Bart Fraden came looking for a planet to conquer - and found the hell-hole of the galaxy: Sangre - the killer planet.  For three centuries Sangre had been dominated by the sadistic Brotherhood of Pain, a priesthood dedicated to torture, slavery and cannibalism.  Bart sensed the kind of revolutionary potential that he could manipulate to make himself ultimate ruler. But he hadn't counted on the apathy of a people bred as meat animals and the dreadful power wielded by the Brotherhood.  Sangre might cost him more than his life - it might destroy his soul . . .

The Men in the Jungle

Welcome aboard the sex-drive void ship . . .
Captain Genro commands the giant spaceship Dragon Zephyr - on board are ten thousand passengers in electrocoma, a smaller number of conscious passengers eagerly utilising the ship's dream chambers - and a Pilot.
In the context of space travel, the Pilot is merely a biological component in the machine.  Always a woman, her function is to launch the ship into the Jump by means of a cosmic orgasm.  She is a pariah, shunned by all.
Void Captain Genro should never even have spoken to his Pilot, let alone tried to embark on a relationship with her.  When he did so, the result was every space traveller's nightmare.
A Blind Jump into the Void . . .

The Void Captain's Tale

La tranquillité de Pacifica, capitale interstellaire des media, se voit menacée par l'arrivée, coup sur coup, de vaisseaux de la Science transcendantale, organisation œuvrant pour que l'homme dépasse toutes les limites de la nature, et de la Femmocratie, qui a transformé la Terre ravagée par la volonté de puissance des hommes en une dictature féminine de culture lesbienne qui a réduit les hommes à l'état d'esclaves reproducteurs. Pacifica leur offre un terrain idéal pour le déferlement médiatique de la guerre du Rose et du Bleu.On pourrait rapprocher ce roman de L'orbite déchiquetée de John Brunner : un élément étranger perturbatif (Morton Lenigo dans l'orbite, les Transcendantaux et les Femmocrates ici) met à jour une crise larvée dans une société trop tranquille. Mais, tandis que cette crise servait chez Brunner à démontrer les carences du système en place, elle permet pour Spinrad de le conforter et d'en prouver la justesse. C'est d'ailleurs la bizarrerie de ce roman : pour contrebalancer les délires des deux camps en présence, Spinrad fait les louanges de sa "démocratie électronique", qui est encore ce qui se rapproche le plus de la perfection. On peine à croire à cette utopie peu enthousiasmante, et Spinrad apparaît bien moins à l'aise dans ce rôle d'apôtre du juste milieu que dans celui de critique féroce des manipulations médiatiques : ses descriptions des campagnes des Transcendantaux et des Femmocrates, qui montrent le ridicule de leurs deux conceptions du monde, sont particulièrement bien senties, et sont proprement jubilatoires. Le modèle pacificain offre par contre une alternative pas si ragoûtante que çà, et son idée finale du rôle des hommes et des femmes est toute personnelle à Spinrad.Il est intéressant de noter que ce roman présente la même ambiguïté que Les miroirs de l'esprit, écrit la même année : Spinrad dénonce les méthodes des Transcendantaux comme des Transformationalistes, mais en vient à utiliser leurs réalisations, et de ce fait à cautionner leurs buts.

A World Between

Bart Fraden est à la recherche d’un monde à conquérir. Il pense avoir trouvé le candidat idéal : Sangre, planète dominée depuis trois siècles par la Confrérie de la Souffrance, bande de sadiques qui s’adonnent à la torture, l’esclavage et le cannibalisme. Fraden est persuadé que sa population est mûre pour une révolution, surtout si c’est lui qui la commande. Pourtant, ce qu’il découvre sur place risque non seulement de contrarier son plan, mais mettra en péril son âme…

Ces hommes dans la jungle

Les Avaleurs de vide : Depuis des siècles qu'ils errent dans l'espace, les vagabonds du Trek se sont presque accoutumés à l'immensité interstellaire. Presque. Car l'espoir ne les a pas quittés de découvrir un jour le nouvel Eden qui remplacera le monde que leurs ancêtres ont assassiné : la Terre. La Grande Migration sillonne l'abîme infini, précédée par des éclaireurs, les avaleurs de vide, qui, eux, connaissent l'insupportable vérité... Deux Ex : L'esprit d'un prêtre mourant a été téléchargé dans l'ordinateur le plus avancé de son temps, provoquant ainsi un conflit fascinant, divertissant et intellectuellement stimulant entre les divers personnages impliqués dans cette expérience, y compris une papesse à la tête de l'Eglise catholique et un hacker qui préférerait être en train de naviguer sur les mers, pétard à la main...

L'Autre Côté du réel - Les Avaleurs de vide ; Deus Ex

Depuis des siècles qu'ils errent dans l'espace en quête d'une planète habitable, les vagabonds du Trek se sont presque accoutumés à vivre suspendus dans l'immensité interstellaire.Presque. Car l'espoir ne les a pas quittés de découvrir un jour, dans cet univers vide et sans vie, le nouvel Eden qui remplacera le monde que leurs ancêtres ont assassiné : la Terre.A bord des vaisseaux-torches, la Grande Migration sillonne l'abîme infini, précédée par des éclaireurs, les avaleurs de vide, qui, eux, connaissent l'insupportable vérité.Norman Spinrad, c'est le plus corrosif, le plus violent et quelquefois le plus cruel. On ne peut pas le lire sans perdre un peu de son innocence. Mais alors, quel punch ! quel humour ! quel rythme ! Avec lui, tout de suite, on est en pleine frénésie. Surtout dans Les Avaleurs de vide, ce roman pour lequel il a une tendresse particulière.

Les avaleurs de vide

À ma gauche : Jack Barron ! Ancien contestataire engagé. Aujourd'hui présentateur vedette du plus grand show télé d'Amérique. Une émission où l'on règle ses comptes en direct ! Pour lui, seule compte sa place. Il est prêt à tous les compromis pour la conserver. À ma droite : Benedict Howards ! Président de la Fondation pour l'immortalité humaine. Accessoirement, le premier immortel de l'histoire du monde. Il contrôle la mort, il ordonne donc à la vie. Avec un tel pouvoir, nul ne peut lui résister ! Alors, lorsque l'affrontement commence, il est sans merci : pouvoir ou média, lequel des deux l'emportera ? Ce qui leur manque : amour et humanité. Quelle place reste-t-il pour ces deux concepts surannés dans leur vie ?Le pouvoir est le thème central de l'oeuvre de Spinrad : son acquisition, sa conservation, son emploi. Sa critique acerbe de notre société est à rapprocher de celle de John Brunner. Ce roman décapant a fait grand bruit lors de sa sortie en 1968 dans la revue New Worlds dont il a entraîné l'interdiction.

Jack Barron et l'éternité

Dans l'univers virtuel, pourquoi se priver de créer des vedettes synthétiques quand on est MUSIK, la mégasociété du showbiz, autant dire le diable ? Avec l'aide de Glorianna O'Toole, la Grand-Mère Terrible du Rock rescapée de l'Age d'Or, de Bobby Rubin, génie du synthétiseur d'images, et de Sally Gennaro, une oreille d'or. Seulement voilà. Cyborg Sally, la vamp électronique, ne retournerait jamais dans les coulisses. Elle allait faire la Révolution. Et pas seulement celle de la musique... Comme il l'avait fait jadis dans Jack Barron et l'éternité, Norman Spinrad dresse un tableau inquiétant et spectaculaire de l'avenir proche. Un roman vibrant au rythme du Rock & Roll éternel.

Rock Machine

LA TROISIEME GUERRE MONDIALE EST POUR DEMAIN !Hassan al Korami, émir d'un riche état pétrolier du golfe Persique, est parvenu à se procurer l'arme atomique auprès de cyniques marchands internationaux. Ses menaces visent la sécurité d'Israël. Les Etats-Unis et l'URSS ne peuvent rester indifférents. La tension monte, les ultimatums se succèdent et plus rien ne semble pouvoir empêcher l'Apocalypse nucléaire. Seulement...Le président des Etats -Unis est devenu totalement obsédé sexuel à la suite d'une overdose... Le chef de l'Etat soviétique est mort depuis 10 ans et c'est son cadavre animé qui dirige le pays... La bombe livrée au Koram est contrôlée par des jeux vidéos pleins de soucoupes volantes et de monstres poilus !Seul l'humour corrosif de Norman Spinrad pouvait donner toute son ampleur à ce récit inédit, satirique et délirant, mené tambour battant, mais pas si éloigné que ça de la réalité.Un nouveau tour de force de la part de l'auteur de Rêve de fer et de La dernière croisière du Dragon Zéphyr.

The Men in the Jungle

Résumé

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Critiques

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