Les amis de Pancho Villa

"P .A.T. : Parti Au Texas". En cette sanglante journée d'été 1845, Edward Little grave ces mots sur une souche près de sa maison
calcinée. John, son frère aîné, a tué leur père d'un coup de fusil pour le
protéger ; leur mère, à moitié folle, s'est enfuie ; Maggie, leur soeur chérie, a disparu. Désormais, John et Edward rêvent de partir
s'installer sur les terres encore désertes du Texas. Mais le hasard les
sépare brutalement, et les deux frères suivent chacun de leur côté la route
brutale de l'Ouest, dans l'espoir vacillant que leurs vies de meurtres et de sang se croiseront aux confins désolés de la Frontière.

Crépuscule sanglant

Stanislaus Kaicel (1886-1910), alias Stanley Ketchel, est l'un des meilleurs boxeurs poids moyens de l'histoire. D'origine polonaise, il fuit un père alcoolique et violent, vagabonde à travers l'Amérique misérable et trouve une place de videur de saloon dans le Montana. Un monde de mineurs violents, de capitalistes impitoyables et de prostituées au grand coeur va lui donner sa chance. Dur, agressif et sans scrupule, Ketchel monte sur le ring pour vivre une carrière aussi fulgurante que tragique. Surnommé "l'assassin du Michigan", il battra par K.0. tous les adversaires de sa catégorie pour oser affronter, en 1909, le champion des poids lourds, Jack Johnson, lors d'un combat féroce qui deviendra mythique et changera son destin. Entre les derniers saloons de l'Ouest sauvage et les grands hôtels de New York, sa destinée de champion maudit, flamboyant et charismatique revêt les accents d'une authentique épopée américaine.

Vies et morts de Stanley Ketchel

Dans la bande de John Dillinger, il y a Red, Charley, Russell et moi, "Handsome Harry" Pierpont. S'il y avait eu un chef, ça aurait été moi, même John le dit. Mais John aime avoir sa photo dans les journaux et faire le malin devant les dames, alors on ne se souvient que de lui. Il est le plus cool d'entre nous, je vous le garantis, sur un boulot comme sous les balles. Nous prenons l'argent là où il se trouve : dans les banques. Sans nous vanter, en matière de casse, nous sommes les meilleurs. Un chauffeur, trois ou quatre gars motivés, une voiture de remplacement, et le tour est joué. Les journaux disent que nous sommes dangereux, l'Ennemi public n°1 : n'exagérons rien. On ne veut de mal à personne, on aime juste les belles voitures, les jolies filles et les fêtes entre copains. On sait bien que ça ne va pas durer, que les flics nous attraperont un jour ou l'autre. En attendant, on profite de la vie.

Handsome Harry

From the raw clay of historical fact, James Carlos Blake has sculpted a powerful novel of both a man and an America at war with themselves. Here is the brutally honest story of free-spirit William Anderson, who is pulled into a savage conflict of state against state in the years leading up to the Civil War. When Bill suffers a catastrophic loss, a fury is unleashed in his anguished soul. He becomes the most fearsome guerrilla captain and earns a name that becomes whispered with reverence and terror: "Bloody Bill."

Wildwood Boys - A Novel

Qui était John Wesley Hardin, immortalisé par Bob Dylan ? Certains disaient que c'était un héros, pas moins. A peine sorti de l'enfance, il avait pris les armes contre les tuniques bleues qui parcouraient le territoire du Texas comme des conquérants cruels et implacables, dans les jours sombres qui suivirent la guerre de Sécession. Certes, il avait tué des hommes, beaucoup d'hommes... mais c'étaient des hommes qui essayaient de le tuer, lui. D'autres étaient d'un avis différent. C'était le Diable incarné, disaient-ils. Un rebelle de la pire espèce, qui avait la méchanceté chevillée au corps, un tueur-né, une âme violente commandée par l'orgueil, le pire des péchés capitaux. Mais tous s'accordaient à dire qu'il était l'homme le plus dangereux du Texas. Il avait tué pour la première fois à quinze ans, défié le grand Wild Bill Hickok à dix-huit, et avait abattu quarante hommes lorsqu'il fut mis en prison à l'âge de vingt-cinq ans. Ils disaient tout cela et davantage, ceux qui l'avaient connu d'une façon ou d'une autre durant les quarante-deux années de sa vie : amis et ennemis, membres de sa famille et inconnus, soldats et aventuriers, hommes de loi et hors-la-loi, joueurs et filles de joie, juges, gardiens et prisonniers... Des témoins, tous, des témoins ayant rencontré l'homme aux pistolets. C'est en partant de ces témoignages, de l'autobiographie de John Wesley Hardin, de ses lettres de prison et des articles de journaux de l'époque, que James Carlos Blake a reconstitué la vie d'une figure légendaire de l'Ouest. Un récit foisonnant, picaresque, plein de bruit et de fureur, de sang et de larmes, de passion et de souffrance, qui fut salué aux Etats-Unis comme un " authentique tour de force ".

L'Homme Aux Pistolets

James Carlos Blake is a masterful chronicler of the restless, outcast, the lawless, and the lonelyheart. His previous novel, In the Rogue Blood, was awarded the Los Angeles Times Book Prize for Fiction. Now he has written a powerful and rousing historical saga of family loyalties, blood feuds, and betrayed friendships; of bank robberies and bootlegging; and of a passionate love as wild at heart as the Everglades. It is the story of sworn enemies: John Ashley, a criminal and folk hero, the brightest star in a family destined to become the most notorious in south Florida; and Bobby Baker, a lawman born of lawmen, a violent, hard-hearted man driven by the searing memory of past affronts and the enduring hatreds the engendered. Ashley and Maker will clash many times over many decades. And as the twentieth century encroaches on their world—and the wildlands give grudging way to the rising boomtown of Miami—a feral, sensual mating will place one man in gravest peril...while his adversary contrives a dark, personal vengeance that could leave countless lives—his own included—in ruin.

Red Grass River: A Legend

C'est par une chaude journée de juillet, dans une petite ville de Louisiane, que le jeune Sonny Loomis LaSalle, dix-huit ans, est arrêté suite à un braquage exécuté par ses deux oncles Buck et Russell, faux jumeaux mais authentiques voleurs. Sonny les attendait dans la voiture, à la sortie de la banque. Mais leur informateur avait oublié de préciser que se tenait ce jour-là à Verte Rivage, une convention de shérifs. 
Lors de sa première nuit en cellule, Sonny intervient pour empêcher le viol d'un jeune détenu. Dans la bagarre qui s'ensuit, il tue accidentellement un policier. La victime est le fils unique d'un flic légendaire dans tout le Delta, John Isley McCabe, surnommé John Macabre à cause de sa violence et de son goût pour la justice expéditive. Un braqueur lui ayant fait sauter la main gauche d'un coup de fusil dix ans plus tôt, Macabre porte des tenailles chromées en guise de prothèse. 
Tueur de flic, ça ne pardonne pas. Sonny est condamné à trente ans de prison et expédié au pénitencier d'Angola, au milieu des marais. Au fur et à mesure qu'il découvre les sévices physiques infligés par les gardiens et l'effroyable dureté des travaux forcés, il se met à passer sa vie en revue : comment, étudiant modèle et champion de boxe amateur, il s'est cru, lui aussi, voleur par nature et a persuadé ses oncles de le prendre comme partenaire. Et comment il a rencontré et aimé Brenda Marie, antiquaire du French Quarter de La Nouvelle-Orléans.
Après neuf mois, Sonny parvient à s'évader du pénitencier et à rejoindre Buck et Russell. Tous trois émigrent dans l'Ouest du Texas, dans ces "boomtowns" où l'argent coule à flot, comme le pétrole. Mais Sonny ne sait pas que John Macabre est sur sa piste et a juré de se venger. La roue du destin tourne en sa défaveur et en celle de ses oncles. La tragédie trouvera une apothéose sanglante dans un impitoyable règlement de comptes final. 
Ce n'est pas un hasard si James Carlos Blake place en exergue de ce livre Shakespeare, Cormac McCarthy et Sam Peckinpah. Un monde de voleurs est une formidable aventure qui tient autant du roman criminel que du western. C'est aussi une peinture inoubliable de l'Amérique des roaring twenties, les "rugissantes années vingt".

Un monde de voleurs

Hailed as "one of the greatest chroniclers of the mythical American outlaw life" (Entertainment Weekly), James Carlos Blake turns to the blazing story of Stanley Ketchel, the legendary ragtime-era middleweight boxing champion and daring rakehell, whose brief and meteoric life burned with violence and tragedy in and out of the ring. The Killings of Stanley Ketchel is a sweeping and powerful literary adventure by one of our most daring novelists.

Les amis de Pancho Villa

Plus de livres de James Carlos Blake

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques