« Enzo ! tu es prêt ? Non, ne me dis pas tu es encore au lit » Ce matin, c'est la panique, Enzo est encore en pyjama et son papa ne trouve plus sa cravate, ils vont finir par être en retard, mais Enzo semble vouloir le prévenir d'un léger détail « Mais, papa ! »

On est en retard !

"Mademoiselle, c'est l'heure de dîner.
Voulez-vous vous joindre à moi ?" Un papa appelle sa fille pour manger.
Rien d'exceptionnel... Mais on est tout de suite intrigué par le ton du papa qui vouvoie sa fille et l'invite à table comme une adulte inconnue.
On comprend vite que la demoiselle est punie.
Du coup, elle prend un malin plaisir à tenir tête (derrière la porte de sa chambre) à son père.

Telle une princesse prisonnière, elle dit non.
Tel un roi qui a préparé une bonne pizza, il l'invite à ouvrir la porte de sa chambre et partager le repas.

Bientôt la garde tombe... La princesse sort de son château...
Mais ils n'avaient pas tout prévu !

Derrière la porte

Ils sont 13, 13 garçons et filles qui vivent de leur plume, qui inventent des histoires tous les cours ou presque. Ils s'appellent : Agnes de Lestrade, Anne Loyer, Arnaud Tiercelin, Claude Merle, Clotilde Bernos, Daniel Lacotte, Dider Pobel, Gilles Brulet, Herve Mestron, Marc Baron, Michel Lautru, Michel Piquemal, Pierre Ducrozet. Alessandro Ferraro, lui, vit de son pinceau, à ROME. Un jour je leur ai dit : les amis, je voudrais faire un livre à lire sur la plage quand on a 12 ans ou plus et qui parle de l'été. Prenez votre plume ou votre ordinateur et hop ! Ecrivez une petite histoire, on appelle ça une nouvelle, qui parle de l'été. Et les filles et les garçons ont dit d'accord. Et je leur ai dit aussi d'expliquer un peu qui ils étaient, pourquoi ils écrivaient. Vous avez donc maintenant, en main ce livre, qui est un peu le livre de tout le monde. Vous avez le droit de plier les pages si vous voulez, et le sable va forcément se glisser entre les histoires, c'est normal. Bon, maintenant, si on allait manger une glace ?

Un été à histoires - Les plumes des bulles

Dans mon coeur, il y a... Cet ouvrage très poétique est aussi une invitation à la création. Dans une première partie, l'auteur fait une énumération de ce qu'il y a dans son coeur : (extrait) Dans mon coeur, il y a une route Où les voitures défilent à toute allure. Dans mon coeur, il y a un trottoir Où les chats dansent le tango. Dans mon coeur, il y a une cabane Où les pêcheurs se réfugient quand il pleut. [... ] Puis, changement de rythme, on reprend les éléments, mais dans le désordre... Seul point imperturbable, le mot coeur. (extrait) Dans mon défilé, il y a des voitures Qui ont une allure de coeur. Dans mon tango, il y un chat Qui trotte avec son coeur. Dans mon refuge, il pleut des coeurs Sur les cabanes des pêcheurs.

Dans mon coeur

La dernière dent de Georges vient de tomber. Comment va-t-il faire pour engloutir les bons enfants dodus qu'il adore tant ? Du sucre ! Il va se coller des morceaux de sucre. Ça fera sans doute l'affaire. Mais Georges n'avait pas prévu que le sucre allait très vite fondre... Des arêtes de poisson ! Oui, avec les arêtes, c'est sûr, ça va marcher. Et c'est vrai que Georges a l'allure d'un acteur de cinéma. Mais lorsqu'il éternue, toutes les arêtes s'envolent ! Comment allait-il faire pour manger ?

L'ogre Georges et les bonbons roses

La maîtresse remarque que Lubin est gaucher. Comme les autres sont droitiers, il décide de devenir droitier lui aussi. Mais ça n'est pas si facile et, en classe, personne ne remarque que Lubin écrit de la main droite.

Je ne serai plus gaucher

Son père n'est plus en mesure de s'occuper de lui et Nino doit partir vivre dans une famille d'accueil, chez Eric, Sylvie et leur fils Antoine. Mais ce dernier ne voit pas d'un bon oeil l'arrivée d'un inconnu sur son territoire. De son côté, Nino, inquiet, fait des cauchemars. Face à cette situation imposée par les adultes, les deux garçons vont devoir s'apprivoiser. Un texte émouvant et drôle, qui happe le lecteur dès les premières lignes.
Au-delà d'un thème sensible, la rencontre entre ces deux enfants illustre notre capacité à nous adapter et à partager au quotidien.

Frère de passage

Antoine aime par dessus tout jouer du piano et écrire des histoires. Un jour pourtant, son père l'inscrit au club de rugby sans lui demander son avis. Une histoire pour découvrir que finalement, le rugby c'est vraiment chouette et que des fois on peut se tromper.

Ka maté, patate !

" J'ai neuf ans. Je ne contrôle pas tout. Mais qu'est-ce que j'y peux moi, si maman est tombée amoureuse d'une fille qui s'appelle Christelle ? " Un récit de vie à l'école qui aborde le thème de l'homosexualité.

On est en retard !

Résumé

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Critiques

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