Uno degli scritti più celebri di Simone Weil, pubblicato in origine come saggio in «La Table Ronde» n. 36 (dic. 1950).

LA personne et le sacré

Cette étude est extraite d'un travail de thèse, dirigé par Julia Kristeva à Paris VII, à l'UFR de Lettres Modernes dans le département Sciences des textes et documents, intitulé L'Expérience Mystique de Simone Weil, Un type nouveau de sainteté, thèse de doctorat soutenue publiquement le 9 avril 1993 par Alice Nicolle (docteur ès lettres). C'est un travail de reconstruction, avec les mots mêmes de Simone Weil, de son expérience des différentes étapes de la progression spirituelle. Rarement des sujets aussi délicats que le mal et la souffrance et surtout le malheur (un sujet quasiment tabou), n'ont jamais été abordés aussi clairement et profondément. Cette étude a été traduite en Anglais en 1992 par le révérend Père Dunstan Morrissey, mort le 25 février 2009 à l'âge de 85 ans, homme de haute spiritualité et de grande foi, un moine-ermite, un homme hors du commun qui a fondé une maison de solitude et de prière à Sonoma, en Californie, qu´il a appelé la Ferme du Ciel : Sky Farm.

Les sept pas vers la grâce - Volume 2, La porte

- Un texte fondamental de Simone Weil, pour la première fois disponible en édition autonome.

 - Un texte important en période de rentrée scolaire, car il traite d'un sujet fondamental : l'attention.
Le texte proposé a été publié dans le recueil  Attente de Dieu, qui compte parmi les grands livres de Simone Weil. S'il ressort en édition autonome, c'est qu'il est un des textes les plus importants de la philosophe. En outre il s'attache à mettre en valeur une notion très prisée à notre époque, celle de l'attention, qui est devenue un enjeu philosophique majeur depuis que les nouvelles technologies ont bouleversé nos manières de penser et de nous concentrer. Simone Weil insiste évidement sur la nécessité d'une fervente attention. Elle a en perspective la prière, qui suppose une grande attention.  Bien qu'aujourd'hui on semble l'ignorer, la formation de la faculté d'attention est le but véritable et presque l'unique intérêt des études,  écrit Simone Weil qui ajoute en définissant précisément l'attention :  L'attention consiste à suspendre sa pensée, à la laisser disponible, vide et pénétrable à l'objet, à maintenir en soi-même à proximité de la pensée, mais à un niveau inférieur et sans contact avec elle, les diverses connaissances acquises qu'on est forcé d'utiliser.  L'attention est un trésor qui nous élève. C'est pourquoi il faut la cultiver. Les exercices scolaires constituent un moyen d'y accéder. Simone Weil le rappelle avec grâce et clarté.

De l'attention ; réeflexions sur le bon usage des études scolaires en vue de l'amour de Dieu

Quel est le plus important : avoir des droits ou des devoirs ? Chef-d'oeuvre de la pensée politique, L'Enracinement est un livre engagé sur le patriotisme, les déracinements et notre besoin vital d'appartenances, mais aussi - et surtout - de vérité. Il peut se lire comme un "manuel de citoyenneté" qui prône une société où l'épanouissement de chacun est la norme, où des principes moraux nous guident, et où l'argent et la technique ne font plus la loi.

L'enracinement

Le rôle du philosophe n'est pas d'exercer le pouvoir. Il éclaire, il conseille, il pose des questions. Il tient un langage de vérité. Il rappelle l'exigence de justice. Son propos parait en décalage avec les nécessités de l'action. Il rappelle surtout que la politique ne se fonde pas elle-même, qu'elle doit 'être toute entière orientée vers le bien. C'est ce rôle qu'a tenu, auprès de la France libre, en 1943, à Londres, Simone Weil. Les textes ici publiés et présentés nous éclairent aujourd'hui pour mener les luttes qui sont les nôtres. Ils nous inspirent. Ils nous invitent à refaire le même effort d'invention pour bâtir une civilisation à la fois nouvelle et antique d'esprit. Ils posent tous, d'une manière ou d'une autre, la question qui doit orienter notre action : luttons-nous pour la justice ?

Luttons-nous pour la justice ? - Manuel d'action politique

Simone Weil est une philosophe française qui s'est notamment illustrée par ses multiples combats sociaux, allant jusqu'à travailler en usine pour décrire les conditions de travail des ouvriers. C'est cette expérimentation immersive que nous raconte ce livre.  
On y découvre l'intenable répétition des tâches, l'épuisement au travail jusqu'à devenir ce qu'elle appelle « une bête de somme » dénuée de la capacité de réfléchir par elle-même. Et même si le travail est aujourd'hui en France et en Europe physiquement moins pénible que jadis, même si les cadences infernales ne sont plus aussi intenses qu'elles l'ont pu l'être, même si les salaires ont progressé, même si... Le constat reste le même : on relève partout une déshumanisation des conditions au travail. L'homme ne commande plus aux machines, mais se trouve dirigé par elles.

La condition ouvrière [Texte intégral annoté, revu et corrigé]

« Prendre parti », « prendre position pour ou contre » : un schéma manichéen qui s’est substitué pour le peuple à l’obligation de penser.C’est une véritable « lèpre », dit Simone Weil. Pour que le peuple puisse vivre dans la justice et la liberté, il faut faire taire les passions collectives et rendre possible l’expression d’une pensée sur les problèmes fondamentaux de la vie publique. D’où la première mesure d’urgence : la suppression des partis politiques. Il en va de l’avenir de la démocratie.

Note sur la suppression générale des partis politiques

Suivi de Mettre au ban les partis politiques par André Breton et Simone Weil par Alain. "Les partis sont un merveilleux mécanisme, par la vertu duquel, dans toute l'étendue d'un pays, pas un esprit ne donne son attention à l'effort de discerner, dans les affaires publiques, le bien, la justice, la vérité. Il en résulte que - sauf un très petit nombre de coïncidences fortuites - il n'est décidé et exécuté que des mesures contraires au bien public, à la justice et à la vérité. Si on confiait au diable l'organisation de la vie publique, il ne pourrait rien imaginer de plus ingénieux."

I due scritti qui raccolti sono tra i più rilevanti da Simone Weil, pensati per contribuire alla ridefinizione dei principi su cui fondare l'assetto costituzionale e politico della Francia post-bellica. Ne emerge una concezione che colloca al centro della vita politica gli individui, considerati nella loro concreta costituzione psicofisica e nella loro esigenza di bene. Questa concezione è incompatibile per la Weil con l'esistenza dei partiti, a causa del loro stesso carattere, che è di conformare la pluralità degli orientamenti individuali a dottrine socio-politiche alla cui loro origine è l'idea di una pressione collettiva sul pensiero di chi vi aderisce. I partiti sono un ostacolo pressoché insormontabile a che l'interesse per la verità e la giustizia venga prima degli interessi politici contingenti.

LA personne et le sacré

Résumé

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