Au début des années 1960, Barry Miles était un étudiant en art ; à la fin il dirigeait le label Zapple des Beatles, vivant dans le légendaire Chelsea Hotel de New York. Voici le récit de ce qui s'est passé entre les deux. Durant cette décennie, Barry Miles organise avec Ginsberg et Burroughs la lecture qui marque l'avènement de la Beat Generation à Londres, cofonde la galerie Indica, véritable centre de commande de la contreculture et y lance le premier magazine underground d'Europe, International Times... Le journal de Miles est au plus proche des artistes des sixties, à la fois pour la littérature et pour la musique. Il fait se rencontrer Yoko Ono et John Lennon, suit la grossesse de Marianne Faithfull, collabore avec les Beat- les, fait la fête avec Frank Zappa et les Pink Floyd, s'entretient avec Mick Jagger et Leonard Cohen, enregistre Bukowski, Brautigan et Burroughs sur Zapple Records... Saisissant !

In the sixties

Samuel Johnson aurait eu cette phrase célèbre : "Quand un homme en a assez de Londres, il en a assez de la vie." Remarquable par son histoire, son architecture, ses monuments, ses nies, le style, le flegme, le chic londonien et la loyauté de ses habitants, la capitale britannique se révèle à travers plusieurs centaines de photos, pour beaucoup inédites, provenant d'archives du monde entier. Londres est une métropole tentaculaire qui ne cesse de muter et de croître, pourtant le caractère unique, l'humour et l'opiniâtreté de ses habitants ont résisté aux évolutions complexes du passé et à la précarité de l'époque contemporaine. Ce livre est dédié à tous ces Londoniens, à leur ville et à son histoire, que l'ouvrage retrace aussi au moyen de centaines de citations, d'articles percutants et de références à des films, des livres et des disques majeurs. Londres victorienne et folles années soixante, bataille d'Angleterre et vague punk, Festival of Britain et jeux Olympiques de 2012, ruelles aux pavés humides noyées dans le brouillard et chefs-d'oeuvre architecturaux des siècles passés, pubs populeux et clubs privés, mariages princiers et rave parties, charme désuet de l'East End et merveilles de Westminster, filles de Chelsea et jeunesse branchée de Hoxton : page après page, photo après photo, ce livre, ample comme l'est la ville, apporte enfin à Londres l'hommage qu'elle mérite.

London - Portrait d'une ville

William Burroughs ha cinque anni quando, seduto con il fratello nella casa di famiglia, in un quartiere altoborghese di St. Louis, scoppia improvvisamente a piangere: « Era come la sensazione disperata e assoluta di essere vulnerabile ». William ne è ancora ignaro, ma lo Spirito del Male è già penetrato in lui, entità ostile che lo perseguiterà per tutta la vita. Che studi medicina a Vienna o antropologia ad Harvard, che faccia il disinfestatore a Chicago o si rifugi tra le braccia dell'amico Allen Ginsberg a New York, lo Spirito del Male non gli darà mai pace, portandolo alle azioni più sconsiderate e alle sperimentazioni più folli, ma anche, per reazione violenta, alle visioni più lucide e alle verità più drammaticamente insondabili. L'uccisione della moglie nella delirante e ubriaca imitazione di Guglielmo Tell, la ricerca di giovani corpi nei casini di Tangeri, l'automutilazione del mignolo per farne dono all'innamorato, la dipendenza dall'alcol e dalle droghe, la fascinazione per l'occulto in tutte le forme con cui si manifesta, dallo sciamanismo a Scientology alla stregoneria: Burroughs, vestito di un abito scuro e di un cappello fedora per scivolare tra la folla come un hombre invisible, con l'immancabile pistola in tasca e la freddezza inquietante dello studioso, sperimenta ogni possibile deragliamento dei sensi, convinto di poter sfuggire al controllo dello Stato, delle religioni, del sesso, della droga, delle dipendenze solo immergendovisi fino in fondo, sprofondandovi ogni volta, dando in pegno la sua vita per guadagnarne mille. Sempre in fuga - Tangeri, Parigi, Città del Messico, New Orleans, Chicago, New York - e sempre un passo oltre, non solo rispetto agli amici beat, che ammirati lo elessero capo spirituale, ma anche alle mode letterarie e culturali e a qualsiasi limite dell'immaginario e della morale. Il Saggiatore porta in Italia la biografia fondamentale di uno degli scrittori più radicali e decisivi del XX secolo. A firmarla è Barry Miles, che assistette in presa diretta alla sua eccezionale esistenza e ne ricostruisce qui, tramite testimonianze inedite, l'intera vicenda biografica: una storia privata estrema che getta nuova luce sull'opera letteraria di Burroughs come tentativo disperato di esorcizzare lo Spirito del Male e « scrivere la propria via di fuga ».

Io sono Burroughs

This title is printed in colour throughout and contains 240 photographs. The world's most celebrated band has been the subject of countless books and articles over the years. But "The Beatles Phenomenon" is a unique new Beatles chronicle that brings their astonishing legend to vivid life using sheet music, rare photographs and a detailed chronology of their gigs, venues, public quotes and most memorable moments. Based on the exhaustive research of the legendary Miles, intimate member of the Beatles' Sixties circle, "The Beatles Phenomenon" weaves together the whole spectacular Beatles' story, the full sheet music of their most important songs in chronological order, and 240 rarely-seen colour and black-and-white photographs.The result is a truly amazing personal history of The Beatles, a collectable book that will become a treasured and evocative keepsake for those who grew up with their music, and an essential reference tool for anyone seriously interested in rock's must influential phenomenon. With insights from colleagues and band members themselves, "The Beatles Phenomenon" stands apart from all other Beatles books. Each of the 100 songs featured in this prestigious collection is printed with topline, guitar chord boxes and full lyrics. The result is a magnificent musical, visual and textual commentary on the life, times and music of the most phenomenal rock 'n' roll band the world has ever seen.

The Beatles : Un phénomène en mots, en images et en musique

L'hôtel du 9, rue Gît-le-Coeur ferma pour de bon au printemps 1963. William Burroughs se souvenant du moment où Madame et son chat Mirtaud sont finalement partis : "Il y avait un chat gris au Beat Hotel. C'était celui de Madame. Quand elle s'est retirée, elle est allée de l'autre côté de la rue. Elle avait l'air si triste, là, l'air des gens qui prennent leur retraite. Elle avait des géraniums et un vieux menton gris et un vieux, vieux chat gris, et elle a simplement disparu dans un fondu enchaîné..." Au coeur du quartier latin, rue Gît-le-Coeur à Paris, un hôtel miteux a joué un rôle clé dans l'histoire de la littérature beat. C'est dans cet établissement, tenu d'une main de fer par Madame Rachou, que les écrivains américains beat, exilés volontaires d'un pays trop puritain pour recevoir leurs idées, ont trouvé refuge. Allen Ginsberg, William Burroughs, Gregory Corso... tous y ont séjourné. Et ce petit hôtel de devenir l'épicentre du phénomène beat qui, entre New York, San Francisco, Mexico, Tanger, Amsterdam, Londres et Budapest, n'a pas simplement concerné les écrivains et artistes américains, mais toute la bohème internationale. Cet ouvrage remarquablement bien documenté retrace les années parisiennes des grandes figures beat. Il saisit l'aspect international de ce mouvement et nous plonge dans le Paris populaire et interlope de cette époque, son souffle, ses voix aujourd'hui disparus.

Beat Hotel - Allen Ginsberg, William Burroughs & Gregory Corso à Paris, 1957-1963

Le livre explique l'importance de la musique et de la littérature dans l'émergence de la contre-culture. Annonçant la fin des hippies et se terminant avec l'apogée du punk, In the seventies incarne la génération des extrêmes. Sexe, drogue et rock'n'roll sont bien sûr au pro- gramme de ce livre dans lequel Barry Miles vit les scènes underground de Londres, New York et de Californie. Mais, loin de la simple compilation d'anecdotes, l'auteur montre ici à quel point des artistes comme Patti Smith, The Clash, The Ramones, mais aussi des écrivains comme William Burroughs ou Allen Ginsberg, ont influencé l'émergence d'une contre-culture. 

 

Barry Miles est un acteur incontournable de la scène underground anglaise et américaine. Cofondateur de la galerie Indica, soutenue par les Beatles, et du magazine International Times, il s'est lié d'amitiés avec de nombreuses personnali- tés dont Allen Ginsberg et William Burroughs. Il est l'auteur de livres de références dont Hippies (Octopus/Hachette, 2004), de biographies de Paul McCartney, John Lennon, William Burroughs, Charles Bukowski ou Allen Ginsberg, et de livres tels que Beat Hotel (le Mot et le Reste, 2011) ou Ici Londres ! Une histoire de l'underground londonien depuis 1945 ( Rivages Rouge , 2012).

In the seventies ; aventures dans la contre-culture

Un témoignage hors du commun d'un des acteurs principaux de la contreculture, qui a rencontré tous les génies des sixties !
Au début des années 1960, Barry Miles était un étudiant en art ; à la fin il dirigeait le label Zapple des Beatles, vivant dans le légendaire Chelsea Hotel de New York. Voici le récit de ce qui s'est passé entre les deux. Durant cette décennie, Barry Miles organise avec Ginsberg et Burroughs la lecture qui marque l'avènement de la Beat Generation à Londres (" International Poetry Incarnation", Royal Albert Hall, 1965), cofonde la galerie Indica, véritable centre de commande de la contreculture et y lance le premier magazine underground d'Europe, 
International Times... Le journal de Miles est au plus proche des artistes des sixties, à la fois pour la littérature et pour la musique. Il fait se rencontrer Yoko Ono et John Lennon, suit la grossesse de Marianne Faithfull, collabore avec les Beatles, fait la fête avec Frank Zappa et les Pink Floyd, s'entretient avec Mick Jagger et Leonard Cohen, enregistre Bukowski, Brautigan et Burroughs sur Zapple Records... Saisissant !

In the sixties ; aventures dans la contre-culture

La vie de Jack Kerouac - depuis son enfance au Canada jusqu'à sa fin misérable, alcoolique et reclus avec sa mère - est celle d'un homme qui avait l'art de transformer sa vie, et les personnes de son entourage, en légendes.
Mais qu'est-ce qui fit de ce jeune homme timide et inquiet, qui ne savait même pas conduire une voiture, une idole cool, d'un romantisme plein de panache dans l'Amérique conformiste des fifties ? Comment un écrivain frustré et conservateur a-t-il pu devenir le porte-parole d'une génération " libérée ", où il ne s'est jamais vraiment reconnu ? Grâce à une lecture critique et sans complaisance de l'oeuvre, Barry Miles déconstruit le mythe pour faire apparaître les contradictions qui se jouent entre l'écrivain et son image.
En s'appuyant sur des témoignages d'Allen Ginsberg, de William Burroughs et des compagnons de route de Kerouac, il retrace le portrait contrasté et saisissant d'un homme à la dérive, écrivain génial et " clochard céleste ".

Jack kerouac - roi des beatniks

Greenwich Village, 6 marzo 1970. Tre esplosioni in rapida sequenza sventrano l'elegante palazzo al numero 18 dell'Undicesima Strada Ovest; dalle fiamme escono, confuse ma illese, due ragazze seminude. Domato l'incendio, le forze dell'ordine trovano in cantina più di sessanta candelotti di dinamite, una bomba anticarro e tutto l'occorrente che sarebbe servito al gruppo terroristico Weather Underground per produrre altri ordigni. È l'atto di nascita degli anni Settanta e Barry Miles è a New York per registrarne i primi, turbolenti vagiti. Giornalista inglese sbarcato negli Stati Uniti per lavorare con i grandi della Beat Generation, Miles attraversa la decade più anticonformista e trasgressiva del Novecento e ne sperimenta in prima persona la genialità e gli eccessi: è con Allen Ginsberg nella comune di Cherry Valley, dove il poeta accoglie amici, amanti e artisti newyorkesi alla ricerca di pace e disintossicazione; è nel capanno di Lawrence Ferlinghetti nel Bixby Canyon, a poca distanza da dove Jack Kerouac ha scritto Big Sur; è nel bunker di William Burroughs sulla Bowery quando « Bill », per dimostrare l'efficacia della sua pistola antiaggressione, finisce per riempire la stanza di soffocanti fumi tossici. È l'epoca di sesso, droga e rock'n'roll; della cocaina, della pornografia, delle mode estreme; delle stravaganze notturne all'Hotel Chelsea, casa di poeti come Gregory Corso e musicisti come Bob Dylan e Patti Smith, e degli spettacoli drag delle Cockettes, il gruppo teatrale fondato da Hibiscus, alias George Harris, l'hippy con il dolcevita che in una storica fotografia infila un fiore nel fucile di un militare, fuori dal Pentagono. Ossessioni, provocazioni, conquiste. Ci sono tutti i Settanta in questo memoir suggestivo, nostalgico e insieme sfavillante: gli astri di quegli anni - come le stelle visibili a Manhattan durante il famigerato blackout del luglio 1977 - bruciano con un'intensità che non accenna a spegnersi.

In the sixties

Résumé

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