Carnets de croquis ; 3 volume sous coffret

Etudie les systèmes d'énergie électrique, la modélisation, les régimes stationnaires, les courants de court-circuit, les phénomènes dynamiques lents, la simulation temps réel numérique, etc.

Simulation des réseaux électriques

Pierre Bonnard, Edgar Degas, Edouard Vuillard - Photographes

Des quarante ans d'amitié entre deux artistes majeurs du XX? siècle, subsistent les lettres échangées de 1925 à 1946 par Bonnard et Matisse. Document inestimable qui commence sur le superbe «Vive la peinture !» que lance Matisse à Bonnard et qui s'achève sur une lettre de Matisse encore, où celui-ci, en post-scriptum, redit à son correspondant, une dernière fois, son admiration pour son oeuvre. Comme l'écrit Antoine Terrasse, auteur du très beau Bonnard paru chez Gallimard en 1988, «ils ont la même intelligence de la peinture. Ils partagent la même conviction, absolue, que le tableau doit vivre par lui-même de sa vie propre». Cette correspondance révèle que Bonnard et Matisse partageaient une même vision de l'art, et aussi que, avant d'être l'expression exceptionnelle d'un génie, la peinture demeurait pour eux l'exercice obstiné, patient, obscur, d'un métier. Indispensable à la connaissance des deux artistes, cette correspondance est accompagnée d'illustrations (portrait de Bonnard et de Matisse par Cartier-Bresson, Brassaï et André Ostier, reproductions de certaines lettres manuscrites et d'oeuvres de Bonnard et de Matisse en rapport, etc.).

Correspondance : (1925-1946)

"Je ne sais pas si le mot vocation est exact en ce qui me concerne. Je ne me rendais pas très exactement compte alors si je voulais être peintre. Il me semble bien que, à cette époque, ce qui m'attirait, ce n'était pas tellement l'art, mais plutôt la vie d'artiste avec tout ce qu'elle comportait, dans mon idée, de fantaisie, de libre disposition de soi-même. Certes depuis longtemps j'étais attiré par la peinture et par le dessin, mais sans que ce fût une passion irrésistible, tandis que je voulais à tout prix échapper à la vie monotone." P. Bonnard à Raymond Cogniat, juillet 1933 "C'est très difficile, la peinture. Et il y a dix ans à peine que je commence à m'y reconnaître..." P. Bonnard à Maximilien Gauthier, décembre 1937

C’est très difficile, la peinture - Propos et hommages

Dans mes promenades du matin je m'amuse à définir les différentes conceptions de paysages, paysage "espace" , paysage intime, paysage décoratif, etc... Mais comme vision je vois chaque jour des choses différentes, le ciel, les objets, tout change continuellement, on peut se noyer là-dedans. Mais cela fait vivre.

Carnets de croquis ; 3 volume sous coffret

Plus de livres de Pierre Bonnard

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques