Orgueil et prevention est l'un des romans les plus connus de Jane Austen. Romanesque, souvent drole, avec ses dialogues pleins d'esprit, ses rebondissements inattendus, et ses intrigues sentimentales elaborees, il nous depeint les difficultes auxquelles sont confrontees les femmes de la petite gentry anglaise, pour qui la securite materielle passe forcement par le mariage.

Orgueil et Prevention

When Henry Dashwood dies, he leaves his entire fortune and his home, Norland Park, to his son John. John promises that he will provide for his stepmother, Mary Dashwood, and half-sisters Elinor, Marianne, and Margaret. However, John's wife, Fanny, convinces him to give the family a smaller inheritance than he had intended. Left with only this small income, Mrs. Dashwood and her daughters decide to leave Norland immediately ...

Sense and Sensibility - Illustrated - Unabridged - original text of the first edition (1811) - with 40 illustrations by Hugh Thomson

Northanger Abbey was the first of Jane Austen's novels to be completed for publication, in 1803. 

However, it was not published until after her death in 1817, along with another novel of hers, Persuasion.

Northanger Abbey is a satire of Gothic novels, which were quite popular at the time. 

This coming-of-age story revolves around Catherine Morland, a young and naïve "heroine", who entertains the reader on her journey to a better understanding of the world and those around her.

Northanger Abbey

Orgueil et préjugés est le plus connu des six romans achevés de Jane Austen. Son histoire, sa question, est en apparence celle d'un mariage : l'héroïne, la vive et ironique Elizabeth Bennett, qui n'est pas riche, aimera-t-elle le héros, le riche et orgueilleux Darcy ? Si oui, en sera-t-elle aimée ? Si oui encore, l'épousera-t-elle ? Drôle, romanesque, le chef-d'œuvre de Jane Austen reste tout simplement incontournable !--back cover

Orgueil et Préjugés

100 citations de Jane Austen

-Bibliographie - Ses principales uvres - En Angleterre, dans la societe provinciale guindee, fiere de ses privileges et de son rang social, Mrs. Bennett, mere de cinq filles, veut a tout prix les marier... Elle n'hesite pas a faire la cour a son nouveau voisin, Mr. Bingley, jeune homme riche qu'elle aurait aime donner comme epoux a sa fille ainee Jane. S'ebauche une idylle entre Jane et Mr. Bingley, qui pourrait bien aboutir a un mariage. Elisabeth, soeur cadette de Jane, se rejouit de cet amour naissant. Mais c'est sans compter le dedain et la mefiance de l'ami intime de Bingley, Mr. Darcy qui, n'appreciant pas les manieres de Mrs. Bennett et de ses filles, empeche Bingley de se prononcer. Elisabeth de temperament fort et franc, consciente de la valeur et du merite de son milieu, affronte Mr. Darcy..."

Les Cinq Filles de Mrs Bennet

La vocation de Jane Austen fut précoce : à peine sortie de l'enfance, elle faisait les délices du cercle familial par de désopilantes parodies du roman sensationnel alors en vogue. Écrit à l'âge de quinze ans, Amour et amitié est, comme le soulignait Chesterton dans sa préface de 1922, l'une des plus grandes réussites de cette oeuvre de jeunesse. Les tribulations délirantes de la belle Laura, fanatiquement éprise de beaux sentiments et égoïste jusqu'à l'absurde, y sont narrées avec le sens aigu de l'invraisemblance et la lucidité ironique qui caractériseront les romans de la maturité. Mais c'est d'abord une farce étourdissante, volontiers sardonique, qui illustre avec éclat l'audace et l'insolence qu'Austen devait plus tard mettre en sourdine : cette jeune fille de quinze ans, remarquerait Virginia Woolf plus tard, "s'y rit du monde dans son coin".

Amour et amitié

Sir Walter Elliot von Kellynch Hall in der Grafschaft Somerset war ein Mann, der zu seiner Unterhaltung nie ein anderes Buch in die Hand nahm, als das Adelsverzeichnis. Hier fand er Beschäftigung für eine müßige Stunde, und Trost in einer traurigen; hier wurde sein Geist zur Bewunderung und Ehrfurcht angeregt, wenn er darüber sinnierte, wie wenig von den uralten Adelslinien noch übrig war, und hier hatte er Gelegenheit, belanglose häusliche Angelegenheiten, die ihn ärgerten, zu vergessen. Überblickte er die zahllosen Adelsverleihungen des letzten Jahrhunderts, so konnte er, wenn ihn sonst nichts aufheiterte, hier auch seine eigene Geschichte immer aufs Neue höchst interessiert lesen, und auf dieser Seite schlug er daher sein Lieblingsbuch gern auf. Dort stand:

"Elliot von Kellynch Hall. Walter Elliot, geboren am 1. Mai 1760; vermählt am 15. Juli 1784 mit Elisabeth, Tochter des Sir Jakob Stevenson, auf South-Park in der Grafschaft Gloucester; mit dieser (1800 verstorbenen) Gemahlin zeugte er: Elisabeth, geboren am 1. Juni 1785; Anne, geboren am 9. August 1787; einen tot geborenen Sohn, am 5. November 1789; Marie, geboren am 20. November 1791."

So war die Stelle aus des Setzers Schriftkasten gekommen; aber unser Baronet hatte sie, zu seiner und der seinigen Belehrung, ergänzt durch den Anhang zum Namen seiner jüngsten Tochter:

"Vermählt am 16. Dezember 1810 mit Charles, Sohn und Erben des Mr. Charles Musgrove, auf Uppercross in der Grafschaft Somerset ..." und durch genaue Angabe des Tages und Monates, an dem er seine Frau verloren hatte.

Darauf folgten die üblichen Angaben über Geschichte und Aufstieg der altehrwürdigen Familie. Wie nämlich dieses Geschlecht sich zuerst in Cheshire angesiedelt, wie es hohe Ämter verwaltet, zu verschiedenen Parlamentssitzungen Volksvertreter geliefert, durch Untertanentreue sich ausgezeichnet, unter der Regierung Charles II. die Baronetwürde erhalten und mit verschiedenen Maries und Elisabeths sich vermählt hatte. Alles dies füllte zwei Duodezseiten, und schloß mit der Angabe des Wappens, des Wahlspruches und des Hauptsitzes Kellynch Hall; worauf dann wieder des Baronets eigenhändiger Zusatz folgte:

"Vermutlicher Erbe: William Walter Elliot, Urenkel des zweiten Baronets, Sir Walter."

Eitelkeit war Sir Walter Elliots einzige Charaktereigenschaft: er war stolz auf sein Aussehen und stolz auf seine gesellschaftliche Stellung. Er war in seiner Jugend ungemein hübsch gewesen, und trotz seiner vierundfünfzig Jahre noch immer ...

Überredung oder Anne Elliot

Elizabeth Bennet, jolie, intelligente, spirituelle, mais de fortune modeste, séduit le riche et beau Darcy, qui étouffe tous ses préjugés de classe pour la demander en mariage. L'histoire pourrait s'arrêter là. Mais Elizabeth, à la grande surprise de son orgueilleux soupirant, lui oppose une fin de non-recevoir catégorique. Si le happy end attendu survient pourtant, c'est que chacun aura parcouru un long chemin semé d'autant d'introspections que de coups de théâtre.

Orgueil et Prevention

Résumé

Plus de livres de Jane Austen

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques