Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Comment j'ai marié mon frère

Cette année, à la rentrée des myrtilles, Sam Samarcor et Elie Elifer portent de seyants bonnets bleus. Ce qui signifie qu'ils sont en quatrième année au grand champignon, l'école des lutins, qu'ils ont donc sept ans et à leur actif, déjà, quatre ans d'amitié éternelle. Eternelle? Pas si sûr. Certes, l'amitié compte beaucoup pour les lutins. plus que l'amour. Tellement qu'une rte grandiose lui est consacrée chaque année, avec banquet, danses, projection d'images lumineuses sur la prairie et élection de la paire de meilleurs amis qui sont portés en triomphe toute la nuit. Mais justement. Ceux qui n'ont pas d'ami peuvent se mettre à jalouser ceux qui en ont, au point de vouloir briser leur union. C'est le cas d'Aliazar Albuquerque, un cinquième année devenu brutal et rusé pour se protéger des moqueries des plus grands. Aliazar est seul et il s'ennuie. Rien ne le passionne, ni l'étude des 274 runes, ni le cours de connaissance appliquée des animaux. Alors, il décide de semer la zizanie entre Sain et Élie.

Élie et Sam

Que faire de sa vie quand on a treize ans et qu'on est une fille

 pauvre, pas laide, sachant lire, sans autre protection que celle d'un

 vieux curé, d'une tante prostituée et d'une veuve ronchon ? Nonne ?

 Jamais. Séraphine est trop insolente. Couturière ? Non plus. Elle a

 trop envie de parler et de voir du monde. Peut-être qu'un jour les

 femmes pourront devenir juges, gendarmes ou avocats et faire de la

 politique... Peut-être même qu'un jour Dieu Lui-même sera une femme.

 Mais, pour l'instant, nous sommes en 1885, à Paris, ou plutôt à

 Montmartre. Le souvenir de la Commune est encore vif chez les uns.

 Les autres s'occupent de l'enterrer définitivement en bâtissant, là-

 haut sur la butte, le Sacré-Cour. Et Séraphine ne voit qu'une

 solution pour mener la vie libre et sans misère dont elle rêve : s'en

 remettre à sainte Rita, la patronne des causes désespérées...

Séraphine

Jean-Michel Othoniel raconte sous la plume de Marie Desplechin comment il est devenu artiste. Un texte beau et sensible, un conte biographique et initiatique, sur la naissance d'une vocation.

Marie Desplechin explique avec des mots simples et justes comment le petit Jean-Michel a très tôt découvert le monde créatif qu'il portait en lui. En grandissant, Jean-Michel a rencontré d'autres mondes que le sien, et en particulier celui du Petit Théâtre de Peau d'Âne que 150 ans auparavant Pierre Loti avait créé de ses mains...

Un livre superbement illustré de photographies des oeuvres et d'aquarelles originales de Jean-Michel Othoniel et de Pierre Loti. pour les enfants à partir de 9 ans et. pour les adultes aussi !

Le petit théâtre de Peau d'âne

Pour fabriquer une bonne embrouille, il faut se mettre à plusieurs et se répartir le boulot. Un taggeur trouilllard, un sac à dos volé, un squat entre copains... Et voilà qu'Antoine doit nettoyer les salles de classe tous les matins pendant une semaine. Dans l'équipe d'entretien, il y a Bébé. Elle est jolie comme Beyoncé et Antoine ne peut rien lui refuser... 

Il en oublierait presque que Lison l'a quitté ! 

Les ennuis ne font que commencer.

Le bon Antoine

Rien ne va plus (Le journal d'Aurore, #3)

À onze ans, la petite Verte ne montre toujours aucun talent pour la sorcellerie. Pire que cela, elle dit qu'elle veut être quelqu'un de normal et se marier. Elle semble aussi s'intéresser aux garçons de sa classe et ne cache pas son dégoût lorsqu'elle voit mijoter un brouet destiné à empoisonner le chien des voisins. Sa mère, Ursule, est consternée. C'est si important pour une sorcière de transmettre le métier à sa fille. En dernier ressort, elle décide de confier Verte une journée par semaine à sa grand-mère, Anastabotte. Puisqu'elles ont l'air de si bien s'entendre. Dès la première séance, les résultats sont excellents. On peut même dire qu'ils dépassent les espérances d'Ursule. Un peu trop, peut-être.

Comment j'ai marié mon frère

Résumé

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