Un album muet qui a pour sujet le printemps sur un mode poétique et rêveur.

Nouvelles de printemps

Horreur ! Un matin, Jacquotte, Charlotte et la Grabote ne retrouvent plus leurs culottes ! Une version détournée et féminine des Trois Petits Cochons. Un drame à vous donner les chocottes ! A la fois comptine pour les plus petits, avec ses nombreuses rimes en " -otte " tricotées par Sylvie Chausse, et conte détourné qui crée une complicité avec le lecteur en jouant avec les références implicites. Anne Letuffe a composé des images en techniques mixtes (photo, dessin, tricot...) que la maquette complète avec beaucoup de malice par l'intégration de photos dans le texte.

3 petites culottes

Un très bel imagier photo sans texte, qui associe un élément du paysage avec un élément du corps de manière fine et poétique. Le principe de découpe établit la relation métaphorique entre la photographie de notre environnement et le dessin du corps : ce dialogue apporte aux petits la prise de conscience de soi dans le monde qui nous entoure, en jouant sur les sensations et les émotions.

Le tout petit

Je suis tout joyeux
Je suis tout rêveur
Je suis tout colère
Je suis tout...

Je suis tout

Un imagier pour jouer avec le monde. Après "Le Tout Petit", récompensé par le prix Pitchou, et "Je suis tout", Anne Letuffe récidive. Grâce à un habile procédé de découpe, elle fait dialoguer photos et dessins et incite l'adulte lecteur et le jeune enfant à en faire autant, à établir des relations, à créer du lien et donner du sens. Avec ce nouvel album, qui ne devrait pas démentir le succès des précédents, elle propose une mise en parallèle des activités humaines ou des éléments de la nature, avec les jeux d'enfant : constructions, découpages, balançoire, empilements, etc. "Touche à tout", à mettre entre toutes les mains... en ces temps où les distanciations s'imposent !

Touche à tout

Meunier, tu dors, ton moulin, ton moulin va trop vite, Meunier tu dors, ton moulin, ton moulin va trop fort !
Mais le monde continue de tourner lorsqu'on dort, à tourner à grand vent ! La machine semble même s'emballer : les grains se moulinent avec l'aide des petites souris, la farine s'envole dans les rues du village, les habitants viennent se servir de sacs rebondis, pour fabriquer, l'oeil gourmand, toute sorte de bons gâteaux ! Et lorsque le meunier ouvre enfin l'oeil, c'est pour découvrir son village plongé à son tour dans une sieste réparatrice !

Meunier, tu dors...

Le loup a donné son nom au Louvre ! Eh oui, le mot Louvre vient du latin " lupara ", qui signifie " loup ", ou, plus précisément, " lieu habité par les loups ". Il y a très longtemps, les loups entraient dans Paris et avaient élu domicile à un endroit, sur la rive droite, qui fut baptisé " Lupara ". Le mot a évolué à travers les âges, pour devenir " Louvre ". C'est ici que Philippe Auguste a construit, au XIIIe siècle, son château féodal, qui prit le nom du lieu-dit : " Le Louvre ". Ce château est aujourd'hui le musée du Louvre !

Le Loup du Louvre

Aujourd'hui Arthur et Ursule ont décidé de vivre une grande aventure. En forêt, ils trouveront une masure en pleine déconfiture.

Nouvelles de printemps

Résumé

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