Il progresso delle neuroscienze, l'uso degli psicofarmaci, le terapie brevi centrate sulla correzione del sintomo sembrano decretare la morte della psicoanalisi. La cura deve comprimersi il più possibile: poche parole e più fatti!Contro questa deriva cinica un pamphlet che sintetizza perché vivere senza inconscio sarebbe una catastrofe interiore.

Elogio dell'inconscio

Nous avons tous été des Télémaque. Nous avons tous au moins une fois regardé la mer dans l'attente de quelque chose. Quelque chose revient toujours de la mer... Aujourd'hui, ce que nos enfants attendent, c'est un père, mais pas n'importe quel père, pas un père autoritaire, à l'ancienne, mais un père qui puisse, par sa présence, témoigner de sa foi en l'avenir et donner un sens à l'existence. Télémaque est ce fils qui non seulement attend le retour de son père Ulysse, mais qui part à sa recherche. Il est celui qui oeuvre pour que soient rétablies, dans sa maison envahie par les prétendants, la loi et la parole paternelles. Ici nul conflit entre générations comme chez OEdipe, nulle affirmation stérile de soi comme chez Narcisse, mais une demande inédite de père, un besoin de témoignage qui établisse de façon ferme qu'on peut vivre avec dynamisme et vitalité sur cette terre. Au final, c'est de ce voyage du fils que dépendront le retour du père, le rétablissement de la Loi et la possibilité d'une nouvelle alliance entre générations. Au coeur d'une réflexion très actuelle sur les relations parents/enfants, la question cruciale de la transmission et de la filiation : de quoi nos enfants ont-ils fondamentalement besoin d'hériter pour pouvoir avancer dans la vie ?

Le complexe de Télémaque - Reconstruire la fonction du père

Qui n'a jamais cherché à « déchiffrer » l'énigme de l'amour ? Qui ne s'est demandé s'il était voué à l'éphémère ou s'il pouvait durer toujours ? Parce que le baiser est l'image qui condense plus que toute autre le mystère de l'amour, le psychanalyste italien Massimo Recalcati explore ce moment d'intimité pour répondre à d'éternelles questions.Le désir, les enfants, la trahison et le pardon, la violence, la séparation et l'amour infini sont les sujets de ces brèves leçons qui, dans la lignée de Fragments d'un discours amoureux de Roland Barthes, proposent une réflexion passionnante sur le miracle d'aimer.« Une superbe analyse du couple, du premier regard à la séparation. » Donna Moderna« Si vous lisez les mots de Massimo Recalcati sur l'amour, vous tomberez amoureux... de l'amour, tout simplement. » La Repubblica

Retiens le baiser ; 7 brèves leçons sur l'amour

Qui n'a jamais cherché à « déchiffrer » l'énigme de l'amour ? Qui ne s'est demandé s'il était voué à l'éphémère ou s'il pouvait durer toujours ? 

Parce que le baiser est l'image qui condense plus que toute autre le mystère de l'amour, le psychanalyste italien Massimo Recalcati explore ce moment d'intimité pour répondre à d'éternelles questions.

Le désir, les enfants, la trahison et le pardon, la violence, la séparation et l'amour infini sont les sujets de ces brèves leçons qui, dans la lignée de Fragments d'un discours amoureux de Roland Barthes, proposent une réflexion passionnante sur le miracle d'aimer.

« Une superbe analyse du couple, du premier regard à la séparation. » Donna Moderna

« Si vous lisez les mots de Massimo Recalcati sur l'amour, vous tomberez amoureux. de l'amour, tout simplement. » La Repubblica

Retiens le baiser

Alors que la gloire de la version symbolique du Père a expiré, l'auteur s'attache à penser au père en tant que reste et non idéal normatif, comme incarnation et non fonction signifiante, comme acteur singulier et non pur symbole, comme rencontre contingente plutôt que Nom, comme responsabilité éthique et non garantie ontologique. Dans une série de témoignages sur ce qui reste du père - Philip Roth, Cormac McCarthy et Clint Eastwood -, il offre des visions de la paternité complètement détachées de la dimension théologique et normative qui a caractérisé, sous plusieurs aspects, la fonction oedipienne théorisée par Freud. Par définition, ces témoignages ne sont pas exemplaires. Ils montrent que ce qui reste du père est l'acte singulier sans écran ni garantie avec lequel un père, privé de tout support idéal, sait offrir une solution possible et réelle pour unir le désir à la Loi, pour préserver le mystère de la vie et de la mort, la responsabilité de l'héritage et de la transmission.

Ce qui reste du père - La paternité à l'époque hypermoderne

Que se passe-t-il dans les liens amoureux quand l'un trahit l'autre, ne tient pas sa promesse, vit une autre expérience affective dans le secret et l'infidélité ? Que devient cet amour investi par le traumatisme de la trahison et de l'abandon ? Et que se passe-t-il si celui qui a trahi cherche ensuite à être pardonné ? Si, après avoir décrété que "ce n'est plus comme avant", il demande à être encore aimé en espérant que, justement, tout "redevienne comme avant" ? Le pardon est-il alors possible ? Ou faut-il redire après la sentence freudienne que l'amour n'est qu'un rêve narcissique, et qu'il n'y a pas d'amour pour l'Autre qui ne soit amour de soi-même ?

Ce n'est plus comme avant... - Eloge du pardon dans la vie amoureuse

Imbibée des couleurs de sa souffrance psychique, la peinture de Van Gogh a nourri une longue tradition interprétative dans laquelle la psychanalyse a largement puisé. Dans cet essai inspiré, qui se refuse à toute tentation pathographique, Recalcati réexplore les visages de la mélancolie dans les tableaux du peintre, et retrace les racines historiques de sa psychose. Selon l'auteur, c'est bel et bien son adoration de l'art, d'abord salvatrice, qui finira par engloutir Van Gogh et le plonger dans les abîmes de la folie. En quête d'un absolu qui restaurerait une identité déchirée, l'artiste, irrémédiablement attiré vers le sud, approchera de trop près une Lumière incandescente qui, comme dans le mythe d'Icare, embrasera ses toiles... et sa vie mentale.

Mélancolie et création chez Vincent Van Gogh

Jean-Paul Sartre manifestò fin da bambino la sua ossessione per Gustave Flaubert imparando a memoria le pagine finali di Madame Bovary. La sua ammirazione divenne astio quando, ormai adulto, riconobbe nel romanziere di Salammbô un esteta borghese, connivente con la classe cui apparteneva e che pure disprezzava. Volle vedere in Flaubert un avversario, il suo opposto intellettuale e politico; quell'opposto che, come è noto, tanto somiglia all'immagine restituita dallo specchio. Forse per questo Sartre accettò di inseguire l'ombra dell'altro scrittore in una magistrale biografia, di trattare il proprio contrario con l'empatia necessaria a comporre un ritratto che fosse anche un riflesso traviato di sé. Chi era dunque Gustave Flaubert? L'idiota della famiglia, un bambino preda di lunghi stati d'assenza stuporosa, lo sguardo perso a inseguire miraggi? Oppure, per chi lo conobbe adolescente, l'istrionico attore mancato, il guitto maldestro gravato dalla dannazione di suscitare il riso? O forse l'incurabile nevrotico dell'epistolario, che accarezzava con la mente la corolla di tenebre delle sue malinconie, senza mai lasciarne sfiorire i petali? E come ha potuto divenire un genio quel bambino che i genitori e il fratello avevano destinato a una vita da ebete?Libro eretico e inclassificabile, ridefinizione dell'etica sartriana della libertà, cruciale incontro tra due giganti della letteratura francese, L'idiota della famiglia - cui si aggiunge oggi la penetrante prefazione di Massimo Recalcati - è un viaggio nel dedalo della psiche flaubertiana, nell'arte come via di fuga e rieducazione sentimentale, nell'anomalia claustrofobica della scrittura; ed è insieme un tentativo di chiarire in che modo la storia, la società, il contesto familiare - in una parola, l'Altro - diano forma alla vacillante sintesi di un individuo. Al fondo di tutto, un'unica, enorme domanda: che cosa si può sapere davvero di un uomo?

Elogio dell'inconscio

Résumé

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