Deux garçons jouent au château de sable sur la plage. La discussion s'engage autour de leurs papas. Vite, c'est la surenchère des exploits de ces papas extraordinaires. Jusqu'au moment où un des jeunes garçons à court d'idée, cherchant toujours mieux pour épater son camarade de jeu dit : Moi, encore mieux... J'ai deux papas !

Moi, mon papa

Un rêve se réalise pour notre héros : avoir un pirate en chair et en os et partager ses aventures ! Le quotidien change forcément, les bêtises pleuvent (passage moins fréquent dans la salle de bains, grand chambardement dans la maison, trous dans le jardin pour déterrer le trésor)... Et lorsqu'il s'agit de trouver un bateau pour notre pirate en mal de mer, nous ne sommes pas au bout de nos surprises ! Le pirate se lance à l'abordage d'une péniche dont les habitants vont être saucissonnés et mis à quai. 
Les personnages regorgent d'humour et respirent la bonne humeur. Un album au ton enlevé et aux illustrations pétillantes !

Mon pirate à moi

La vieille Minoa conservait un inestimable trésor. Une graine grosse comme un poing et brillante comme de l'or. Le moment de la confier à quelqu'un de plus jeune était arrivé. Gravement, elle la donna à Djalil. Le jeune garçon veillerait à son tour sur cette graine extraordinaire : la graine de l'arbre unique. Un jour, Djalil la mettrait en terre et l'arbre révélerait son secret...

Le gardien de l'arbre : Klimt

Pour mon anniversaire, j'ai eu une princesse ! Elle est belle comme le jour, en robe de soie et de velours. A la maison, elle s'est très vite installée ! Au revoir notre canapé, bonjour les lustres dorés. Elle nous a même tous rhabillés de la tête aux pieds !

Ma princesse à moi !

Personne ne sait quand c'est arrivé. Simplement, un jour, c'était là le Tapaf ! Haut comme une pomme, avec un minuscule gourdin, il surgissait d'on ne sait où pour nous casser les pieds. Au début, ça nous faisait rigoler. Puis ça a grossi, grossi, grossi. Et on a commencé à s'inquiéter...

Le tapaf

Dans la montagne, la peur grandit.
Un monstre rôde. Certains l'ont aperçu :
 Blanc comme un fantôme, velu comme un yéti.
 On l'appelle le Monstre Poilu.
 On dit qu'à cause de lui, les loups se sont enfuis. Tous. En une seule nuit.
 Et si le Monstre Poilu n'était qu'un mouton à l'épaisse toison ?

Le problème avec les oursons trop mignons c’est qu’un jour ils commencent à parler et que parfois, comme leur papa, ce sont aussi de vrais grognons. Alors entre les « GRRR ! » du père et les « GRRR ! » du fils, la paix du foyer est en danger… (provided by the editor)

Le problème avec les oursons trop mignons

— Maman, tu es sûre que le loup ne viendra pas ?— Tout à fait sûre, mon lapin.— Mais comment tu peux être aussi sûre ?

Moi, mon papa

Résumé

Plus de livres de Myriam Ouyessad

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques