Une amie, c'est un " autre soi-même ", l'indispensable et fidèle reflet sans lequel on ne saurait vivre. De l'enfance à l'âge adulte, elle partage nos moments les plus intimes de joie comme de crise. Un lien unique, qui n'empêche ni les ruptures ni les trahisons, que l'on peut vivre avec le même désarroi, la même souffrance qu'une relation amoureuse. Et qui blesse d'autant qu'on le croyait éternel, refuge contre le passage du temps. Des fous rires inoubliables à la séparation douloureuse, Denise Bombardier analyse l'amitié au féminin avec humour, lucidité et émotion, au fil d'un témoignage à travers lequel toutes les femmes se reconnaîtront.

Nos chères amies...

Cinq amies franches, directes, indépendantes et décomplexées. Elles ont tout réussi. Ou presque. Car leur vie amoureuse, bien que trépidante, vire au désastre... Partagées entre la peur de vieillir et le désir de savourer à fond les belles années qu'il leur reste, elles ont choisi de se dire que la vie et la sexualité ne s'arrêtaient pas à 60 ans. Dans ce roman truculent, tendre et drôle, où les héroïnes parlent sans tabous, Denise Bombardier montre une nouvelle fois qu'elle sait toucher le coeur des femmes.

Plus folles que ça tu meurs !

Avec un doctorat en sociologie de la Sorbonne, un insigne de Chevalier de la Légion d'honneur et le record québécois d'invitations – 9 – aux émissions de Bernard Pivot, Denise Bombardier n'est pas l'ennemie des Français, loin s'en faut. Mais la journaliste aime la polémique. Sa Lettre ouverte aux Français qui se croient le nombril du monde est donc moins l'occasion de dénoncer ce que d'aucuns appellent l'arrogance française, que de brasser la cage, en accusant nommément les Français de tourner le dos à leur culture. Je me scandalise de l'inconscience avec laquelle, gauche et droite confondues, vous laissez l'anglais vous envahir jour après jour, pâmés que vous êtes de pouvoir baragouiner in englische. De la langue à la politique en passant par la télévision et le journalisme – ses deux occupations principales –, Bombardier s'amuse à exposer les comportements des Français, qu'elle compare à ceux des Nord-Américains. Elle qui s'est par ailleurs intéressée aux rapports entre les sexes (La Déroute des sexes, Nos hommes) y va de commentaires parfois cinglants sur le couple français. La Française, cela inclut la très jeune fille, se résigne à jouer la naïve, voire l'idiote pour ne pas porter ombrage à l'homme qu'il soit mari, amant, patron ou camarade.  Un livre non dénué d'humour et plutôt divertissant, si l'on n'est pas agacé par les généralisations et les commentaires à l'emporte-pièce, et qu'on aime comme l'auteure discuter de tout, et parfois de rien, juste pour le plaisir de discuter… --Julie Sergent

Lettre ouverte aux Français qui se croient le nombril du monde

« C'est en découvrant à quel point je pouvais être blessée par une amie que j'ai compris l'importance de l'amitié entre femmes. L'amitié est aussi passionnelle que l'amour et nos amies sont aussi vitales à notre bonheur que l'homme de notre vie. » Denise Bombardier. Une amie, c'est un « autre soi-même », l'indispensable et fidèle reflet sans lequel on ne saurait vivre. De l'enfance à l'âge adulte, elle partage nos moments les plus intimes, de joie comme de crise. Un lien unique, qui n'empêche ni les ruptures ni les trahisons, que l'on peut vivre avec le même désarroi, la même souffrance qu'une relation amoureuse. Et qui blesse d'autant qu'on le croyait éternel, refuge contre le passage du temps. Des fous rires inoubliables à la séparation douloureuse, Denise Bombardier analyse l'amitié au féminin avec humour, lucidité et émotion, au fil d'un témoignage à travers lequel toutes les femmes se reconnaîtront.

Entre Québec et France, les Mémoires au long cours d'une femme de coeur et de caractère. 
Je suis une parvenue au sens propre du terme. Issue d'un milieu modeste, culturellement pauvre, j'ai gravi l'échelle sociale en ayant accès à l'éducation. La langue française m'a offert sa richesse, sa beauté m'a émerveillée, sa complexité m'a permis de me dépasser. Ma volonté de maîtriser le français m'a ouvert un univers inespéré... Le journalisme m'a permis l'accès aux grands de ce monde que j'ai côtoyés avec admiration - ou déception - tout en réussissant à garder une distance critique à leur égard en toutes circonstances. Souvent seule femme dans un mode d'hommes, j'ai refusé d'instinct de jouer à la victime. Car une victime n'a d'autre avenir que son bourreau. Or personne ne devait freiner ma rage de vivre.

 J'ai atterri en France, le pays de mes ancêtres et de mon coeur, où je fus accueillie avec affection. J'y ai conforté mon identité québécoise sans jamais être dépaysée. Mon amour passionné des mots fut la clé qui m'ouvrit les portes sans que je n'aie à insister. La controverse et la polémique m'attirent par tempérament. Je n'ai peur que de l'indifférence et du silence vide et asséchant. Depuis les années soixante, je suis spectatrice et participante, une contradiction dans les termes dont je m'accommode, de tous les événements marquants de la politique dans mon pays, en France et ailleurs. Je ne regrette rien, ignorant le ressentiment; quant à la faiblesse humaine, elle ne me surprend guère.

  Je me souviens  - la devise du Québec - a toujours guidé ma vie. Elle inspire cet ouvrage où la mémoire, la subjectivité et un recul obligatoire guident mon récit.

Une vie sans peur et sans regret

« Depuis que mon couple a éclaté, je vis dans l'attente perpétuelle, sans rien à attendre. J'attends des coups de fil d'amoureux qui n'existent pas, j'espère des rencontres mais avec qui, je serais bien en peine de le dire et je vis avec frénésie comme si un événement bouleversant s'apprêtait à me tomber dessus. » Elle a cinquante ans, deux adolescents à charge, un métier qui lui plaît, des amies prêtes à tout pour l'aider, de l'énergie à revendre mais plus d'hommes dans sa vie... Drôle, brillant, tonique, Ouf ! est le roman des femmes d'aujourd'hui, lucides, attendrissantes, indépendantes, méfiantes et généreuses, douées d'un sens décapant de l'humour et de l'auto-dérision qui leur permet de réenchanter la vie.

Ouf !

Sex and the city chez les sexas.Elles sont femmes, amies, carriéristes, célibataires et, à l’aube de la soixantaine, partagent la même angoisse : celle de vieillir et de perdre féminité et pouvoir de séduction. À chacune ses parades pour y faire face : Marie, l’exaltée, abandonnée par son ex et qui voit l’homme de sa vie dans chacune des aventures sans lendemain qu’elle collectionne; Jeanne, la posée, qui raffole des croisières et des rencontres aussi inattendues qu’éphémères qu’elles lui procurent; Claudine, la séductrice à la beauté retouchée qui fréquente plusieurs amants, de préférence plus jeunes qu’elle, et puis il y a Pauline, la sportive contrôlante, et Estelle, qui préfère les femmes…La narratrice, elle, est une avocate aguerrie et workaholic, davantage préoccupée de reconquérir le cœur de sa fille que celui d’unhomme… pour le moment.Avec la verve provocatrice et le mordant qu’on lui connaît, Denise Bombardier dresse un portrait touchant de ces femmes qui ont tout réussi, sauf leur vie amoureuse, et qui portent sur les hommes un regard aussi attendri qu’assassin. Elles n’ont peur de rien sauf de vieillir et sont prêtes à tout pour contourner l’inéluctable. Ce sont les femmes de la modernité post féministe. Et l’humour leur sert d’armure.

Nos chères amies...

Résumé

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