The Counterlife is about people enacting their dreams of renewal and escape, some of them going so far as to risk their lives to alter seemingly irreversible destinies. Wherever they may find themselves, the characters of The Counterlife are tempted unceasingly by the prospect of an alternative existence that can reverse their fate.Illuminating these lives in transition and guiding us through the book's evocative landscapes, familiar and foreign, is the miind of the novelist Nathan Zuckerman. His is the skeptical, enveloping intelligence that calculates the price that's paid in the struggle to change personal fortune and reshape history, whether in a dentist's office in suburban New Jersey, or in a tradition-bound English Village in Gloucestershire, or in a church in London's West End, or in a tiny desert settlement in Israel's occupied West Bank.

La contrevie

«Un nu aux seins opulents, légèrement évasés, pour lequel elle aurait pu poser elle-même. Un nu aux yeux clos, défendu comme elle par sa seule puissance érotique et, comme elle, à la fois primaire et élégant. Un nu mordoré mystérieusement endormi sur un gouffre noir velouté que, dans mon humeur du moment, j'associais à celui de la tombe. Fuselée, ondulante, elle t'attend, la jeune fille, immobile et muette comme la mort.»À l'orée de la vieillesse, David Kepesh, esthète attaché à sa liberté et séducteur exigeant, rencontre parmi ses étudiantes Consuela Castillo, vingt-quatre ans, fille de riches émigrés cubains, «émerveillée» par la culture. Et découvre la dépendance sexuelle...C'est le roman d'un envoûtement dans une Amérique bien loin des joyeuses bacchanales des années soixante, chères au Professeur de désir..; Et au tournant du millénaire, cet alter ego de l'auteur, naguère héros du Sein, est confronté non seulement à son propre vieillissement mais à la mort qui rôde en chacun de nous.Après La tache, Philip Roth nous offre à la fois un précis amoureux, une radiographie de notre temps et une méditation sur la condition humaine. Un nouveau chef-d'œuvre, d'une perfection lapidaire.

La bête qui meurt

Como Rip Van Winkle, que regressa àsua cidade natal e encontra tudo mudado, Nathan Zuckerman volta a Nova Iorque, a cidade que abandonou há onze anos. Sozinho na sua montanha da Nova Inglaterra, Nathan Zuckerman foi exclusivamente escritor: sem vozes, sem jornais nem televisão sem ameaças terroristas, sem mulheres, sem notícias, sem outras ocupações que não fossem trabalhar e enfrentar a velhice.Percorrendo as ruas como uma alma penada, depressa estabelece três relações que fazem explodir a sua solidão tão cuidadosamente protegida. Uma é com um jovem casal com o qual, num momento irreflectido, se propõe fazer uma permuta de casas. Eles trocarão a Manhattan do pós 11 de Setembro pelo seu refúgio no interior e ele regressará à vida urbana. Mas a partir do momento em que os conhece, Zuckerman quer também trocar a sua solidão pelo desafio erótico da jovem mulher, Jamie, que o atrai a ponto de o fazer voltar a tudo quanto pensava ter deixado para trás: a intimidade, o jogo vibrante do coração e do corpo.A segunda relação é com uma figura da juventude de Zuckerman, Amy Bellette, companheira e musa do primeiro herói literário de Zuckerman, E.I. Lonoff. Outrora irresistível, Amy é agora uma velha minada pela doença, guardiã da memória desse escritor americano de nobre austeridade que apontou a Nathan o caminho solitário para uma vocação de escritor.A terceira relação é com o aspirante a biógrafo de Lonoff, um jovem mastim literário, pronto a fazer e dizer praticamente tudo o que for preciso para chegar ao «grande segredo» de Lonoff.Subitamente envolvido, como nunca desejou ou tencionou voltar a estar, com o amor, a dor, o desejo e o ressentimento, Zuckerman representa um drama interior de possibilidades estimulantes e irresistíveis.

Exit le fantôme

David Kepesh, jeune professeur (très doué) de littérature comparée, est resté un étudiant (tout aussi doué) en érotisme comparé. Sa devise est celle de Byron : «Studieux le jour et la nuit licencieux.» Son étude approfondie du désir passe d'abord par des jeux scabreux avev Bettan et Birgitta, jeunes Suédoises aventureuses, puis le plonge dans l'exotisme et la passion avec Helen, belle, mystérieuse, insaisissable. Il épouse son héroïne mais se retrouve perdu dans le désert de l'amour. La traversée en sera dure, il y perdra jusqu'à la trace du désir. Puis c'est la découverte enfin de l'oasis inespéré. Claire est belle, voluptueuse, mais limpide comme son nom, droite, sans équivoque. Ne s'agit-il pas encore une fois d'un mirage ?

Professeur de désir

Now in his mid-thirties, Nathan Zuckerman, a would-be recluse despite his newfound fame as a best-selling author, ventures onto the streets of Manhattan in the final year of the turbulent 60s. Not only is he assumed by his fans to be his own fictional satyr, Gilbert Carnovsky ("Hey, you do all that stuff in that book?"), he also finds himself the target of admonishers, advisors, and sidewalk literary critics. The recent murders of Robert Kennedy and Martin Luther King Jr. lead an unsettled Zuckerman to wonder if "target" may be more than a figure of speech.In Zuckerman Unbound, the second volume in a trilogy, the notorious novelist Nathan Zuckerman retreats from his oldest friends, breaks his marriage to a virtuous woman, and damages his affectionate connection to his younger brother - all because of his recent good fortune.

Zuckerman délivré

Les faits se présente comme l’autobiographie non conventionnelle d’un écrivain qui a déconstruit notre idée de la fiction. Cette œuvre, d’une franchise inventive et irrésistible, dévoile le rapport intime et complexe que Philip Roth entretient avec l’art et l’existence. Sur le fil entre souvenirs des faits et souvenirs imaginés, l’auteur de La contrevie se concentre sur cinq moments fondateurs de son identité d’homme et de romancier : son enfance à Newark dans les années 1930 et 1940 ; son expérience de l’américanité à l’université ; son premier mariage chaotique ; l’indignation de la communauté juive américaine à la parution de Goodbye, Colombus ; et enfin, la découverte dans les années 1960 d’une liberté créatrice qui donnera naissance à Portnoy et son complexe.Mais comment écrire à propos des faits de l’existence lorsqu’on a passé une vie entière à changer l’ordinaire en extraordinaire avec une originalité et une audace si féroces? Comment un romancier chevronné, jamais mieux servi que par «la chair de la fiction», peut-il encore prétendre se présenter « sans fard » ? Tel est le questionnement au cœur du livre que Roth explore avec malice et clairvoyance. Et ce n’est pas un hasard si c’est à son héros de papier et alter-ego, Nathan Zuckerman, qu’il donne ici le dernier mot.Cette nouvelle traduction redonne tout son lustre à la verve incomparable d’un des plus grands auteurs américains de sa génération. Elle révèle avec habileté l’humour, l’intelligence et la précision d’un texte qu’il est précieux de redécouvrir aujourd’hui, à la lumière de toute une œuvre littéraire.

Les Faits

Les faits se présente comme l'autobiographie non conventionnelle d'un écrivain qui a déconstruit notre idée de la fiction. Cette oeuvre, d'une franchise inventive et irrésistible, dévoile le rapport intime et complexe que Philip Roth entretient avec l'art et l'existence. Sur le fil entre souvenirs des faits et souvenirs imaginés, l'auteur de La contrevie se concentre sur cinq moments fondateurs de son identité d'homme et de romancier:son enfance à Newark dans les années 1930 et 1940; son expérience de l'américanité à l'université; son premier mariage chaotique; l'indignation de la communauté juive américaine à la parution de Goodbye, Colombus; et enfin, la découverte dans les années 1960 d'une liberté créatrice qui donnera naissance à Portnoy et son complexe.Mais comment écrire à propos des faits de l'existence lorsqu'on a passé une vie entière à changer l'ordinaire en extraordinaire avec une originalité et une audace si féroces? Comment un romancier chevronné, jamais mieux servi que par «la chair de la fiction», peut-il encore prétendre se présenter « sans fard »? Tel est le questionnement au coeur du livre que Roth explore avec malice et clairvoyance. Et ce n'est pas un hasard si c'est à son héros de papier et alter-ego, Nathan Zuckerman, qu'il donne ici le dernier mot.Cette nouvelle traduction redonne tout son lustre à la verve incomparable d'un des plus grands auteurs américains de sa génération. Elle révèle avec habileté l'humour, l'intelligence et la précision d'un texte qu'il est précieux de redécouvrir aujourd'hui, à la lumière de toute une oeuvre littéraire.

Les faits ; autobiographie d'un romancier

"D'une certaine façon, nous disons toujours pour ne pas dire, mais de l'historien de soi, on attend qu'il résiste de tout son être à la tentation commune de falsifier, de déformer et de nier." 

Sur le fil entre souvenirs des faits et souvenirs imaginés, l'auteur de La tache dévoile son rapport complexe à l'art et à l'existence à travers cinq moments fondateurs : son enfance à Newark dans les années 1930 ; son expérience de l'américanité à l'université ; son premier mariage chaotique ; l'indignation de la communauté juive à la parution de Goodbye, Colombus ; et enfin, la découverte, dans les années 1960, d'une liberté créatrice qui donnera naissance à Portnoy et son complexe. 

Mais comment écrire à propos des faits de l'existence lorsqu'on a passé une vie entière à changer l'ordinaire en extraordinaire avec une originalité et une audace si féroces ? Tel est le questionnement que Roth explore ici avec malice et clairvoyance.

Les faits - Autobiographie d'un romancier

Ce récit, écrit à la première personne, raconte la lente maladie du père de l'auteur âgé de quatre-vingt-six ans, sa lutte obstinée pour vaincre la tumeur au cerveau qui finira par l'emporter. Dans ce combat contre le drame de la vieillesse, le fils guide et assiste le père jusqu'à s'identifier à lui.Patrimoine est une histoire vraie (comme le précise le sous-titre) dont Herman, le père, plus encore que le fils, est le barde. Une histoire cruelle et émouvante, que l'intégrité d'Herman, son refus de l'héroïque et de l'édifiant préservent pourtant de la complaisance et du sentimentalisme. Un récit qui proclame l'infinie complexité et la permanence de la vie, la nécessité de se souvenir, de ne rien oublier, car « être vivant, c'est être fait de mémoire. Si un homme n'est pas fait de mémoire, il n'est fait de rien ». Une élégie d'horreur et de compassion, mais aussi d'amour.

La contrevie

Résumé

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Critiques

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