1939-1945, La Seconde Guerre Mondiale

When the newly-promoted Sergeant Crystal Lewis and her military team loop to a parallel world, they discover a London very different to those their agency have investigated elsewhere. Steam powered ships fill the sky, metal creatures scurry through the streets, and the Great Library is now nothing more than a burnt out shell; the history, knowledge and literature of the world has been destroyed. Crystal's investigations discover the records of the Scriptorians: elite explorers, scientists and chroniclers, chosen for their wordsmith abilities, their tenacious belief in uncovering the truth, their passion for the bizarre and baffling. There is some evidence that these mysterious adventurers, fighters and writers also discovered the technology to loop and visit other parallel worlds. Here are some of their tales... Zoë Harris offers us a vision of feminism taken to extremes, while Ken Dawson has the epitome of the pushy parent at the heart of his story; Jake Finlay's and Ross Kitson's stories are concerned with moral dilemmas in research and medicine and both consider the nature of immortality; Steven J. Guscott gives a novel twist to the Frankenstein story; David Muir's central character is an apparently immortal warrior; on lighter note, Paul Freeman gives us a hero easily swayed by a pretty face and adventue, and Robert Peett shows a world of strange invasions, infections and mutations, and at the end, Sammy H. K Smith shows how it all began with the daring Lady Pippa Raven - the first true Scriptorian.

Strange Tales from the Scriptorian Vaults

Nouveau Larousse Elementaire

« Les femmes ne peuvent peindre que des choses qui n'exigent ni pensée profonde, ni grand sentiment, ni large virtuosité. Des fleurs, des natures mortes, des objets élégants, des scènes de genre paisibles, des paysages doux des portraits d'enfants, des animaux gentils », peut-on lire en 1884 dans un article consacré aux « Peintresses belges » de la revue d'avant-garde, L'Art moderne. Considérées avant tout comme des épouses, des mères et des maîtresses de maison, les femmes n'ont accès à une formation académique officielle qu'à partir de 1889 en Belgique. Pour certaines, être « fille de… » ou « femme de… » leur permet de sortir de l'ombre. Sans liens familiaux ou maritaux efficaces, d'autres embrassent le célibat pour se consacrer à une carrière, comme Cécile Douard, Marie Collart ou Jenny Montigny. Cet ouvrage accompagnant l'exposition illustre de façon inédite la variété de style et de médium des femmes artistes au 19ème siècle à travers les questions sensibles liées au genre.

Femmes artistes - Les peintresses en Belgique (1880-1914)

Dans la première moitié du XIXe siècle, Paris a été la capitale internationale du théâtre ; tous les genres, du vaudeville à l'opera seria, du mélodrame à la pantomime, s'y sont épanouis dans la plus grande concentration de salles existant alors en Europe : Comédie-Française, Ambigu, Porte-Saint-Martin, Théâtre-Italien, mais aussi Funambules, Gaîté, Variétés ou Gymnase. Alors que les influences les plus diverses, de Shakespeare à Goethe, de Byron à Victor Hugo, y forgeaient de nouveaux modèles, une étonnante effervescence intellectuelle y rassemblait les plus grands acteurs, Talma, Mars, Rachel, les compositeurs les plus célèbres, Rossini ou Meyerbeer, les divas les plus admirées, Maria Malibran, Marietta Alboni, Pauline Viardot, les étoiles de la danse les plus adulées, Marie Taglioni, Fanny Elssler ou Carlotta Grisi, sans oublier le mime par excellence, Jean-Gaspard Deburau. Une centaine d'oeuvres provenant du musée Carnavalet, portraits, aquarelles, dessins, décors, études de costumes, souvenirs, rappellent cette intense créativité et évoquent les principales figures qui l'ont illustrée.

Theatres romantiques à Paris

Chansonnier du buveurDate de l'édition originale : 1842-???? par la librairie de Deckherr Frères.Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.

Chansonnier du buveur

Fondée en 2006 par Kofi Annan et Plantu, l'association Cartooning for Peace réunit 147 dessinateurs du monde entier engagés à promouvoir la liberté d'expression, les droits de l'homme et le respect mutuel entre des populations de différentes cultures ou croyances par le langage universel du dessin de presse. Leur action se prolonge dans cet ouvrage marquant le dixième anniversaire de Cartooning for Peace, où l'on retrouve l'essentiel des questionnements en mots et en images soulevés par ces agitateurs d'idées. Le combat pour la liberté se gagne aussi avec les crayons.

Le dessin de presse dans tous ses États

Mouvement fondamental de la première moitié du XXe siècle en Allemagne, la Nouvelle Objectivité n'a jamais fait l'objet d'une exposition qui lui soit exclusivement consacrée dans un musée français, à l'exception de celle du Musée de Saint-Étienne en 1970. Le Musée de Grenoble propose de montrer différents aspects de ce mouvement sous l'angle de la production graphique, remarquable par son abondance et son intérêt artistique et iconographique.Parce que l'Europe se trouve dans un état catastrophique à l'issue de la première guerre mondiale, la vision subjective de l'Expressionnisme évolue et un certain nombre d'artistes s'orientent vers une conception différente des choses, une Nouvelle Objectivité qui prend la forme d'un constat froid et réaliste, souvent acerbe et ironique de la société. Cette vision aboutit à des images inquiétantes : portraits, paysages, natures mortes, scènes d'intérieur sont représentés selon une figuration issue de la tradition picturale classique marquée cependant par les inventions plastiques des avant-gardes. Le terme Nouvelle Objectivité proposé par Gustav Hartlaub, directeur de la Kunsthalle de Mannheim, qui organisa la première exposition en 1925, reflète la volonté des artistes de montrer la réalité de manière distanciée dans ses aspects les plus banals et les plus durs.L'exposition rend compte, à partir des uvres graphiques, des artistes, qui dans toute l'Allemagne ont dépeint la société de l'entre-deux-guerres et apporté leur témoignage dans un souci de capter la réalité dans sa vérité crue et immédiate. Les thèmes abordés montrent l'homme et le monde qui l'entoure dans une même immobilité dérangeante, qu'il s'agisse du portrait caricatural de la société berlinoise d'Otto Dix et de Georg Grosz, des intérieurs et des natures-mortes précis et détaillés d'Alexander Kanoldt et de Georg Scholz, d'Anton Räderscheidt et Franz Radzwill, des hommes métamorphosés en machines d'Heinrich Hoerle...Cette exposition complète et approfondit la connaissance de l'art allemand après Un siècle d'art à Berlin en 1999 au Musée de Grenoble, en focalisant l'intérêt sur un courant artistique fondamental par son témoignage sur l'histoire de l'Allemagne. Largement illustré, le catalogue est aussi le support d'une réflexion approfondie par ses auteurs, témoignage d'un mouvement sans équivalent.

1939-1945, La Seconde Guerre Mondiale

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