Correspondre jadis et naguère

La presse francaise

« Comme dans un bon vin de dessert, bu sous une treille ensoleillée, vous trouverez les vitamines du rire dans l'Estaminet de cet humoriste. Le Gaulois - manié adroitement - frappe joyeusement sur le clavier de la truculence. À d'autres moments, vous saurez voir plus loin quelques traits d'authentique poésie dispersée agréablement dans ces dessins grivois. À une époque de vitesse, où l'on souhaite la concision même dans l'esprit, ces quatrains ont la qualité d'engendrer un maximum de rire. Il s'en dégage une gaîté et une sensibilité toniques, qui font aimer la vie décontractée dans une atmosphère de chaleur humaine. » Pierre Albret.

Vitamines d'estaminet

Depuis les - dead ducks - de Rene Levesque jusqu aux - cadavres encore chauds - d Yves Beauchemin, plusieurs ont annonce la disparition des Franco-Ontariens. Belle politesse, le cortege funebre est la avant l heure. Car - Le Dernier des Franco-Ontariens - vit toujours. Il s en excuse. Mais il ne decevra personne. A ceux que ca interesse, a ceux qui s en fichent, il annonce sa disparition. / Par accident, contre son gre, il doit accomplir seul, comme un bouc emissaire, le destin de son peuple. Puisque son drame ennuie tout le monde, lui-meme en premier, l auteur honnete doit ecrire un livre que personne ne voudra lire. / Son ecriture volontairement inelegante se veut tout le contraire de la - vraie litterature -. Puisqu il doit s immoler, a l autel de la societe comme a l hotel du coin, l ecrivain emporte le langage a sa perte avec lui. / Mais de cet anti-poeme surgit un anti-destin. Encore un livre sur la difficile survivance des Franco-Ontariens. Vous en avez ras le bol ? Alors, rejouissez-vous: c est le dernier."

Le Dernier des Franco-Ontariens

« L'atmosphère de ces textes vous met dans une ambiance de réalisme quotidien, d'où Eric Haussmann tire une poésie amusante. Sous des dehors faciles, il s'en dégage une philosophie amusée due à un sens précieux de l'observation. La forme vous dépayse plaisamment, des colliers de mots - de teintes différentes -, souvent une chute surprenante, de très courtes phrases projetant un film d'images simples, qu'il faut savoir regarder avec les yeux de l'humour. Cet auteur montre des qualités actuelles, et sa prose versifiée nous plonge dans le néon... les bruits... et la fumée, inhérents à notre époque et au « cabaret ». Lisez-le comme un magazine, dont chaque feuille s'anime, et attendez l'écho qui suivra la vision, vous sentirez alors une sensibilité et une humanité, que chacun peut éprouver. N'est-ce pas cela, le talent ? L'amour ne doit pas supprimer la lucidité ; Eric Haussmann l'a compris pour la vie dans ses moindres « sursauts », parce qu'il a de l'esprit, un esprit typiquement français, qui ajoute son fleuron à son prestige. » Pierre Albret.

Sursauts

Le progrès technique puis l’expansion industrielle et commerciale assurèrent, grâce aux recettes publicitaires et à une gestion rigoureuse, une grande prospérité à un système médiatique allemand bien structuré et décentralisé. Depuis 1986, des stations privées concurrencent le service public audiovisuel.

Les médias en Allemagne

Avec l’apparition de l’imprimerie, le besoin d’information nécessaire à toute vie sociale trouve une réponse dans le journal. À la fois témoins et acteurs de la vie nationale et internationale, les périodiques sont peut-être l’objet historique qui nourrit les liens les plus étroits avec l’état politique, la situation économique, l’organisation sociale, et le niveau culturel du pays et de l’époque qui sont les leurs.Des feuilles volantes à périodicités variables comme les libelles, de la Gazette de Théophraste Renaudot jusqu’à nos journaux contemporains, cet ouvrage restitue la vie des journaux, de ces témoins et acteurs de la vie nationale et internationale et précise le rôle qu’ils ont joué dans l’évolution des sociétés.

Correspondre jadis et naguère

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