Après la première bataille d'Ypres, en octobre 1914, le corps expéditionnaire britannique est exsangue et ne peut plus tenir un secteur du front aussi important. L'armée française le relève donc et pendant tout l'hiver 1914-1915, tient le saillant d'Ypres, en essayant d'améliorer ses positions.

Les Français à Ypres (1914-1915)

La Normandie a toujours été une terre de légendes et la sorcellerie y hante, depuis des siècles, les campagnes et les villes. C'est surtout à partir du XVIe siècle que des affaires retentissantes de sorcellerie et d'envoûtement secouent la Normandie, notamment dans la Manche, ou encore à Louviers. Au XIXe siècle, les cas de sorcellerie sont encore très nombreux et popularisés par des auteurs comme Barbey d'Aurevilly ou Maupassant. Ce livre présente les cas les plus extraordinaires de sorcellerie dans les cinq départements normands et proposent aux lecteurs la découverte, par de très belles images et photographies, des lieux les plus mystérieux de Normandie, de la lande de Lessay aux profondeurs du bocage.

La sorcellerie en Normandie

Le livre est découpé en trois grandes parties : la guerre en première ligne, les armées s'orga- nisent et une guerre de matériel. Dans la première partie, on retrouve des éléments marquants, souvent inattendus, des cinq an- nées de guerre. Les fronts de Belgique, d'Artois, de la Somme, de l'Oise, du Chemin des Dames, de Verdun et de la Meuse sont abordés, de même que l'armée d'Orient. Certains chapitres sont consacrés, outre l'armée française, aux armées allemande, britannique, américaine et canadienne. La guerre du matériel est consacrée à l'aviation, avec le Fokker monoplan, les hydravions de Fré- jus, le Breguet XIV et les avions du Baron rouge, Manfred von Richthofen. La marine n'est pas oubliée, avec les U-Boote, les cuirassés de classe Bretagne et le raid sur Ostende. Un chapitre est consacré aux automitrailleuses françaises.

Dans les tranchées - 1914-1918

Verdun, avec ses 300 jours et 300 nuits de combats ininterrompus, est le symbole même de la Première Guerre mondiale. Le paysage lunaire du champ de bataille, les tristes visages éprouvés des soldats qui redescendent de l'enfer, la noria des camons sur la Voie sacrée, les forts écrasés sous les obus, perdus et repris au prix d'efforts inhumains, sont autant d'images présentes dans l'esprit de chacun à l'évocation du seul nom de Verdun. Des itinéraires détaillés ; Des clichés d'époque ; Une dizaine de cartes. Ce guide historique et touristique offre aux lecteurs toutes les clés pour mieux comprendre cette bataille terrifiante. Il traite aussi des batailles moins connues livrées sur les aies de la région tortillée de Verdun à partir de 1914 : l'Argonne, Vauquois, la Woëvre, la crête des Eparges, Saint-Michel, sans oublier les offensives américaines de l'automne 1918.

Verdun - Guide historique & touristique

Ce livre offre le premier récit complet écrit en français sur la bataille de la Lys. Illustré de plus de 100 photographies d'époque et de 12 profils en couleur, cet ouvrage raconte en détails les terribles combats livrés par les Portugais, les Britanniques, les Français, de la Lys au mont Kemmel, pour stopper l'invasion

La bataille de la Lys ; Flandre 1918

The Battle of Normandy took place seven decades ago, but the remains can still be seen in the whole area of the landing beaches. With the amazing photographs of François Levalet, you will discover them from a completely novel angle. Yves Buffetaut's texts put the photographs into perspective and offer a complete summary of the events of 6th June 1944.

The normandy landing beaches for above

La plupart des visiteurs du champ de bataille de Verdun se rendent sur les sites emblématiques que sont les forts de Douaumont et de Vaux, l'ossuaire ou encore la tranchée des Baïonnettes et le mémorial de Fleury. Il s'agit évidemment d'une très bonne approche du site de Verdun et qui peut suffire à beaucoup, mais d'autres veulent aller plus loin et c'est à eux qu'est destiné ce guide de la collection "Voir et comprendre". Depuis 1918, la physionomie de l'ancien champ de bataille a beaucoup changé. Le paysage totalement dévasté, nu et constellé de cratères d'obus et de restes de tranchées a laissé place à une forêt quasi généralisée, qui ne correspond pas non plus au paysage d'avant 1916, époque à laquelle les bois étaient nettement moins nombreux puisque les terres étaient cultivées par des habitants des neuf villages disparus. Malgré cette modification de la physionomie du secteur, il n'est possible de bien comprendre la bataille de Verdun qu'en se rendant sur place, et pas seulement sur les sites touristiques, mais au coeur même de la forêt, qui porte encore les stigmates des combats, et où l'importance du relief devient apparente. Nos randonnées permettent de mieux comprendre la bataille. Certaines permettent de découvrir de nombreux vestiges, d'autres offrent une meilleure perception des endroits où évoluaient les soldats, soit pour monter au front, soit pour combattre.

Verdun - Randonnées sur le champ de bataille

Les plans militaires français prévoyaient, avant 1914, une guerre se déroulant essentiellement dans l'est de la France. Le plan Schlieffen, de l'état-major allemand, jette les armées du Kaiser sur la Belgique, puis elles pénètrent dans le nord, sans s'y arrêter, l'objectif étant de détruire l'armée française entre Paris et les Vosges. Après le coup d'arrêt de la Marne, les deux adversaires essaient de se tourner en passant par l'ouest. Ainsi débute la course à la mer, qui porte la guerre dans la Somme, puis le Pas-de-Calais et le Nord, avant de venir mourir en Belgique. Ce livre retrace l'invasion du nord de la France, avec les combats livrés autour d'Arras, de Notre-Dame-de-Lorette, les batailles de Maubeuge et de Lille, ainsi que l'occupation allemande et la terrible vie des populations civiles sous la domination allemande.

Nord 1914, l'invasion

L'histoire de France s'est forgée dans les guerres et chaque famille a fourni au royaume puis à la nation des générations de soldats. Les traces de ces combattants ont disparu pour les périodes les plus anciennes, mais l'administration militaire a été l'une des premières, après le clergé, à tenir des registres nominatifs sur chaque individu. Dès 1716, une ordonnance royale prescrit au major de chaque régiment de tenir à jour par compagnie un registre spécifique donnant les noms de famille, prénoms, surnoms ou noms de guerre, le lieu de naissance, l'âge, la date d'engagement, le signalement, la date de mort, du congé ou de la désertion. La période de la Grande Guerre offre probablement au généalogiste la plus grande source d'informations qu'il soit possible de glaner, tant les archives sont riches et parlantes. Grâce aux historiques régimentaires et surtout aux journaux des marches et opérations, c'est la vie même dans les tranchées qui s'impose au chercheur, tandis que l'aide fournie par internet se révèle décisive pour découvrir aisément la carrière militaire du ou des poilus que chaque famille a compté.

Les Français à Ypres (1914-1915)

Résumé

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