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Traverser Tchernobyl | Galia Ackerman
Traverser Tchernobyl | Galia Ackerman

Traverser Tchernobyl

Publié par Premier Parallèle, le 17 mars 2016

230 pages

Résumé

Le 26 avril 1986, le réacteur numéro 4 de la centrale de Tchernobyl explosait. Sur une catastrophe dont on croit avoir épuisé les récits, des secrets peuvent encore être mis au jour. Voici vingt ans que Galia Ackerman fréquente ceux qui sont la mémoire de Tchernobyl. Scientifiques, artistes, écrivains, ethnographes, et tout ceux qui sont restés, malgré l'interdiction. Quelle vie après la catastrophe ? Traverser Tchernobyl compose un tableau unique et intime du désastre et de ses conséquences. Mais aussi, en creux, de l'ex-URSS et de ce qu'elle est devenue. Loin des images d'Epinal, l'auteure nous emmène dans des lieux inattendus : la plage ensoleillée du bord de la rivière Pripiat, les forêts habitées par une faune sauvage, le cimetière juif abandonné, les alentours du plus grand radar de détection de missiles intercontinentaux de toute l'URSS, les décharges nucléaires. Elle raconte le vieil homme heureux de sa pêche radioactive, les orphelins irradiés, les vrais et les faux héros de Tchernobyl. Un voyage sur une terre fantomatique. Dans le monde d'après. xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx LA PRESSE EN PARLE " Ici point de poésie des ruines, encore moins de nostalgie du soviétisme (honni dès l'enfance) mais une singulière familiarité. Laquelle ouvre à l'auteure bien des portes (les ressorts de l'administration sont plus affectifs qu'on ne veut le croire) et place le récit dans une grande justesse de ton. " Le Monde " Un récit personnel qui retrace vingt ans de voyages dans la zone interdite de Tchernobyl " Marc Weitzmann, France Culture " A la fois grave et extrêmement vivant. Un vrai roman russe. " Olivier Barrot, Un livre un jour, France 3 " Un récit pudique et anti-spectaculaire. " La Vie des Idées " Ses pérégrinations [... ] s'avèrent haletantes. Sidérantes, la plupart des rencontres qu'elle y fait. Miraculeuse, son exhumation de la mémoire juive de ce no man's land. Uniques, les pages, plus métaphysiques, où elle dialogue avec certaines figures littéraires, scientifiques et artistiques. " Alexis Lacroix, Marianne " Un livre tissé d'humanité, de mots sensibles, de biographies bouleversantes. " Mediapart " Au fil de ces pages qui se lisent comme un roman, le lecteur plonge dans un monde étrange, où tout paraît normal et rien ne l'est vraiment. Se mêlent astucieusement les descriptions et les témoignages avec les analyses sur les conséquences sanitaires, écologiques, économiques et culturelles du désastre. " La Croix " La force de ce récit réside surtout dans les deux grandes qualités de l'auteur, au-delà de ses talents de narration et de description : l'empathie et la volonté de la vérité. " Alternatives Economiques " Ce n'est pas le premier livre que Galia Ackerman consacre au sujet, mais c'est le plus beau. " Jean Lebrun, La marche de l'histoire, France Inter " Un récit personnel et très intense. " RFI " Un remarquable ouvrage. " Reporterre " La tonalité de son récit, qui mêle témoignages et réflexion, est à la fois plus personnelle et moins dramatique que La Supplication de Svetlana Alexievitch. " Libération " Une réflexion philosophique, culturelle et anthropologique. " Politis " Ce que le journalisme littéraire peut faire de meilleur. " La Croix " Une indignation salutaire. " La Vie " Un livre émouvant et littéraire, qui raconte l'âme et la mélancolie de cette région où vivent encore 10. 000 salariés de la centrale et quelques centaines de personnes âgées. " Le Figaro " Un live hanté et très touchant. " La Fnac

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