Monsieur butterfly

"Certains jours, je me dis qu'en fin de compte je vais acheter une île déserte; que je vais prendre tous les autistes de la Terre et les emmener avec moi. La souffrance, de quoi est-elle faite, au juste - la nôtre, la leur? Qu'est-ce qui distingue l'une de l'autre? Combien pèse-t-elle? Qu'est-ce qui constitue le contraire de la souffrance ? Et si c'était le partage, l'apprentissage, la découverte, l'ouverture de l'horizon?" H. B. " Un livre fascinant. " Le Nouvel Observateur. " D'une belle plume, poétique et efficace à la fois, voilà un ouvrage émouvant et tendre, sur un sujet difficile et poignant. " Psychologies.

Il y a quelqu'un là-dedans - Des autismes

Le coeur sous le rouleau compresseur

Burton Rembrandt has the sort of perspective on life that is almost impossible for adults to understand: the perspective of an 8-year-old. And to Burt, his parents and teachers seem to be speaking a language he cannot understand. This is Burt's story as written in pencil on the walls of Quiet Room in the Children's Trust Residence Center, where he lands after expressing his ardent feelings for a classmate. It begins: When I was five I killed myself....In this rediscovered modern classic from "one of France's best-loved temporary writers" (Time), Howard Buten renders with astounding insight and wry language the tale of a troubled -- or perhaps just perfectly normal -- young boy testing the boundaries of love and life.

Quand j'avais cinq ans, je m'ai tué

Rofo le clown - Occasion

Hoover sears, clown professionnel, anime les anniversaires - avec une certaine lassitude.
 Le jour oú l'hôpital lui confie quatre enfants malades à domicile, il est aux anges.  harold, tina, ralf et mickey deviennent vite son unique raison de vivre.  mais une commission d'experts le déclare fou et tente de lui enlever ces enfants.  l'amour débordant de ce clown écorché aura-t-il raison des préjugés ?.

C'etait mieux avant

Coeur sous le rouleau compresseur (le)

"Les enfants autistes que j'ai rencontrés, j'ai pensé qu'ils avaient une culture à eux. Qu'ils chantonnaient une musique à eux, qu'ils faisaient des bruits, et c'était leur langue à eux, qu'ils se balançaient et c'était leur danse à eux. Bizarre, quoi, un peu comme s'ils venaient d'un autre pays - et même d'une autre planète. Mais, justement, non, ce qui est bien, c'est qu'ils sont de chez nous. On les a sous la main. Ils ont forcément plein de choses à nous apprendre, même quand ce qu'ils font nous effare. Faut savoir en profiter..."

Monsieur butterfly

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