lady diana une vie de legende

Il n'est rien de plus ennuyeux qu'une princesse sage. Il n'est rien de plus réjouissant qu'une princesse dissipée. Mises en lumière par la force des choses et le hasard de la naissance, les princesses sont des femmes comme les autres qui se payent, parfois, le luxe d'entamer des révolutions personnelles et de batailler pour leur mieux-être. Sous ses airs nacrés et son aura claire, Sissi fut la première à mener un combat qui allait en annoncer beaucoup d'autres. Après sa mort, en 1898, sur ses pas et dans ses traces, vont en effet s'engouffrer pendant un siècle d'autres femmes, belles et rebelles, cours solitaires et âmes exaltées, désireuses de briser des emprises et de secouer des empires. Astrid, reine des Belges, Wallis, duchesse de Windsor, Margaret, princesse de Grande-Bretagne, Soraya, impératrice d'Iran, Rita, princesse Aly Khan, Grace, princesse de Monaco, Paola, reine des Belges, Ira, princesse de Fürstenberg, Diana, princesse de Galles ont inscrit dans la grande Histoire leurs petites histoires personnelles.

Princesses de légendes - Sissi, Astrid, Wallis, Rita, Margaret, Soraya, Ira, Grace, Paola, Diana

Victime de la malédiction, qui plane sur les têtes couronnées ou les personnes de sang royal, expiant par la mort leur naissance dans un milieu privilégié, Diana n'a connu qu'une demi-vie. Son destin s'apparente à une tragédie shakespearienne : un rêve, se muant progressivement en cauchemar, et finissant par meurtrir un être fragile, au sourire rayonnant de compassion. Humiliée et trahie par le prince charmant dont elle avait croisé la route, traquée par les paparazzi, Diana, symbole de la perfection, a commis un seul crime, qui lui valut d'être répudiée : celui de ne point cacher ses peines de cour, d'afficher sa douleur de femme délaissée, et de mère bafouée. Mais cette disgrâce provoqua, en retour, un immense élan d'affection et de tendresse envers elle de la part du public, qui vibrait au moindre de ses gestes et partageait ses joies comme ses chagrins. Princesse du peuple, activement engagée dans de nombreux combats humanitaires, elle était devenue une légende vivante. Elle est désormais un mythe, comme le révèle l'émotion sans précédent suscitée par sa mort. Henry-Jean Servat retrace, dans une biographie romanesque, le destin extraordinaire de cette princesse fauchée en pleine jeunesse, alors qu'elle était enfin libre, sans doute heureuse, et resplendissante de beauté. Ce récit, truffé d'anecdotes et de confidences, nous fait entrer dans l'intimité d'une femme pleurée par le monde entier, et dont le souvenir ne s'éteindra jamais.

Diana, un destin (1961-1997)

Bien née, comme on le dit de ceux et celles que le hasard de la naissance favorise plus que d'autres, Audrey Hepburn n'en connait pas moins une enfance marquée par la Seconde Guerre Mondiale. Sa silhouette si particulière, forgée par un travail acharné à la barre, lui vaut d'être remarquée au début des années cinquante. Son premier grand rôle au côté de Gregory Peck dans Vacances romaines lui vaut l'Oscars de la meilleures actrice. Elle mène une carrière exceptionnelle qui ne lui fait pas oublier les autres : "Pour moi, les seules choses d’intérêt sont celles liées au cœur." Ambassadrice de l'UNICEF pour l'Afrique et l'Amérique latine, elle laissera, quand elle décédera en 1993, autant "d'orphelins" au Sahel que dans les salles obscures.

Audrey Hepburn: la dame de cœur

Jamais il ne s'est couché de bonne heure. Ami de Liz, Brigitte, Gina, Soraya, d'altesses, d'actrices et d'autres, Henry-Jean Servat mène depuis trente ans la grande vie sur tous les continents. Il s'est ainsi retrouvé dans un palais de milliardaires à Marbella avec Zinedine Zidane, dans la piscine de Sylvester Stallone, aux fiançailles hollywoodiennes de Johnny Hallyday, dans la chambre secrète de Madonna, dans le corbillard du fils de Bruce Lee, dans la grotte de Lourdes avec Robert Hossein, en proconsul romain lançant la course de chars de Ben-Hur au Stade de France, dînant à Saint-Tropez entre Brigitte Bardot et Isabelle Adjani... Le récit de ses aventures au coeur de la vraie jet set restitue une époque de grâce et de drôlerie, de rosserie et d'élégance, qui ne cesse de fasciner les foules sentimentales.

So chic ! - Au coeur de la vraie jet set

Le livre hommage d'Henry-Jean Servat à son ami Robert Hossein

J'ai adoré et j'adore Robert Hossein. Avant de le rencontrer dans la vie, je ne savais pas que des êtres de la sorte, tempêtueux, nostalgiques, généreux, fiers et fous pussent exister. Je l'avais découvert dans Angélique, marquise des Anges, le premier film que j'ai vu. Robert est donc le premier acteur qui m'apparut et donc le premier que j'ai admiré et aimé. J'eus la chance et le bonheur de devenir et de rester son ami pendant trois décennies. Le fréquentant, tétanisé par l'admiration, j'ai écrit un livre, il y a plus de vingt ans, puis un nombre incalculable d'articles de toutes sortes. Rien d'autre. Je connaissais trop, trop bien, Robert et je ne voulais pas. Jusqu'au jour où j'ai souhaité saluer son départ par un ouvrage qui est le résultat inachevé de conversations et de récits de décennies d'amitié et de journées de confidences.

Robert avait voulu revenir sur sa vie, en se focalisant sur des points phares et des moments magnifiques de son existence hors des normes. Ce sont donc ses toutes dernières paroles, son tout dernier regard sur le monde, qui se trouvent ici consignés, avant qu'il ne perde peu à peu la mémoire, n'oublie ses souvenirs et ne puisse finir de se raconter. J'ai ajouté à ces premiers chapitres un abécédaire original, ainsi qu'un récit du séjour de Hossein à Lourdes lorsqu'il y préparait ce qui fut et reste son tout dernier spectacle, Une femme nommée Marie, auquel je participais. Je le remercie infiniment, là où il est, d'avoir non seulement inspiré ces lignes mais une grande partie de ma vie. Et aussi de demeurer là à mon côté, à nos côtés, comme un être flamboyant, rayonnant de foi, de folie, de force, de fièvre et de ferveur.

Henry-Jean Servat

Robert Hossein, un homme de bien

" Si je me suis battue debout contre les ombres et cachée dans la nuit pour étouffer ma voix, des bravos et des larmes seront ma récompense. Pour un rideau qui tombe, un autre qui se lève, demain et dans mille ans, je recommencerai. " Dalida, artiste de légende, femme de cœur adulée par son public, était aussi une femme fragile qui s'est souvent sentie très seule. " Pardonnez-moi, la vie m'est insupportable ", disait-elle dans un ultime message. Henry-Jean Servat nous conduit sur les traces de son enfance dans les faubourgs populaires du Caire, et nous parle des hommes qui ont partagé sa vie. Le chemin d'une vie trop fragile. Reine de beauté, femme de caractère, tendre et talentueuse, en trente-sept années de carrière, Dalida a marqué à tout jamais le monde du spectacle.

Dalida

Chaque année, Cannes déroule son tapis rouge pour célébrer en fanfare le septième art, sous les feux des projecteurs du monde entier. Le cœur de la ville bat au rythme de la montée des marches, des projections officielles et des soirées privées. Pour fêter la soixantième édition du Festival, Henry-Jean Servat ouvre grand les portes du Palais. À travers près de 150 photographies étonnantes, sélectionnées parmi les millions de négatifs précieusement conservés aux archives de Pari, Match, il raconte les fastes et les frasques de cet époustouflant carnaval de fictions, de provocations et d'émotions.
En coulisses avec les stars ou dans l'intimité de leurs chambres, aux marches du palais ou sur les plages privées des palaces, découvrez toute la magie et la frénésie de la Croisette où défilent inlassablement vedettes et mythes, génies et starlettes, entre fans affolés et photographes aux aguets. De Brigitte Bardot à Sophie Marceau, d'Elizabeth Taylor à Sharon Stone, sans oublier Luchino Visconti, Claude Lelouch, Clint Eastwood ou Pedro Almodovar, retrouvez celles et ceux qui ont marqué par leur grâce, leur ferveur et leur folie, six décennies d'un festival unique au monde.

Si le festival de Cannes m'était conté...

Qui se cache derrière le logo bien connu - la célèbre panthère noire - de René Chateau Vidéo ?  Les plus avertis savent que cet homme discret, rare en interviews, respecté dans le milieu du cinéma, est à la tête de l'un des plus prestigieux catalogues de films, réunis depuis plus de 30 ans.  Peu de gens savent que c'est lui qui a lancé Bruce Lee en France, importé Massacre à la Tronçonneuse de Tobe Hooper. 
C'est encore lui qui en 1967 a convaincu Serge Gainsbourg de composer pour Brigitte Bardot une chanson pour la sortie du film Bonnie and Clyde d'Arthur Penn. Le duo Bardot-Gainsbourg est aujourd'hui mythique.  Il a imposé la musique du Professionnel (composée par Ennio Morricone huit ans auparavant pour un obscur film polonais).  Il n'a jamais cessé d'oeuvrer pour le cinéma : après avoir créé sa première revue de cinéma "La Méthode" en 1960 et "L'Age d'Or" en hommage à Boris Vian, il est devenu attaché de presse de la Warner pour relancer James Dean, puis journaliste au magazine "Lui" (dirigé par Jacques Lanzmann) où en 1965 il interviewe Belmondo sur le tournage de Pierrot Le Fou de Jean-Luc Godard. 
Une complicité s'établit immédiatement qui durera vingt ans. Sans lui, Belmondo ne serait pas devenu le seul acteur au monde (depuis Charlie Chaplin avec "Les Artistes associés") à être distributeur de ses propres films. Ensemble, ils ont enchainé les succès : Flic ou Voyou, Le Professionnel, Le Guignolo, Le Marginal, L'As des As, Les Morfalous... jusqu'en 1985, date de leur brutale séparation. Programmateur du mythique cinéma "Le Hollywood Boulevard" qui battra tous les records d'entrées avec Bruce Lee, 35.000 en première semaine de La Fureur du Dragon, éditeur de la célèbre collection vidéo "La Mémoire du Cinéma Français", du livre "Audiard par Audiard" (150 000 ex) et auteur du "Cinéma Français sous l'Occupation 40-44", partout il a laissé son empreinte, sa marque. Il ne suit jamais l'événement, il le crée et toujours avec succès. Ce personnage secret et mystérieux, n'a jamais raconté sa vie,  son ascension fulgurante, son intuition, son travail acharné, ses amitiés comme ses inimitiés, et son cinéma, celui qu'il protége et défend avec acharnement et passion depuis tant d'années dans un style direct et original qui ressemble à son parcours. Grâce à sa mémoire et à Henry-Jean Servat, vous allez faire un beau voyage.

lady diana une vie de legende

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