Les immortels du football nordiste

Retrospective scenes from a sentimental world - Textes en anglais et en japonais

Hormis une poignée de romanciers de langue anglaise, les littératures de l'Inde contemporaine restent pour nous une immense terra incognita.
C'est à un voyage fascinant, inoubliable, que nous convie ce numéro d'Europe. Par son ampleur et la richesse des découvertes qu'il propose, il n'a pas à ce jour d'équivalent en France. Qu'on en juge : plus de quarante romanciers, nouvellistes et poètes, représentant au total dix-huit langues, de l'ourdou au bengali, du hindi au tamoul, du konkani au malayalam... Comme le rappelle Amitav Ghosh dans un essai publié en ouverture de ce numéro : " On a dit à juste titre que l'Inde n'avait rien donné de plus important au monde que ses légendes.
" Il est nécessaire aujourd'hui de faire connaître ce qui a surgi après l'Indépendance, et plus particulièrement au cours des deux ou trois dernières décennies. On aimera s'immerger dans une littérature rétive aux standards occidentaux, mais qui sait métisser son riche héritage écrit et oral avec les apports majeurs de la modernité venue d'Europe, de Russie et d'Amérique.

Revue Europe n.865 : littératures de l'Inde

Le miroir de vie

Rapport général sur l'activité de l'Union Européenne - 2004

Frankenstein: the First Two Hundred Years

Le terme de nature est le nom que l'humanité a toujours donné au monde matériel, inanimé ou porteur d'une vie biologique, mais auquel l'homme ne reconnaissait pas le privilège d'une vie sociale et intellectuelle du même ordre que la sienne. Par le fait, elle est une figure de l'espace, et elle met en jeu le paradigme de la matière, constituée ainsi en partenaire permanent de l'espèce humaine, c'est-à-dire des sociétés.
C'est cette matière à laquelle s'appliquent, à notre époque comme jamais, des stratégies mais aussi des fantasmes d'artificialisation. " Matériaux intelligents ", images virtuelles, ingénierie génétique, paysages de synthèse : l'espace qui nous entoure, en prenant ce terme dans toute sa généralité, est l'objet d'un processus de transformation de plus en plus conscient et volontariste. D'innombrables débats ont eu lieu sur ces phénomènes. Mais n'est-ce pas les caractères fondamentaux des sociétés humaines qui, à travers leur rapport à la matière, sont mis en cause ? Espaces et Sociétés a voulu ouvrir le dossier, ou tout du moins y contribuer.

Espaces Et Societes N°99 Octobre-Decembre 1999 : La Nature Et L'Artifice

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Voici le premier numéro de la revue " Sociedades brasileiras Educaçâo, trabalho, desenvolvimento/ Sociétés brésiliennes Education, travail, développement ", revue semestrielle bilingue. Cette revue, dont sont à l'origine Jomaria Alloufa, Dinah dos Santos Tinôco, Maria Arlete Duarte de Araûjo, Djalma Freire Borges et Louis Marmoz, née de rencontres et de travaux antérieurs, est, dans son projet même, résolument plurielle, à l'œuvre sur des aspects différents de la réalité brésilienne. Différentes disciplines y concourent et collaborent à une meilleure compréhension de la réalité sociale brésilienne, administration, architecture, démographie, économie, éducation, géographie, littérature ou sociologie, en particulier. La liberté d'écriture nécessaire et le respect des fonctionnements de chacun n'empêchent pas la présentation d'articles sélectionnés en raison de leur caractère " scientifique " attesté par une recherche de preuves et la mise au clair des démarches et des bases des auteurs. Le sous-titre de la revue, " Education, travail, développement ", indique ses domaines privilégiés d'analyse : le travail comme source du progrès, l'éducation qui reste un moyen d'y préparer en même temps qu'à la responsabilité sociale, le développement toujours un but, et un problème. Le thème de ce premier numéro, " Inégalités et mutations " est symbolique, car, dans un pays que l'on dit connaître des mutations incessantes, les inégalités, aussi, sont constamment à l'œuvre.

Les immortels du football nordiste

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