in cui l'autore incrocia per un momento quel noir di cui è inventore con il linguaggio e le atmosfere dell'hard boiled. Il grande muro che dà il titolo al romanzo è il muro di cinta del penitenziario di Ossining, New York, dove è rinchiuso il dottor Crawford, la cui storia drammatica Malet ci racconta con lo stile asciutto e denso di sempre.Condannato innocente a tre anni di carcere pur di proteggere l'onore di una donna, Crawford impara in prigione un nuovo codice di comportamento e, scontata la pena, abbandonato dagli amici, senza più nulla, privato persino del diritto di esercitare la professione, si lascia travolgere nella spirale del crimine organizzato. Capitato in mezzo a una banda di gangster, ne diviene infatti il medico e la sua vita si consuma tra assalti in banca, fughe spericolate, revolverate, feriti da salvare e cadaveri di cui disfarsi, fino a quando l'ombra del grande muro, rimasta in lui come un segno indelebile, inesorabile ritorna. Più che l'intreccio e l'indagine è però la vicenda umana a dominare questo romanzo, una vicenda segnata da una sorte crudele e senza vie d'uscita a margine di quell'America anni Trenta fatta di gangster, whisky e revolver facili, di cui tanto abbiamo letto, visto e immaginato."Trascinavo con me l'ombra del grande muro e sulla mia persona l'impronta della grigia dalle sbarre d'acciaio, cruciverba nel quale non si scrive mai l'aggettivo libero".

L'ombre Du Grand Mur

Johnny Metal: roman

Les Nouveaux Mystères de Paris : 17e arrondissement

Installée de guingois sur un canapé, une jambe repliée sous elle et l'autre pendante, la fille n'est vêtue que d'escarpins à talon aiguille et d'une paire de bas noirs tendus par un mince porte-jarretelles de nylon également noir. Au-dessus d'opulents seins arrogants, une adorable petite gueule, encadrée de lumineux cheveux cascadeurs, s'agrémente d'un sourire espiègle, candido-vicelard, du plus troublant effet. Ce n'est qu'une photo. Une parmi les trente ou quarante autres, de même farine, qui illustrent Frissons Très Parisiens, magazine galant, vente interdite aux mineurs, défense d'afficher et de montrer son derrière à tous les passants. 
- Eh bien ? interroge Dany Darnys. 
- On jurerait que c'est vous, dis-je. 
- Mais ce n'est pas moi, proteste-t-elle.

Nestor Burma Tome 7

Une aventure de Johnny Metal, publiée initialement sous le pseudonyme de Frank Harding.

Aux mains des réducteurs de têtes

De Léo Malet à François Guérif, ce recueil épistolaire original (1972-1989) raconte la rencontre entre un écrivain et un lecteur qui, après quelques années, deviendra son éditeur. Tout au long de ces lettres et de ces dédicaces, Léo Malet ressemble étrangement à Nestor Burma : ironique, caractériel, tendre et filou, avec un goût prononcé pour l'érotisme. Il se dévoile un auteur attristé par un succès qui n'est plus, mais soutenu et aidé par un admirateur enthousiaste et zélé. Deux êtres qui s'apprivoisent et nous accédons à la naissance d'une amitié.
Les dédicaces manuscrites amicales se mêlent à des dédicaces pour "collectionneurs avertis" : découpages néo-surréalistes érotiques et jeux de mots filous.

Mon vieux Guérif ; lettres et dédicaces pour "collectionneur"

Ou, du danger que courent les starlettes. Nestor Burma, sans s'en douter le moins du monde, en promènera une, pendant plusieurs jours, complètement nue et réduite à l'état de cadavre, dans le coffre de sa voiture. Mais il y a aussi le drame de l'actrice vieillissante. Un "travelling" mené tambour battant dans une atmosphère satinée.

Corrida aux Champs-Elysées

Casse Pipe À La Nation: 12e Arrondissement

Installée de guingois sur un canapé, une jambe repliée sous elle et l'autre pendante, la fille n'est vêtue que d'escarpins à talon aiguille et d'une paire de bas noirs tendus par un mince porte-jarretelles de nylon également noir. Au-dessus d'opulents seins arrogants, une adorable petite gueule, encadrée de lumineux cheveux cascadeurs, s'agrémente d'un sourire espiègle, candido-vicelard, du plus troublant effet. Ce n'est qu'une photo. Une parmi les trente ou quarante autres, de même farine, qui illustrent Frissons Très Parisiens, magazine galant, vente interdite aux mineurs, défense d'afficher et de montrer son derrière à tous les passants.- Eh bien ? interroge Dany Darnys.- On jurerait que c'est vous, dis-je.- Mais ce n'est pas moi, proteste-t-elle.

La cinquième empreinte

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