Avant de se coucher, Lolotte et ses deux amis se retrouvent au pays des oreillers et des polochons. Un pays plein de surprises et d’aventures, qu’il est indispensable de visiter avant de s’endormir !

Lolotte et le polochon

C'est la rentrée scolaire demain et Lolotte ne veut pas aller à l'école. Mais Cocotte et Crocotte trouvent les mots pour la rassurer.

Lolotte à l'école

"Un super petit déjeuner ? Bof..." " Une bataille d'oreillers ? Bof..." " Une partie de cache-cache ? Bof..." A chaque page, une mère énergique propose une nouvelle idée pour sortir sa fille de son humeur morose. Son enthousiasme débordant aura-t-il raison du fameux "Bof...", hantise des parents ?

Bof...

Augustin a perdu sa Zouzette. Pourtant, hier, elle était encore là. Pourtant, hier, elle lui promettait de lui lire une histoire. Alors, forcément, elle va revenir. Alors, forcément, elle ne peut pas être partie bien loin. Zouzette aime tant quand il déballe tous les petits mots, les petits riens qu'il fourre dans son sac à dos. " Elle ne reviendra plus. Elle est partie dans un autre monde. " explique le papa d'Augustin. Le petit garçon n'y croit pas. Si elle est partie, on n'a qu'à aller la chercher. 
Mais ce n'est pas si simple. Et Augustin reste seul, sans sa Zouzette. Il se met en colère. Il pleure. Il n'a plus envie de rien. Il se sent vide et triste.
Puis le temps passe, et le vide devient moins grand. Augustin apprend à vivre avec l'absence. 
Et, un jour, dans sa poche, il retrouve un petit rien de Zouzette. Il se souvient et ça lui fait du bien.

L'incompréhension, le déni, la colère, la tristesse, la guérison. Dans cet album, toutes les émotions que suscite le deuil sont mises à la portée des enfants. 
Zouzette, on ne sait pas qui c'est. Mais ce n'est pas important. L'important, c'est l'attachement que lui porte l'enfant, et le vide qu'elle laisse dans sa vie quand elle part. Un euphémisme que ne comprend pas Augustin. Quand on part, on revient forcément. 
C'est toute la force de ce livre : expliquer, avec justesse et délicatesse, le caractère définitif de la mort et lui opposer la force du souvenir.

Le petit rien d'Augustin

Un oisillon est tombé du nid. Pauvre Petit-Bec ! Heureusement, Sidonie se transforme volontiers en infirmière pour lui porter secours. Elle installe un campement, confectionne un nid douillet, prépare des bouillies, cajole et réconforte le blessé. Quels autres trésors d'inventivité et de malice Sidonie va-t-elle déployer pour venir en aide à son nouvel ami ?

Sidonie & Petit-Bec

Quand on se déguise, tout peut arriver. On devient reine dans un château, on rencontre un dragon et on fait un spectacle de cirque avec lui. On peut aussi devenir pompier, éteindre un grand feu, et se retrouver pirate à bord d'un bateau pour finalement partir à la chasse au trésor ! Que d'aventures !

Lolotte se déguise

Dans le monde de Léa et Tom, les rues et les établissements scolaires ont des noms de femmes célèbres, et ce sont les hommes qui s'occupent des enfants. Comme dans toutes les écoles, on apprend que le féminin l'emporte sur le masculin, « parce qu'il est réputé plus noble que le masculin à cause de la supériorité de la femelle sur le mâle ». Il en est ainsi depuis la nuit des temps, et personne ne semble vouloir remettre en cause cet ordre établi. Pourtant, Léa et Tom voient bien que quelque chose ne va pas. Alors, ils se mettent à réfléchir, et détricotent ensemble les clichés de ce monde où règne la domination féminine.

Renversante

Avec beaucoup d'humour, Clothilde Delacroix nous parle de ce moment privilégié que sont les vacances, dont parents et enfants ne retiennent jamais les mêmes choses (le voyage en train plutôt que la destination de rêve, les toilettes du musée plutôt que les toiles des grands maîtres...).
Du farniente casanier où l'on apprend à lâcher prise, au grand départ vers le bord de la mer, les vacances se savourent et sont l'occasion d'un temps différent, un peu suspendu, avec toujours autant de complicité entre mère et fille.

Les vacances, maman et moi

Dans le monde de Léa et Tom, les rues et les établissements scolaires ont des noms de femmes célèbres, et ce sont les hommes qui s'occupent des enfants. Comme dans toutes les écoles, on apprend que le féminin l'emporte sur le masculin, « parce qu'il est réputé plus noble que le masculin à cause de la supériorité de la femelle sur le mâle ». Il en est ainsi depuis la nuit des temps, et personne ne semble vouloir remettre en cause cet ordre établi. Pourtant, Léa et Tom voient bien que quelque chose ne va pas... Alors, ils se mettent à réfléchir, et détricotent ensemble les clichés de ce monde où règne la domination féminine.

Lolotte et le polochon

Résumé

Plus de livres de Clothilde Delacroix

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques