Bruxelles pentagone e-m t1b

Ce livre est avant tout le récit d'un chantier exceptionnel, celui de la 62e reconstruction du grand sanctuaire d'Ise, le plus vénérable des sanctuaires de l'archipel japonais, le dernier des grands sanctuaires shintô à être cycliquement reconstruit. Des reconstructions cycliques Tous les vingt ans, depuis le VIIe siècle, avant d'être démantelé, le sanctuaire ancien sert de modèle pour bâtir le nouveau. L'ampleur de ce chantier et sa régularité font de ce lieu sacré un cas unique au monde. Pourtant, si cette architecture et ces reconstructions jouissent d'une immense notoriété, elles ont toujours été gardées au secret, loin des regards, cachées derrière des enceintes éphémères que l'interdiction empêche de franchir. La 62e reconstruction en 2013 A l'occasion de la 62e reconstruction, à l'automne 2013, quelques jours seulement après le transfert de la divinité dans le nouveau sanctuaire et avant le démontage du sanctuaire ancien, les autorités religieuses nous ont exceptionnellement ouvert les portes du vieux temple pour nous permettre d'interroger ce phénomène depuis l'intérieur. Les secrets du chantier L'ouvrage présente en premier lieu les réflexions de l'architecte et de l'ingénieur en chef qui ont supervisé ces campagnes de reconstruction au cours des 40 dernières années et leur ont rendu une certaine pérennité. Un Cahier de chantier inédit prolonge cette visite et dévoile les secrets du chantier, des dernières innovations à la transmission plus que millénaire des savoir-faire traditionnels. Vient ensuite un recueil d'essais signés par les chercheurs français et japonais qui nous ont accompagnés dans cette découverte. Car au fil de ces pages, en perçant les secrets de ces reconstructions, il s'agit de comprendre cette leçon japonaise qui, sans être étrangère à l'Occident, lui montre une autre voie : la trace matérielle est périssable, le meilleur moyen de la protéger est de la détruire de façon à ce que l'immatériel de la forme subsiste.

La sanctuaire d'Ise - Récit de la 62e reconstruction

Preserver son patrimoine

La situation géographique du Royaume du Maroc, entre mer et désert, et les caprices de l'orogenèse constituent les déterminants naturels de la diversité des formations forestières que l'homme a contribué à façonner au cours des derniers millénaires.
L'ouvrage invite le lecteur à une promenade dans le temps et dans l'espace à travers des formations arborées très contrastées, depuis les rivages atlantiques jusqu'aux dunes sahariennes, en passant par les pentes abruptes de l'Atlas. Il en explicite les fonctions multiples et leurs implications dans l'environnement des populations humaines qui les côtoient.
Ouvrage collectif de spécialistes de différentes disciplines qui ont en commun une même passion pour les forêts, il reflète la sensibilité des forestiers du Maroc aux menaces qui pèsent aujourd'hui sur la pérennité des zones boisées et aux orientations de gestion à suivre pour en garantir un développement durable.

Le Grand Livre De La Foret Marocaine

L'archéologie s'est donnée pour but l'étude des vestiges matériels de l'activité des sociétés humaines. De très nombreuses autres disciplines scientifiques y sont aujourd'hui associées pour mener à bien cette mission. Si pendant longtemps, l'archéologie est restée l'objet des préoccupations de quelques érudits et des scientifiques, il n'en est plus de même aujourd'hui. L'intérêt grandissant des citoyens pour le patrimoine en général s'est porté également vers ce patrimoine le plus ancien, souvent réduit à l'état de traces ou de vestiges qui intriguent et fascinent. Mais la notion de patrimoine archéologique n'est pas limitée au patrimoine enfoui. Elle s'applique aussi bien hors du sol dans les bâtiments de toutes époques qui révèlent des noyaux anciens, dans l'analyse de la modification d'un paysage au cours du temps ainsi que dans les vestiges d'activités industrielles dont certaines, parfois pas si anciennes, ont déjà disparu. Les sites archéologiques deviennent parfois de véritables monuments historiques protégés tandis que certaines constructions remarquables sont parfois déplacées comme de simples objets archéologiques. L'étude, la préservation et la mise en valeur des sites archéologiques, jalons de notre histoire, s'imposent aujourd'hui comme une mission régionale.
La Région de Bruxelles-Capitale, presque complètement urbanisée, a néanmoins la chance de posséder quelques sites qui constituent des témoins de son développement historique depuis la Préhistoire jusqu'à la Révolution industrielle et même au-delà.

L'Archeologie Du Neolithique A La Revolution Industrielle. Region De Bruxelles-Capitale

Arganier (l')

En terme de négoce, la Région de Bruxelles-Capitale ne faillit pas à son statut de capitale. Des lieux de marchés les plus anciens et les plus prestigieux - tels que la Grand-Place - qui assirent la Ville en tant que centre névralgique d'échanges sur la route marchande de Bruges à Cologne, jusqu'au premier grand centre commercial belge - développé dans la seconde couronne de la région -, l'histoire architecturale de Bruxelles est ponctuée de témoins remarquables du petit et du grand commerce. Toutes les déclinaisons de styles furent exploitées pour permettre au boulanger de quartier ou aux grands magasins du centre-ville de présenter leurs marchandises de la manière la plus originale et la plus visible possible et ainsi concurrencer leurs voisins commerçants. Attirant une clientèle locale et internationale, Bruxelles a - également développé un secteur Horeca important où les enseignes d'hôtels prestigieux se disputent la gloire d'un accueil légendaire aux cafés et restaurants typiquement bruxellois. La valorisation du commerce passe également par la publicité qui, par le biais d'affiches et de papier à en-tête personnalisé, constitue également une intéressante mise en lumière de - l'architecture commerciale.

Commerce et négoce

Fonction et fiction - Les villages 1996

En 1816, Katsushika Hokusai (1760-1849), le célèbre maître de l'estampe japonaise, consacre le cinquième volume de sa Manga à l'architecture. Vingt ans plus tard, il reprend ce thème dans un nouveau manuel de dessin, Livre de dessins pour artisans. Nouveaux modèles. Dans l'archipel, faire de l'architecture le sujet d'un livre illustré était inédit et jamais un recueil de gravures sur bois n'avait rendu des bâtiments avec autant de clarté et de véracité. Destinés aux artisans, ces deux manuels d'architecture permettent de découvrir comment l'artiste marie les traditions picturales chinoises, japonaises et occidentales, et rapproche avec génie l'art du dessin de l'art d'édifier. Rappelant les grands traités d'architecture d'Europe, ces deux ouvrages sont à l'avant-garde de la pensée architecturale nipponne moderne. Ces chefs-d'œuvre du livre illustré de l'époque d'Edo sont, pour la première fois, reproduits et accompagnés de leurs traductions intégrales annotées. Les exemplaires présentés sont conservés à la BnF et ont appartenu à Théodore Duret (1838-1927) et Edmond de Goncourt (1822-1896), défenseurs des impressionnistes et grands amateurs d'art japonais.

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Critiques

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