Paris, rive noire

Chaque nuit, Hondo fait le même cauchemar : de sa fenêtre, il assiste à une dispute entre deux hommes, dans l'immeuble d'en face. Soudain l'un pousse le second dans le vide. Le garçon trouve ce songe déjà bien étrange. Mais en plus, l'habitation en question est identique à celle du poster de sa chambre, une carte postale du quartier agrandie. Chaque nuit, le songe est de plus en plus précis, et même lorsqu'il se réveille, les personnages restent un moment sur l'image à s'agiter. Rêve ou réalité ? C'est ce que voudrait bien savoir Hondo. Ses amis Joe et Édito, du Club des Ruines, l'aident à mener l'enquête. Selon le premier, c'est la douleur causée par l'appareil dentaire d'Hondo qui engendre ces visions.
Mais le pire, c'est que le tueur du rêve finit par le voir lui, Hondo. Une nuit, même, il traverse la rue pour le poursuivre, et le garçon lui échappe d'extrême justesse. Il se sent en danger, d'autant plus qu'il croit reconnaître l'assassin. N'est-ce pas M. Traffor, le vendeur de cette boutique poussiéreuse remplie de vieux objets ? Là même où son père a acheté le fameux poster. Avec ses amis et Faussette, la fille du concierge, ils vont se rendre sur les lieux du crime pour y voir plus clair.
Et c'est finalement dans le magasin du mystérieux M. Traffor que tout doit s'éclaircir, aux risques et périls d'Hondo. Heureusement que ses amis sont là pour le tirer d'affaire.

Cauchemar pirate

Mais pourquoi Papoune fait des trous dans le jardin  ?
Pour planter des salades  ; elles sont meilleures que chez le marchand  !

Aussitôt Tilou veut aussi apprendre à jardiner.
Le voilà en tenue  ; Papoune lui réserve une belle surprise  ; une brouette à sa taille et un arrosoir.
Ds le carré réservé aux salades (les salades sont carrées  ? s'inquiète Tilou), il faut apprendre à mesurer la distance entre les trous puis à y semer les graines, arroser et attendre avant de récolter.
Au repas, la salade du jardin est forcément la meilleure du monde  !

Tilou Bleu aime jardiner

Roland, Evelyne, Maryse, Serge... Ils sont treize. Nombre fétiche. Brassée d'adultes et tripotée de gosses au 93 de l'avenue Meissonnier à Villemomble !
     Le p'pa, nom de code Chaudrake, a une griffe de tigre dans le dos. De là à penser qu'il a une vie secrète, il n'y a qu'un pas. Sinon comment expliquer ces mystérieuses randonnées en limousine, de nuit, à Orly ? La m'am, elle a une recette. C'est le clafoutis de guerre. Sans œuf, sans lait, sans beurre, sans cerises, tout plat, brûlé, Avec une flopée de noyaux. Une vraie spécialité.
     Quant à lui, le Mohican, il se bat avec les effroyables homophones, ces tribus à tam-tam et à plumes qui l'agressent à la moindre dictée. Son seul trésor : les soldats Mokarex. Et puis, bien sûr, seul de la vie, au bout de la rue, entre un mur et un pan de ronces, un endroit magique : le champ de personne !
Et ce champ-là, c'est toute une histoire...

Le champ de personne - Occasion

Daniel Picouly revient sur son enfance et son rapport à l’apprentissage et à la transmission. Il se dédouble, tour à tour l’enfant qu’il fut et l’adulte qu’il est. Il narre des souvenirs, d’abord au premier degré, puis avec recul. Dans les deux cas, on assiste à la confrontation entre les rêves d’un gamin de 10 ans en 1958, et ceux de l’adulte qui, au fond, est resté le même. Il sait se faire attendrissant, sans verser dans la mièvrerie, raconter des histoires, sans pédanterie ni didactisme. Il a le vrai talent de ne pas faire de morale et d’être généreux. On redécouvre des réflexions enfantines ; on respire un air de nostalgie (l’enfance, mais aussi cette période où les noms ont valeur de symboles poétiques : Pierre Benoit, Gaston Leroux, Mendès-France…).Un très joli petit texte où les répliques fusent avec humour (« Aux rations de guerre, les cancres reconnaissants »), où l’émotion est constante et contenue.

La Faute d'orthographe est ma langue maternelle

A l'heure de la leçon d'histoire dans les classes d'autrefois, l'instituteur accrochait sur les murs de la classe des « planches pédagogiques » et un cortège de héros surgissait alors sur de belles images en couleurs. Vercingétorix, chef des Gaulois, nos ancêtres barbares mais braves, Charlemagne à la barbe fleurie ou Napoléon exilé à Sainte-Hélène perdu dans la contemplation de ses conquêtes passées qui se dessinaient dans le ciel.Daniel Picouly n'a pas oublié ce patrimoine pittoresque et exubérant. Il évoque ici les souvenirs d'un écolier de 10 ans "en l'an de grâce 1958" et les émotions que suscitent en lui les exploits de ces personnages stoïques.Pour le romancier, les héros de l'histoire de France composent les figures d'un grand roman, laissant les imaginaires vagabonder sur une iconographie hautement allégorique. Aidé de près de 160 affiches scolaires, Picouly raconte des épisodes d'une histoire de France qui disparaît aujourd'hui des manuels scolaires et dont les personnages constituent une sorte de panthéon perdu.

Nos Histoires De France

Evitez les pièges de la vie courante et améliorez votre quotidien grâce à des exercices utiles et progressifs. Découvrez des astuces dans tous les domaines et révisez vos classiques tout en vous amusant ! Exercices, jeux, drôleries et découvertes vous feront passer d'excellents moments en famille et muscleront votre cerveau.

Remue-méninges d'été pour les adultes

Aujourd'hui, Coline vient jouer chez Tilou. Mais ce dernier a du mal à prêter ses jouets. Son ballon est tout dégonflé, sa boule à neige est trop fragile... En fait, Tilou a peur, peur qu'elle les casse ou qu'elle ne lui rende plus. Heureusement, Mamoune lui explique qu'une bonne amie ne fait jamais ça et qu'il faut lui faire confiance !  Tilou est d'accord ; finalement, il est même heureux et prêt à tout prêter ! Ca, c'est tout Tilou !

Tilou bleu ne veut pas prêter

Daniel Picouly revient sur son enfance et son rapport à l apprentissage et à la transmission. Il se dédouble, tour à tour l enfant qu il fut et l adulte qu il est. Il narre des souvenirs, d abord au premier degré, puis avec recul. Dans les deux cas, on assiste à la confrontation entre les rêves d un gamin de 10 ans en 1958, et ceux de l adulte qui, au fond, est resté le même.Il sait se faire attendrissant, sans verser dans la mièvrerie, raconter des histoires, sans pédanterie ni didactisme. Il a le vrai talent de ne pas faire de morale et d être généreux. On redécouvre des réflexions enfantines ; on respire un air de nostalgie (l enfance, mais aussi cette période où les noms ont valeur de symboles poétiques : Pierre Benoit, Gaston Leroux, Mendès-France...).Un très joli petit texte où les répliques fusent avec humour («Aux rations de guerre, les cancres reconnaissants »), où l émotion est constante et contenue.Afficher plus Réduire

Paris, rive noire

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