"Quello che realizzò in maniera sempre più chiara via via che passavano gli anni era che l'adorazione dei soldi si era elevata al rango di religione. Forse è l'unica vera religione, l'unica religione davvero sentita che ci è rimasta. I soldi hanno preso il posto di Dio. Il bene e il male non hanno più alcun senso al di fuori di fallimento e successo." - Gordon Comstock, figlio della piccola borghesia britannica, si ribella contro il mondo del denaro, contro la morale della sua classe, fondata sulla rispettabilità e sul mito della "buona posizione", e coltiva ambizioni letterarie mantenendosi come commesso in libreria. Il denaro diventerà per lui un'ossessione: respingere la schiavitù dei soldi, piuttosto che sottomettersi ai codici sociali dell'epoca. In questa sfida disperata, la pianta dell'aspidistra, il fiore nazionale inglese, diventa per il protagonista il simbolo del mondo e del conformismo borghese che detestava.

Fiorirà l'aspidistra

1984, le livre légendaire écrit par George Orwell, enfin disponible dans une nouvelle traduction française. Un regard terrifiant sur l'avenir et une menace très claire sur ce que pourrait être notre futur, avec un État omniprésent et ultra-répressif. 1984 est le livre incontournable de l'anticipation dystopique. 

L'histoire : Dans le futur, le monde a été divisé en trois empires qui se combattent en permanence : L'Océanie, l'Asie de l'Est et l'Eurasie. 1984 se passe à Londres, dans l'Océanie, une dictature. Winston Smith est le personnage principal du roman, un agent du Parti qui travaille au ministère de la Vérité. Son travail consiste à réécrire les articles de presse et modifier les données de l'État afin que tout correspondent à la vision du Parti unique. Big Brother est le chef invisible du Parti, mais ses portraits sont partout. Chacun est constamment surveillé, d'où le slogan " Big Brother vous regarde ". Trois slogans sont omniprésents : " La guerre c'est la paix ", " La liberté c'est l'esclavage ", " L'ignorance c'est la force " ; quatre ministères l'organisent - Vérité, Paix, Amour, Abondance -, et la population est répartie en trois classes - le Parti intérieur (les dirigeants), le Parti extérieur (ceux qui servent le pouvoir), et les prolétaires. 

" Dans cette contre-utopie cinglante, Orwell propose une réflexion sur la ruine de l'homme par la confiscation de la pensée et la prolifération de la technocratie ". Cette vision du futur est elle improbable ? A vous d'en juger...

1984

George Orwell, perhaps one of the most perceptive writers of the twentieth century, wrote extensively about English life and politics. This selection of his essays and journalism brings together his most provocative and insightful writing on England and Englishness. Part of the Macmillan Collector's Library; a series of stunning, clothbound, pocket-sized classics with gold foiled edges and ribbon markers. These beautiful books make perfect gifts or a treat for any book lover. This edition is edited and introduced by Professor Michael Gardiner. Orwell's interests were broad. He often wrote about everyday concerns such as transport, food and the weather. Turning to social issues, he exposed the plight of the poor and the unemployed. He dissected the idea of nationalism and he examined the failings of the Left. What emerges from his acute observation of English rituals, habits and attitudes is his belief that these are the very things with which the English people can defend themselves against oppression. His writing remains insightful and prescient to this day.

Orwell and England - Selected Essays

« Notre langue devient laide et imprécise parce que notre pensée est abrutie, lequel abrutissement est lui-même facilité par la négligence dont souffre notre langue. »George Orwell n'épargne aucun de nos travers langagiers en fustigeant la dégradation des usages chez les politiques, en littérature ou dans nos conversations quotidiennes. Grâce à nombre d'exemples éloquents, il nous enjoint à résister à la vacuité du langage préfabriqué. Traduit de l'anglais (Grande-Bretagne) par Charles Recoursé

Sommes-nous ce que nous disons ?

Insurance salesman George "Fatty" Bowling lives with his humorless wife and their two irritating children in a dull house in a tract development in the historyless London suburb of West Bletchley. The year is 1938; doomsayers are declaring that England will be at war again by 1941. When George bets on an unlikely horse and wins, he finds himself with a little extra cash on his hands. What should he spend it on? "The alternatives, it seemed to me, were either a week-end with a woman or dribbling it quietly away on odds and ends such as cigars and double whiskeys." But a chance encounter with a poster in Charing Cross sets him off on a tremendous journey into his own memories--memories, especially, of a boyhood spent in Lower Binfield, the country village where he grew up. His recollections are pungent and detailed. Touch by touch, he paints for us a whole world that is already nearly lost: a world not yet ruled by the fear of war and not yet blighted by war's aftermath:  1913! My God! 1913! The stillness, the green water, the rushing of the weir! It'll never come again. I don't mean that 1913 will never come again. I mean the feeling inside you, the feeling of not being in a hurry and not being frightened, the feeling you've either had and don't need to be told about, or haven't had and won't ever have the chance to learn.  Alas, George finds that even Lower Binfield has been darkened by the bomber's shadow.  Readers of 1984 will recognize Orwell's desperate insistence on the importance of the individual, of memory, of history, and of language; and they will find in Fatty Bowling one of Orwell's most engaging creations--a warm, witty, thinking, remembering Everyman in a world that is fast learning not to think and not to remember, and thus swiftly losing its mind. --Daniel Hintzsche

Un peu d'air frais

???À la ferme du Manoir, c'est la révolution : les animaux ont pris le pouvoir. Désormais, ils ne travailleront que pour eux-mêmes, et bâtiront ensemble un avenir radieux. Désormais, ils ne connaîtront plus de maître, car tous les animaux sont égaux. Ou, du moins, presque tous.

Cette nouvelle traduction restitue toute la verve satirique d'une fable politique magistrale. Tristement intemporelle et terriblement drôle, La Ferme des animaux n'a pas fini de faire réfléchir les Hommes.

+ Étude de l'ouvre

parcours de lecture

microlectures

+ Groupements de textes

. l'art oratoire

. regards sur la tyrannie

+ Histoire des arts

. autour de l'anthropomorphisme

. manipulation et propagande

. un livre, un film : Le Dictateur de Charlie Chaplin

+ Éducation aux médias et à l'information.

La ferme des animaux

Un certain 21 juin eut lieu en Angleterre la révolte des animaux. Les cochons dirigent le nouveau régime. Snowball et Napoléon, cochons en chef, affichent un règlement : "Tout ce qui est sur deux jambes est un ennemi. Tout ce qui est sur quatre jambes ou possède des ailes est un ami. Aucun animal ne portera de vêtements. Aucun animal ne dormira dans un lit. Aucun animal ne boira d'alcool. Aucun animal ne tuera un autre animal. Tous les animaux sont égaux." Le temps passe. La pluie efface les commandements. L'âne, un cynique, arrive encore à déchiffrer : "Tous les animaux sont égaux, mais (il semble que cela ait été rajouté) il y en a qui le sont plus que d'autres." Le "Grenier des acteurs" est un moment à part dans la programmation de la Comédie-Française : à tour de rôle, sous les toits de la Salle Richelieu, les acteurs de la Troupe proposent une lecture publique de leur livre de chevet. Jennifer Decker a choisi La ferme des animaux : "Orwell vient, tel un éclaireur, dire en mots simples ce qui jusqu'alors me paraissait obscur et hors de ma portée. Il éveille en moi, au-delà d'un intérêt littéraire, un désir de réflexion, et m'aide à trouver mon langage à travers le sien."

La Ferme des animaux

À travers l'histoire de la descente aux enfers de Gordon Comstock puis de sa rédemption, ce roman de l'auteur de 1984 est à la fois la satire du monde où l'argent a remplacé le divin et celle de la révolte individualiste et négative. Armé d'un humour corrosif, Orwell dénonce et ridiculise le conformisme de l'English Way of Life tel que le conçoit pour son salut un personnage qu'il traite pourtant avec tendresse. Car il s'agit pour l'auteur de sauver l'aspidistra, fleur symbole de l'Angleterre, c'est-à-dire la convivialité et l'humble désir de vivre. L'humanisme sans concession d'Orwell atteint ici le lecteur au plus profond de sa conscience.

Et vive l'aspidistra !

Intimidated by her father, the rector of Knype Hill, Dorothy performs her submissive roles of dutiful daughter and bullied housekeeper. Her thoughts are taken up with the costumes she is making for the church school play, by the hopelessness of preaching to the poor and by debts she cannot pay in 1930s Depression England. Suddenly her routine shatters and Dorothy finds herself down and out in London. She is wearing silk stockings, has money in her pocket and cannot remember her name. Orwell leads us through a landscape of unemployment, poverty and hunger, where Dorothy's faith is challenged by a social reality that changes her life.

Fiorirà l'aspidistra

Résumé

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Critiques

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