Jesus devant sa vie et sa mort

La generosite de dieu

Entre jesus et l'eglise

Il est peu de mots susceptibles d'être chargés de plus de sens et de valeur que celui de liberté. Nombreuses sont les significations différentes, en français comme dans les principales langues occidentales, que ce mot exprime si on ne le spécifie pas : liberté physique ou externe, liberté d'indifférence, libre arbitre, liberté psychologique, morale, spirituelle, liberté sociale, politique, religieuse ... Avant d'atteindre à quelque degré de liberté que ce soit, l'homme emprunte nécessairement les chemins d'une libération. Les études présentées dans ce petit volume reprennent l'article publié dans le Dictionnaire de Spiritualité. Quatre thèmes, parmi les plus suggestifs, ont été retenus : 1. Conditions d'ordre politique et social. 2. L'expérience de liberté, dont Jésus Christ est le type parfait, offert à l'homme dans la foi, avec l'exemple et l'enseignement de saint Paul. 3. L'enseignement des Pères de l'Église et leur action pour la libération de l'homme. 4. L'expérience de la liberté des mystiques.

Liberté Liberation

Dans la même perspective que Jésus-Christ hier et aujourd'hui, le Père Jacques Guillet se propose ici de retrouver, à travers les traits majeurs du comportement de Jésus, la figure et la source de l'expérience chrétienne.
C'est le même Christ qui est ici contemplé, mais le regard s'est déplacé. De Jésus vivant devant son Père, il se porte maintenant sur Jésus dans notre monde, faisant usage de ses ressources, engagé dans ses combats, livré à l'hostilité des hommes, s'ouvrant à leur amour, affrontant la souffrance et la mort. Cette rencontre de Jésus et des hommes conduit nécessairement à la question essentielle au coeur de la foi : qui est Jésus-Christ ?
Certains chapitres ont une allure plus théologique, d'autres, plus contemplative, mais toujours il s'agit de comprendre autant que de voir. Par le chemin des Evangiles. Pour comprendre le Christ et adhérer à lui dans la foi, il faut passer par la méditation des Evangiles, par leur regard.

Jesus Christ Dans Notre Monde

Habiter les Écritures - Entretiens avec Charles Ehlinger

Comme de nombreux ports bretons de fond d'estuaire, Auray commerce pendant des siècles avec ses voisins, mais aussi avec l'Espagne, l'Angleterre et les pays nordiques. C'est au moment où la souveraineté de ce trafic maritime est mise en cause par le chemin de fer que débute la visite de la ville. Les premiers pas de Jacques Guillet nous conduisent à la gare, celle par ou le "mal" arrive. Le nouveau quartier retient toute l'attention de l'auteur : il pousse la porte de certains commerces et s'invite aussi dans des familles qui nous font découvrir le monde si particulier des cheminots. La longue avenue de la gare, bordée de maisons bâties dans l'entre-deux-guerres, nous amène au centre-ville, dont le commerce et les marchés attirent des chalands venus des campagnes voisines et des îles de Houat, Hoedic, et même d'Yeu. Autour de l'église, des halles et de la mairie, artisans et commerçants sont essentiellement au service du monde agricole. Au cours du dernier quart du XIXe siècle, une activité émerge rapidement au point de devenir une véritable industrie : la fabrication de meubles. Comment résister aux odeurs de bois, de cire et de vernis quand d'anciens patrons ou compagnons sont prêts à évoquer cette période faste ? Alors que des témoins sont encore là pour faire revivre leur enfance au temps des derniers caboteurs, l'auteur évoque le combat qui oppose le port au chemin de fer. ce duel n'est qu'un baroud d'honneur puisqu'un nouvel "adversaire", qui se tenait jusque-là en embuscade, remportera la mise : le transport routier. Cet ouvrage relate les attentes et les craintes, les ascensions et les déclins propres à toutes les périodes de grands bouleversements. Il s'appuie sur les archives publiques, mais il serait bien fade sans le témoignage des Alréens qui se souviennent et qui racontent, avant d'aller enfin chercher la boîte de photos ou l'album de famille, pour notre plus grand plaisir.

Auray 1860-1980 - Chronique des quartiers

Je?sus avait-il la foi ? Pose?e sous cette forme, comme une alternative ne laissant le choix qu'entre le oui et le non, la question reste superficielle et ne suscite que des re?actions e?le?mentaires : non e?videmment, crieront les uns, Je?sus est Dieu, et Dieu ne peut avoir la foi. Bien su?r que oui, re?pondront les autres, sinon Je?sus ne serait plus un homme. Ce livre ne cherche pas a? prendre parti pour les uns ou pour les autres, ni me?me a? les de?partager en retenant la ve?rite? propre a? chacune de ces the?ses. Il voudrait, avant de donner une re?ponse, laisser vivre Je?sus, le regarder agir, l'e?couter parler, se rendre attentif a? sa prie?re, a? son silence et a? ses cris. Alors, l'ayant accompagne? jusqu'au bout, jusqu'a? sa mort dans le supre?me de?laissement, on peut commencer a? comprendre qu'en Je?sus, loin de s'exclure, la foi la plus abandonne?e et la certitude parfaite coi?ncident, que se livrer dans la nuit a? la volonte? du Pe?re est simplement re?ve?ler ce qu'est le Fils. Pour que l'homme Je?sus puisse croire de cette manie?re unique, il faut qu'il soit Dieu. Une collection de référence en christologie sous la direction de Monseigneur Doré.

Jesus devant sa vie et sa mort

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