Histoire de l'huître en Bretagne

René Quillivic - Un artiste breton

Henri Rivière (1864-1951) est un des artistes français les plus populaires, non pas forcément par son nom, mais par ses estampes à la manière japonaise. Elles ont connu une fortune extraordinaire depuis leur création au tournant des XIXe et XXe siècles.

Sont ici rassemblées pour la première fois en un élégant recueil, dans leur ordre original et au complet, les fameuses séries « La féérie des heures », « Paysages parisiens », « Aspects de la nature », etc.

Toutes les oeuvres lithographiées donc, qui comptent aussi affiches, panneaux de spectacle, etc., fidèlement reproduites, indexées, accompagnées de commentaires de spécialistes référents. Avec un soin particulier apporté au contexte de production, édition et diffusion des lithographies à l'époque de Rivière. Des recherches de première main, sur la piste de Rivière, avec à la clef de très nombreux documents inédits parmi les 300 images reproduites.

Henri Rivière estampes : catalogue raisonné des lithographies

La série d'estampes "Le beau pays de Bretagne" d'Henri Rivière est publiée de 1898 à 1917. Elle saisit avec une poésie japonisante unique les paysages et les habitants de ces côtes chères à l'artiste. Ce recueil les réunit dans leur ordre original, avec l'ensemble de leurs informations. Au-delà de la collection : un rêve sur papier.

Henri Rivière - Le beau pays de Bretagne

En prélude au livre à paraître aux éditions Locus Solus de l?intégrale des lithographies d?Henri Rivière (présentées par les deux mêmes spécialistes), voici rassemblées 2 séries emblématiques complètes : « Les 36 vues de la Tour Eiffel » et « Paysages parisiens ». Une courte présentation précède ce mini art book à s?offrir comme un livresouvenir de Paris, au charme accentué par sa finition sur papier de création et sa maquette élégante et sobre. Ce livre-objet célèbre Paris et initie à l?art de Rivière. Henri Rivière (1864-1951) est un des artistes les plus populaires, non pas forcément par son nom mais par ses estampes à la manière japonaise. Elles ont connu une fortune extraordinaire depuis leur création au tournant des XIXe et XXe siècles. Et si quelques livres les ont déjà évoquées (dernier paru : Catalogue de la BnF, 2016), rien de récent n?est disponible à ce jour.?

Henri Rivière vues de Paris

Carantec

Jean-Georges Cornélius naît à Strasbourg le 23 janvier 1880. Sa famille quitte l'Alsace en 1895 et Cornélius intègre alors l'atelier de Gustave Moreau. A la mort de celui-ci, il suit les cours de René Ménard, Luc-Olivier Merson et  intègre l'Académie de la Grande Chaumière où il fait la connaissance d'une jeune américaine qui devient sa femme en 1917, Auria Moses. 
Entre 1905 et 1913, il réalise un très grand nombre d'illustrations d'inspiration médiévale pour des revues et deux ouvrages, dont « La Chanson de Roland » en 1912.
Engagé volontaire en 1914, il devient infirmier dans une unité combattante, il sera blessé à deux reprises lors des combats. Ce conflit le marquera a tout jamais et, à partir de 1920,  il oriente sa peinture vers un mysticisme et un expressionnisme qui vont lui permettre de bâtir une oeuvre unique, en dehors du temps. 
Il expose alors à Paris, aux Etats-Unis ainsi qu'en Belgique. Il illustre avec bonheur Oscar Wilde ou Charles Baudelaire. En 1929, il fait la connaissance de Georges Bernanos avec qui il se lie de manière très profonde. D'origine protestante, il se convertit au catholicisme en 1931.  Installé en Belgique, puis aux Baléares et à Paris, il revient fréquemment dans sa propriété bretonne de Boursoul, non loin de Paimpol, car la Bretagne l'inspire et imprègne son oeuvre. Sur les conseils de Bernanos, la famille Cornélius déménage au Brésil (où il expose) en 1947, puis à Rome, avant de revenir définitivement en Bretagne. Sa dernière exposition  se tient à Nantes en 1956. Jean-Georges Cornélius décède à Ploubazlanec en 1963

Jean-Georges Cornelius ; un primitif du XXe siècle

La baie de Morlaix est ce vaste espace maritime qui s'étend de Primel-Trégastel à Roscoff et à l'île de Batz. Olivier Levasseur nous la fait parcourir, au travers de cartes postales et documents photographiques anciens, en insistant tout particulièrement sur les aspects maritimes. Au fil des pages, nous découvrons : la pèche, la construction navale, l'ostréiculture, mais aussi le tourisme, les régates, les écoles de voiles, les plages... Du Dourduff à Penzé, de Locquénolé au Diben, de Carantec à l'île de Batz, de la rivière de Morlaix à Térénez nous partons pour une découverte de la baie dans l'espace et dans le temps.

Histoire de l'huître en Bretagne

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