Cisterciens

Editions du stendhal club 1922 1935

Mon cahier d'activités

Cet ouvrage retrace l'évolution urbaine de Rennes, à travers le lotissement, l'une des principales formes d'extension de la ville, les monuments, investis d'un rôle d'embellissement du centre, et l'équipement, qui vient consolider un quartier périphérique. Alors que jusqu'à la fin du Moyen Âge, l'enceinte joue un rôle déterminant entre ville haute et ville basse, son déclassement, au début du XVIIe siècle, permet la rénovation des faubourgs. Aux manoirs succèdent les résidences de villégiature des bourgeois, maisons de plaisance et retenues. Un nouvel équipement urbain stimule peu à peu la densification du centre et la création de pôles périphériques, l'architecture hospitalière et scolaire illustrant la concurrence entre initiatives publiques et religieuses aux XIXe et XXe siècles. Parallèlement, l'hôtel devient une nouvelle manière d'habiter la ville, de même que les maisons que construisent architectes et entrepreneurs locaux. Puis, à partir de 1941, l'urbanisme s'impose pour maîtriser la question du logement. La ville est régie par un plan directeur qui cadre son extension, et permet la redéfinition du centre urbain.

Rennes - Mémoire et continuité d'une ville

Question des femmes d'Amérique latine, dans les domaines littéraire, plastique, cinématographique mais aussi historique et politique. Au travers des différentes contributions ici réunies, sont mises en évidence les contraintes et la violence engendrées par les situations d'enfermement physique ou symbolique des femmes, mais aussi les stratégies de dépassement et de résistance que celles-ci développent, au sein des différents champs culturels et politiques nationaux et dans les pratiques créatives elles-mêmes. 
De quelle manière les femmes se sont-elles saisies des différents modes d'expression esthétique ? Quelles différences de pratiques peuvent coexister ? Dans quelle mesure l'écriture et la création, en elles-mêmes, restent-elles soumises à des conventions dont il est souhaitable de repousser les limites ? Telles sont les principales questions abordées.

Femmes ecritures et enfermements en amerique latine

Découvrir Florence devrait être un préambule à tout voyage en Italie ! « La ville des fleurs » permet d'approcher le mystère de la beauté italienne.
Florence : capitale de l'histoire de l'art avec Giotto, Masaccio, Botticelli, Raphaël, Michel-Ange, etc. ; scène littéraire et politique majeure avec Dante, Pétrarque, Boccace, Machiavel et les Médicis. En compagnie de Marcel Proust, André Suarès, Mary McCarthy, Jean Giono, Stendhal, Tabucchi, Henry James, Marinetti, Albert Camus, et bien d'autres... balade dans une ville où les noms des illustres familles florentines rythment la topographie des palais et des rues. Où l'on comprend que dans sa géométrie subtile, son sens de l'équilibre et ses savantes proportions, partout l'art florentin affirme le règne de l'intelligence, la victoire de la raison sur les débordements émotionnels, le triomphe de la civilisation sur la barbarie.

Le goût de Florence

Ce quatrième volume, De l'Eglise à la salle de concert, étudie l'évolution des chants du propre, la fonction liturgique et les critères d'interprétation du cantus firmus dans les collégiales et les chapelles ducales. Il aborde l'influence du cérémonial parisien, le plain chant enrichi de notes de passages, les métamorphoses du cantus firmus en " cantus migrans " chez Claude Le Jeune, et son exploitation par le Brésilien, Lobo de Mesquita. Quittant l'Eglise, le cantus firmus, d'abord associé à une idée religieuse, devient, chez Mendelsohn, une association d'idées historiques et gagne là salle de concert. Les mélomanes avertis, les musicologues, les musiciens, organistes, clavecinistes, chefs, discophiles, pourront ainsi suivre les diverses applications du cantus firmus. Les hymnologues y trouveront aussi une démarche originale et neuve qui se poursuivra avec les volumes suivants.

Cisterciens

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